| | HANNAH . KEIRA . PORTER | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: HANNAH . KEIRA . PORTER Sam 18 Avr - 21:03 | |
| *Si aucune, que faites vous ? (chanteur, acteur...)
*Votre rôle dans la série : *Présentation rapide du personnage et de ses relations : (6 lignes minimum) *Depuis combien de temps jouez vous dans la série ?
*Comment votre personnage a-t'il commencé sa carrière : (5 lignes):: ET VOUS ALORS ? :: *Prénom / Pseudo : Anne-Sophie / Nanii*Age : 16 ans*Comment avez vous découvert Fame Rivalities ? Je le connais depuis qu'il est crée x)*Comment trouvez vous le design ? J'aime beaucoup même s'il va pas tarder à changer.*Fréquence de connection : 6/7 sauf le Mardi =)*Niveau de RP : Je dépasse toujours les 20 lignes mais j'ai pas de limites sauf que je vais pas vraiment me casser la tête, ça m'intéresse plus de faire des longs postes vides.*Avatar : Kristen Stewart*Code du règlement : CODE OK by Kay'
Dernière édition par Hannah K. Porter le Dim 19 Avr - 19:19, édité 9 fois |
| | | Kaylight S. Masen
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:: WHO YOU ARE :: Profession: Du baby sitting, de temps en temps. RELATIONSHIP: CITATION: You can't be close enough unless I'm feeling your heartbeat
| Sujet: Re: HANNAH . KEIRA . PORTER Dim 19 Avr - 0:25 | |
| Naninounette, bienvenue déjà ^^ Et bienvenue sur FR ^^
Pour le code du règlement, y en a un xDD je le sais, je l'ai recherché l'autre jour xDD
Sinon, ben, bon courage pour ta fiche, hein ! | |
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: HANNAH . KEIRA . PORTER Dim 19 Avr - 19:32 | |
| :: BIOGRAPHIE & RELATIONS :: *Histoire :
FLASH BACK - « Non, non, non et non! Je refuse catégoriquement de déménager! » m'écriais-je, horrifiée par la nouvelle que venait de m'annoncer mon père. « Qu'est-ce qui vous déplait tant ici? » - « Allons cesse de faire l'enfant capricieux Hannah puisque ton père vient de te dire que ce n'était pas négociable » me sonna ma mère, désapprobatrice. - « Je ne veux pas partir. Vous ne pouvez pas m'accorder quelque chose pour une fois? » - « C'est ce que l'on fait tous les jours ma chérie, voyons.. » - « Non, je parle de quelque chose que je veux réellement? C'est trop demander de rester ici? S'il te plait.. » suppliais-je mon père du regard, sachant pertinemment que le fait de s'énerver ne m'amènerait à rien, surtout avec lui. - « Chérie nous t'avons expliquer que c'est mieux pour les affaires de ton père » - « Que se soit ici ou à Los Angeles, je ne vois pas du tout la différence et puis il peut très bien diriger d'ici que je sache, ce n'est pas bien compliqué! » - « Hannah.. » commença ma mère. - « Non » la coupa alors de sa voix rauque et autoritaire, mon père. « Aucun argument à fournir jeune fille, nous irons à Los Angeles quitte à ce que nous le faisions de force! » FIN FLASH BACK C'est ainsi que moi, Hannah Keira Porter, j'ai été trainé contre ma volonté à Los Angeles. J'avais dû, quelques heures de vol plutôt, laissé mes amis en larmes tout comme moi. Même si cela faisait plus de trois semaines que je le savais, je ne m'en remettais pas. Comment mes parents avaient-ils pu? Eux qui sont sensé être des êtres qui s'occupent de moi, qui m'aiment et qui me protègent venaient de me plonger dans un grand désespoir. Non mais franchement, LA qu'est-ce que j'allais bien pouvoir y faire? Déjà que j'avais grand mal à m'adapter entourée d'amis que je connaissais pratiquement depuis le bac à sable. Qu'est-ce que cela serait entourée de gens superficiels que dépensent leur argent sans compter, surtout que ce n'est pas le leur, et qui font toujours la fête. Je dois quand même avoué que j'avais une bien mauvaise opinion de LA mais nous qui vivions à Washington n'avons jamais aimé faire la fête. Du moins, je pensais que c'était le cas de mes parents mais j'avais dû me tromper et s'ils n'avaient pas pu s'amuser, c'était parce qu'ils avaient trop de travail. Pour en avoir, c'était certain. Jamais je ne les avais vu autant que ses trois dernières semaines et aussi bien entendu les premiers jours de ma naissance mais cela remontait à tellement loin que je n'en avais même pas d'heureuses brides.
Née à Washington, il y a 18 ans, je n'avais jamais imaginer qu'un jour je puisse quitter la ville. C'était trop fou mais pas assez pour être irréel malheureusement. J'ai connaissance par ma grande mère d'avoir eu un jumeau cependant celui-ci est mort quelques semaines après l'accouchement de ma mère qui nous avait fait naitre tous deux. Je l'avais tué à petit feu au commencement dans le ventre de ma mère, c'est pour cela qu'il n'avait pas survécu néanmoins même sans l'avoir réellement connu, j'ai ce sentiment de culpabilité en moi et qu'aucun mot de peu vraiment définir. J'ai grandi toute seule même si j'ai toujours eu l'impression d'avoir quelqu'un à mes côtés qui me souriait ; d'après mes parents ce n'est qu'une imagination de mon esprits parce que j'étais une enfant seule et laissée de côté. Je dois avouer que j'ai toujours préféré, aujourd'hui encore, être seule ou bien entourée que entourée par des gens que je ne sentais pas vraiment. Mais de là à insinuer que je suis folle, il n'y a qu'un pas pourtant je suis certaine de m'accompagner moi-même. Là je passe pour une folle seulement ce doute augmente d'années en années en fonction des détails d'un de mes rêves où je me vois me noyer sans pour autant arriver à me sortir de la baignoire. Cela en est effrayant. Moi qui n'ai jamais vu un seul film d'horreur, je doute que cela vienne de mon cerveau sans sources d'inspiration. Et cela en est terriblement réel que quand j'en discute avec mes parents, ils me disent que ce n'était qu'un cauchemar cependant leur visage se crispent dans une douloureuse expression. D'accord, admettons que se soit un rêve, le fait qu'il me revienne tous les ans exactement à la même date est vraiment trop bizarre pour être une simple coïncidence. J'en doute. FLASH BACK Je suis entrain de rire pour je ne sais quelle raison mais je ne peux pas m'arrêter. Mes rires se font échos et je m'aperçois dans la baignoire riant à gorge déployé. J'ai exactement la même temps que sur les photographies que me présentent mes parents lorsque je leur demande mon album. Je suis nue bien entendu puisque je ne dois pas avoir plus de quatre ans, peut être cinq. Je dois attendre ma mère qui doit être parti ; sûrement un appel urgent comme maintenant cependant je me doute de ce qui va arriver. Je le sais mais je n'arrive pas à mettre un mot là dessus. J'arrête de rire et me contemple un moment essayant de lui montrer par des coups d'œil en direction de l'eau et du fait que je n'arrête pas de gesticuler mais elle ne me comprend pas. Il faut des mots pour qu'elle comprenne ce à quoi je pense pourtant nous sommes la même personne, elle devrait pourtant.
« Arrête de bouger, tu risque de glisser » répétais-je mot à mot ce que me disais ma mère à chaque fois que je gesticulais dans la baignoire. « C'est glissant, je t'ai dis. Arrête! » m'énervais-je en serrant les dents parce que je sais ce qui va se passer comme d'habitude après avoir tant de fois vu cette scène pourtant je n'arrive pas à lui dire avant que cela n'arrive. - « Non. Je veux jouer encore un peu. Jouer encore un peu » me répondis-je d'une voix un peu plus enfantine que la mienne, un peu plus douce et aiguë peut être. - « Arrête je t'ai dis. Écoute moi, sinon tu vas.. » fronçais-je des sourcils mais déjà il est trop tard.
Je le savais. Subitement, elle glisse. Ses sourcils se froncent à l'identique de moi il y a quelques instants, ses yeux s'agrandissent attendant la chute qui ne vient pas. Elle ne remonte pas à la surface pourtant ; l'eau est trop haute. Maman en a encore trop mis comme d'habitude. Je n'arrive pas à remonter toute seule, je suis trop petite pour le faire et mes bras trop faibles. Horrifiée, je n'arrive pas à me précipiter vers moi sachant que si je ne le fais pas, elle n'arrivera pas à remonter. Je suis horrifiée. Je ne bouge pas pendant un moment doutant que tout cela est vrai puis je cris. Cris aussi fort que possible. Quelqu'un doit venir. Quelqu'un, il faut absolument qu'il y est quelqu'un. Puis soudainement je me penche vers le baignoire et essaye d'attraper sa main. Je veux sortir mais je n'arrive pas attraper mon bras. Je n'arrête pas de gesticuler parce que je veux sortir et cela ne me rend pas la tâche facile. Quand j'ai enfin mon bras je me rend compte que je n'arriverais pas à me sortir car je suis encore trop petite, j'ai des bras bien trop court. Mon bras devint subitement mou. Un enfant de mon âge n'arrive pas à rester si longtemps dans l'eau et j'ai trop bougé, j'ai perdu tout mon oxygène. L'oxygène, c'est la vie pourtant je n'en n'ai plus la dessous sous la mousse. La main retombe. J'arrête moi aussi de respirer. Je suis tétanisée. Mes yeux s'élargissent à l'instar de mon double. Je recule pas à pas, fixant toujours mon bras qui coule peu à peu. Je le sais, je suis morte. Je suis morte parce que j'ai glissé. Je suis morte parce que je n'ai pas réussis à me sortir de l'eau. Aucun son ne sort de ma gorge. Puis je sors en courant, usant mes dernières forces. Je hurle de ma voix d'enfant sachant que personne ne m'entendra à temps. Oui, je hurle. Je hurle que je suis morte. FIN FLASH BACK Étant fille unique suite au décès de mon frère jumeau, j'ai été énormément gâtée mais enfant comme aujourd'hui, je n'aimais pas avoir des cadeaux. Je sentais que mes parents essayaient vainement de combler un vide. Un vide que représentait ce rêve qui me hante depuis des années. J'ai beau y être habituée, je finis toujours par me réveiller en hurlant lorsque je croise le visage blême de ma mère dans les escaliers alors qu'elle remontait. Puis, ils ont fini par s'occuper à plein temps de leurs affaires sachant que j'ai entre bonnes mains avec mon amie Marie. C'était ma nourrice mais elle est partie parce qu'elle était malade ; j'ai appris par la suite qu'elle était morte d'un cancer du sein. On m'avait annoncé qu'elle était parti rejoindre mon frère alors je ne m'étais pas inquiète, elle s'occuperait aussi bien de lui que de moi. Il en avait bien besoin. Le temps est vite passé, je ne m'en rendais pas compte parce que j'étais trop absorbée par mes études. J'avais raté une année scolaire pour cause de maladie, je n'ai jamais su laquelle car mes parents n'en parlent jamais. De toute manière, ils n'étaient jamais présent alors j'ai totalement arrêté d'y penser à force. J'étais toujours avec les même personnes depuis le bac à sable ; mon meilleur ami a fini par devenir mon petit ami. Ma vie était assez simple si on excluait cet affreux cauchemar et le fait que j'étais la fille de riches actionnaires. Je ne me suis jamais intéressée à ce que faisais mes parents enfin si peut être une fois. Je devais avoir 10 ans et je me sentais affreusement seule mais cela n'a pas duré puisque plusieurs semaines plus tard, j'avais un chiot. Un labrador. Je m'en rappelle assez bien je l'avais appelé instinctivement Hayden ce qui avaient surpris mes parents au début. Je ne sais pas vraiment pourquoi. En tout cas, je savais que le chien était là pour que j'arrête de les embêter. En y réfléchissant, j'avais toujours pensé que mes parents m'aimaient quand même. A leur façon. Néanmoins je devrais revoir mes définitions de l'amour car m'obliger à déménager n'était pas sur ma liste. Il faudrait que je reconsidère la chose..
Dernière édition par Hannah K. Porter le Dim 19 Avr - 20:46, édité 4 fois |
| | | Kaylight S. Masen
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| Sujet: Re: HANNAH . KEIRA . PORTER Dim 19 Avr - 20:09 | |
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| Sujet: Re: HANNAH . KEIRA . PORTER | |
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