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Version 1 FT Kaylight :: Alex :: Destiny
 
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 When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']

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MessageSujet: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeDim 26 Avr - 18:48

    Ce matin tout aurait pu être merveilleux, j’aurais pu être l’homme le plus heureux du monde comme je l’avais été ces deux derniers jours, mais à vrai dire depuis hier plus rien n’allait. Est ce que vous avez déjà eu l’impression que tout votre bonheur s’effondrais d’un seul coup, qu’on vous avez pris le cœur pour en faire du hachis parementiez ? Eh bien moi j’avais ressentis cela hier soir et encore ce matin là. Vous voulez savoir pourquoi ? Tout simplement parce que la fille que j’aime le plus au monde c’est foutu de moi et m’as posé un lapin. Je peux vous dire que je n’ai aucune envie de bouger de mon lit et encore moi de faire le moindre effort aujourd’hui. Ca aurait pu être la plus belle soirée de ma vie et c’est finalement devenu la pire parce qu’en plus de cela j’ai fait louper la concert d’hier soir.

    FLASH BACK

    Ca fait bientôt une heure que j’attends qu’elle arrive. Je lui ai donné rendez vous, mais elle n’a pas l’air de vouloir venir. Je soupire et décide de rentrer. Elle ne viendra pas, elle ne m’aime pas ca serre à rien. Tout ce que j’ai pu croire possible avec elle jusqu’à maintenant s’est effondré en à peine quelques heures. Je rentre dans les loges, le concert commence dans à peine une heure et je ne suis même pas prêt.

    « Hey ! Kyllian ou est Kaylight ? Je croyais qu’elle devait venir » Me demanda la voix de mon frère jumeau.
    « Laisse tomber. Elle viendra pas ! » Répondis-je complètement anéanti.
    « Si elle n’est pas venu c’est sûrement qu’elle a eu un problème et … » Ajouta-t-il
    « Je suis un nul c’est tout ! J’ai même pas su garder la fille dont je suis raide dingue une semaine ! Bon allez viens on a un concert » Expliquais je.

    Je monta sur scène avec mes frères. Les concert se déroula assez bien jusqu’à ce que je tombe sur scène, me faisant mal à la main par la même occasion. Le concert avait été finit mais difficilement. Tout ca à cause de moi.
    FIN DU FLASH BACK


    Résultat je mettais retourner avec le petit doigts cassé. Heureusement cela ne m’empêcher pas de jouer de la guitare sinon je serais devenu fou. Elle ne m’avait même pas envoyer un message ou alors appelé pour me dire, non rien. Juste le fait de ne pas être venu qui m’avait fait mal. Je finis par me décider de sortir de mon lit. Je fila sous la douche et une fois laver j’enfila rapidement un jean slim et un tee-shirt. Je descendis ensuite à la cuisine ou, bien sur, tout le monde était réunis. Je salua ma mère d’une baiser sur sa joue, mon père puis mes frères, Jake, Nate et Frankie. Je m’installa au bar mais resta un moment perdu dans mes pensées, inutile de préciser vers qui elles étaient tournés.

    Pourquoi m’avait-elle fait croire qu’elle voulait être avec moi si c’était pour me lâcher sans aucune explications ? J’étais prêt à tout pour Kaylight et j’avais l’impression qu’elle était partit en prenant mon cœur. J’avais tellement mal que rien que de penser à tout cela j’en avais les larmes aux yeux. Il fallait que je l’a voit que j’en parler avec elle. Si elle voulait ou préférait que l’on rester amis je respecterais cela mais est ce que j’allais y arriver. Je souffrais déjà en pensant à tout cela alors la voir pour me dire qu’entre nous deux ca aurait pu marcher mais que j’avais tout foirer me ferais encore plus mal.

    « Kyl’ ca va ? Tu n’as pas l’air bien ! Qu’est ce qui se passe mon chéri ? » Demanda ma mère s’approchant de moi et posant sa main sur mon épaule.
    « Ecoute maman lâche moi s’il te plaît, ne commence pas avec tes questions chiante je suis pas d’humeur ! » Répondis-je en repoussant la main de ma mère et en me levant.
    « Kyllian tu sais que si tu veux parler on est là ! » Ajouta ma mère.
    « Je sais ! Mais je vais bien okay ! Alors arrêter de tous me prendre la tête ! » Dis-je en haussant le ton. Je me dirigea vers la porte d’entrer saisissant ma veste au passage.
    « Kyllian Nate Connors tu parle mieux à ta mère s’il te plais et reviens ici tout de suite ! » Cria mon père.

    Je fis semblant de ne pas entendre et claqua la porte en sortant. Je n’avais pas pour habitude de répondre comme cela à ma mère bien au contraire j’avais toujours était très proches d’elle. Mais la je n’étais pas vraiment d’humeur. J’aurais eu besoin de Nate ou de Jake mais aucun des deux n’avait broncher tout à l’heure et Nate et Jake viendrons sûrement me parler se soir dans ma chambre quand ils serons sur que je suis calmer. Ils me connaissaient assez bien pour savoir que ce n’était pas le moment de me parler. J’enfila ma veste pris mon skate dans le garage et pris la direction du parc. J’étais énervé et triste. Arriver dans le parc je donna un coup de poing dans un arbre avant de me laisse tomber dans l’herbe. Je ramena mes genoux vers moi et passa mes bras autour posant ma tête dessus. Des larmes chaudes coulais le long de mes joues. Je les essuya respira essayant de calmer ma colère et me releva. J’avais besoin de parler à quelqu’un qui connaissait Kaylight et la seul était Alex. Je pris la direction de son appartement ou j’étais déjà allé des millions de fois. J’arriva très rapidement. Je monta les marches 4 à 4 et allé sonner à sa porte quand je vis qu’elle était entrouverte. Je la poussa et rentra. Je posa mon skate dans l’entrée et avança dans le salon.

    « Alex tu es là ? » Criais-je.

    J’espérais vraiment qu’elle était là. J’attendis un petit moment quand j’entendis une porte s’ouvrir je vis quelqu’un s’approcher. Je reconnu tout de suite cette personne. Mon cœur se serra et ma gorge devint sèche. Je me sentais mal. Maintenant qu’elle était là enfin de moi c’était le moment ou jamais d’avoir des explications.

    « Qu’est ce que tu fait là ? Tu sais si tu voulais pas me voir hier il suffisait de me le dire ! J'arrive pas à croire que j’ai étais assez stupide pour croire que nous deux c’était possible je pensais que t'étais sincère que tu disais que tu m'aimais mais apparemment je me gourer sur tout la ligne! »

    La colère qui c’était évacué venait de revenir rien qu’en la voyant. Je lui en voulais terriblement. Je n’avais aucune envie de lui faire du mal ou de la blesser avec mes paroles alors je préférais m’en aller. Quand j’étais énervé j’avais une fâcheuse tendance à dire des choses méchantes que je ne pensais pas et je regrettais quelques secondes plus tard. Je m'avance donc vers la porte d'entrer.
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Kaylight S. Masen
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeDim 26 Avr - 21:46

    Autant vous le dire, mon moral était au plus bas, en ce dimanche. Pourquoi fallait-il que j’aie une vie aussi pourrie ?! J’avais fait quoi pour mériter ça ?! Ces trois derniers jours avaient été nuls au possible, car j’avais mal partout, j’avais des hématomes qui me faisaient ressembler à… pas grand-chose, et le pire : je n’avais pas vu Kyllian depuis la dernière fois que j’avais été au lycée. Et dire que la veille, j’aurais du passer une soirée formidable, avec le garçon que j’aimais par-dessus tout. Au lieu de ça, j’étais restée dans ma chambre, chez Alex, à déprimer, jouant quelques morceaux sur la guitare de ma meilleure amie pour passer le temps. Je n’avais que ça à faire. Pourtant, j’aurais du aller au concert des Connors Brothers, et assister, avant, aux répétitions, avant d’aller dîner avec Kyllian. J’avais cependant du demander à Alex de le prévenir pour moi que je ne pourrais pas venir. J’espérais sincèrement qu’il ne m’en voudrait pas. J’aurais pu le lui dire moi-même, seulement, je me sentais incapable de lui mentir à lui.

    J’étais toujours en mode déprime ce jour là, j’avais horreur de rester enfermer, je n’avais qu’une envie, c’était sauter sur mon skate, et aller voir Kyllian, seulement, je craignais que ma cheville ne supporte pas vraiment le trajet en skate jusqu’à chez lui. Et puis, je ne voulais pas qu’il me voie comme ça, j’étais, de plus, crevée, car j’avais mal dormi, ma cheville foulée m’ayant fait souffrir toute la nuit. Autant vous dire donc que je faisais peur à voir, j’avais une tête comparable à celle d’un zombie, les bleus sur mon visage et mes bras notamment, n’arrangeant pas le tableau. J’avais essayé, aux alentour de midi, de me connecter sur IM pour voir si Kyllian y était, mais il n’était pas connecté. J’avais donc quitté le pc, et mangé un morceau. J’étais toute seule chez Alex, elle avait une interview, ou un shoot photo, peut être les deux, j’étais un peu à côté de mes pompes lorsqu’elle m’avait prévenue la veille au soir.

    Après avoir mangé un morceau, j’étais retournée me cloîtrer dans ma chambre, plantée devant la fenêtre, perdue dans mes pensées. Je pensais à Kyllian, qui devait avoir passé une soirée géniale, sur scène, la veille. Avait-il pensé à moi ? J’avais passé, en ce qui me concernait, la soirée à penser a lui. En fait, j’avais passé la majorité de ces trois derniers jours à penser à lui. Il me manquait, je voulais le voir, j’avais besoin de le voir, seulement me blottir dans ses bras, fermer les yeux, et oublier ce qui s’était passé avec mon père, oublier ces deux jours pourris comme pas possibles, et simplement retrouver Kyllian. Je savais que dans ses bras, je pourrais retrouver le sourire, seulement, je n’allais pas me pointer devant lui vu ce à quoi je ressemblais, car j’aurais droit à des questions auxquelles je voulais échapper. Pas que je ne voulais pas être honnête avec lui, mais ce n’était pas un sujet évident à aborder.

    Toujours perdue dans mes pensée, je sursautais en entendant une fois plus que familière retentir dans le salon. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine : Kyllian.

    KYLLIAN : « Alex tu es là ? »

    Qu’est-ce qu’il faisait là ?! OMG, il ne devait pas me voir comme ça ! Et comment était-il entré ?? Il cherchait Alex, pourquoi ? Il ne savait d’ailleurs même pas que je me trouvais là normalement. Il ne devait pas me voir comme ça, mais je ne pouvais pas le laisser poireauter dans le salon comme un idiot. J’avais trop envie de le voir pour cela. Mais, il ne devait pas me voir comme ça, troisième édition !

    « Gosh… » Murmurai-je en attrapant le gilet qui se trouvais pendu sur la chaise de bureau.

    Je me plaçais ensuite face au miroir, et tâchais d’arranger mes cheveux afin qu’ils cachent les parties tuméfiées de mon visage. Quand je jugeais que mes boucles cachaient suffisamment les parties de mon visage que Kyllian ne devait pas voir, je pris une bonne inspiration, et sorti de la chambre. Je tâchais d’éviter de grimacer lorsque je m’appuyais sur ma cheville douloureuse, évitant de boiter autant que possible. Lorsque j’arrivais au salon, mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Cependant, je ne vis pas son sourire que j’aimais tant étirer ses lèvres. Au contraire, il semblait en colère.

    KYLLIAN : « Qu’est ce que tu fais là ? Tu sais si tu voulais pas me voir hier il suffisait de me le dire ! J'arrive pas à croire que j’ai étais assez stupide pour croire que nous deux c’était possible je pensais que t'étais sincère que tu disais que tu m'aimais mais apparemment je me gourer sur tout la ligne! »

    Je restais muette un moment, sur le coup, surprise. Si je ne voulais pas le voir ?! Mais c’était quoi cette histoire ?! « Je pensais que tu étais sincère… mais je me suis gouré ». Je suis assez explicite si je dis PARDON ?! Mon cœur se serra douloureusement. Je devais avoir l’air d’une imbécile à rester plantée là, choquée, mes cheveux cachant mon visage en partie, à ne pas décoincer un mot, me contentant de dévisager Kyllian, qui me fixait, toujours en colère. Comment pouvait-il penser que je n’étais pas sincère avec lui ? Comment cette idée ne pouvait ne serait-ce que lui effleurer l’esprit ? Et pourquoi croyait-il ça ? Qu’avais-je fais ? Je ne comprenais rien, et j’ignorais si c’était normal, ou si j’étais encore d’avantage à la ramasse que je le pensais. *Réagis imbécile !* me souffla une voix, quelque part, dans mon esprit. Seulement, j’étais tellement sur le cul que je ne trouvais pas quoi dire. Eludant la première question de Kyllian – l’ayant complètement oubliée, plutôt, tellement j’étais sous le choc de ce qu’il venait de dire –je fini par dire, faisant quelques pas dans sa direction, m’efforçant de ne pas boiter – je dus d’ailleurs retenir une grimace.

    « Comment ça ? Je ne comprends pas… Je… Comment peux-tu penser que je n’étais pas sincère ?! Je ne pouvais pas venir hier soir, Alex t’a prévenu. Elle m’a dit qu’elle t’avais prévenu, je… » Balbutiai-je. J’étais tellement paumée que je n’arrivais même pas à terminer une phrase.

    Dans mon esprit, il était impossible qu’Alex m’ait menti, tellement improbable que cette pensée ne m’effleura même pas l’esprit. Je ne comprenais vraiment rien de ce qui se passait là. Si Kyllian me faisait marcher, ce n’était vraiment pas de bon goût comme blague, et ce n’était pas non plus le moment. Kyllian avait cependant déjà tourné les talons avant même que je n’ai fini de parler, se dirigeant vers la porte d’entrée.

    « Kyllian, attend ! » M’exclamai-je, le cœur serré, ma voix se brisant.

    En colère comme il l’était, j’avais peur que si il passait cette porte, tout soit fini. Je ne supporterais pas de le perdre, pas lui, pas maintenant. J’avais peur que si il franchissait le seuil de l’appartement d’Alex, jamais il ne revienne vers moi. J’avais besoin de son sourire, de pouvoir me blottir dans ses bras, surtout en ce moment. Je m’avançais dans sa direction, ne cherchant même plus à éviter de boiter, de toute façon, il me tournait le dos, s’avançant vers la porte d’entrée. Cependant, avec ma cheville douloureuse, il marchait plus vite que moi.

    « S’il te plait ! Explique moi, je ne comprends pas… » Dis-je, m’arrêtant, juste avant qu’il n’ouvre la porte.

    Rien que de penser à l’idée de le perdre, j’en avais déjà les larmes aux yeux. Pour ma défense, j’avais un peu les nerfs à fleur de peau ces derniers jours, ce qui me rendait encore plus sensible qu’à l’accoutumée. Machinalement, sans même réfléchir, je remis une mèche de mes cheveux qui me chatouillait le visage derrière mon oreille, et, m’apercevant de mon geste, baissais immédiatement la tête, espérant que Kyllian n’ai pas vu l’hématome qui marquait mon visage.
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeLun 27 Avr - 21:48

    Je n’aurais cru pouvoir me sentir mal à se point un jour à cause de quelqu’un. Je n’avais penser pouvoir aussi mal au cœur. J’avais l’impression qu’on me l’avait arracher pour le donner à des tigres affamés qui s’amusait à griffer dedans avant de le détruire pour de bon. Certes je trouvais que cette expression était même faible par rapport à ce que je ressentais. J’avais passé beaucoup de temps seul depuis hier à cause de cela. J’avais passer la plus part de ma nuit à me retourner dans mon lit. J’étais énervé et profondément blesser par l’habitude qu’avait eu Kaylight. Je pensais au font que si elle n’était pas venu c’est qu’elle avait une excuse valable mais j’étais trop borné pour pouvoir moi même y croire. J’étais moi aussi totalement en mode déprime. Je savais que je pardonnerais Kaylight qui après ne voulait peut être pas, tout compte, fait pas de moi. J’aurais sûrement encore plus mal si elle me disait qu’elle préfère qu’on reste amis mais c’était la vie.

    J’avais donc pris la direction du parc ou j’étais resté une bonne partie de l’âpres midi. J’avais ensuite décidé d’aller voir Alex, elle serait sûrement une des seules, avec Jake et Nate, à pouvoir me remonter le moral en ce moment même. J’étais beaucoup trop mal pour voir quelqu’un d’autre. Je me rendis donc chez Alex espérant. Je savais que lorsque j’étais énervé je disais souvent des paroles que je regrettais après. Je ne voulais donc pas tomber sur Kaylight parce que je n’avais aucune envie de la blesser. Pourtant c’est elle qui était chez Alex. La colère que j’avais réussit à calmer venait de ressortir.

    Comment avait-elle pu me faire croire qu’elle voulait de moi ? J’étais qu’un gros nul alors pourquoi aurait-elle voulu de moi ? Elle pouvait sûrement trouver beaucoup mieux que moi. Dans son regard que je croisa un cour instant, détournant la tête car cela me faisait encore plus mal, j’avais vu de l’incompréhension. J’y avais peut être été un peu fort mais je ne tenais pas à ce qu’elle prenne plaisir à jouer avec moi. Je l’aimais comme fou, plus que ma propre vie je n’avais aucune envie de la perdre mais si cela me faisait souffrir qu’elle joue avec moi alors je couperais les pont. Rien que de penser à cela, ma gorge et mon coeur se serrèrent.

    KAYLIGHT : « Comment ça ? Je ne comprends pas… Je… Comment peux-tu penser que je n’étais pas sincère ?! Je ne pouvais pas venir hier soir, Alex t’a prévenu. Elle m’a dit qu’elle t’avais prévenu, je… »

    Alex m’a prévenu ? Là c’est moi qui suit complètement paumé, Alex ne m’a jamais rien dit sur quoi que se soit qui concerné le concert d’hier soir. Je respira un bon coup essayant de me calmer car comme je l’avais déjà dit, même si Kaylight me blessait, je n’ai aucune envie de faire cela.

    « Je pensais que tu étais sincère mais crois moi avec hier soir j’ai très bien compris ! Quand à Alex je ne vois absolument pas de quoi elle m’a prévenu ! »

    Je sentais les larmes monter à mes yeux, je ne pouvais pas pleurer pas devant Kaylight. Je ne voulais pas que Alex est à voir dans l’histoire. Elle était ma meilleure amie et aussi celle de Kaylight mais je ne tenais absolument à la mêler à tout cela.

    « Ne mêle pas Alex à tout ca ! » Dis-je avec froideur.

    ‘Respire et calme toi Kyllian.’ Je devais partit avant de m’emporter et dire des choses horrible. Je me tourna vers la porte et commença à m’éloigner pour sortir mais apparemment Kaylight n’avait pas l’intention de me laisser partir. Juste histoire de passer une nouvelle fois mon cœur sous la tondeuse.

    KAYLIGHT : « Kyllian, attend ! »

    « Quoi ?! » M’exclamais-je froidement une nouvelle fois.

    Il est vrai que si je partais je ne comptais pas la revoir, tout serait terminés. D’un coté j’avais envie de partir parce que, comme je ne cesse de le répéter, la blesser n’est pas mon but, mais de l’autre coté je ne voulais pas partir parce que j’étais sur qu’au fond si elle n’était pas venu c’était pour une bonne raison.

    KAYLIGHT : « S’il te plaît ! Explique moi, je ne comprends pas… »

    Lui expliquer ?! Elle se moque de moi à croire qu’elle ne sait rien de ce qui s’est passer. Ok alors soit elle le fait exprès soit elle ne comprend pas du tout pourquoi je lui en veux. Je ferma les yeux un moment, je crois que j’allais finir par devenir dingue.

    « T’expliquer quoi ? Le fait que tu m’ai poser un lapin hier soir m’ai fait mal ou le fait de comprendre que tu m’as briser le cœur et que je me sens mal. C’est ca que tu voulais entendre ! Eh ben voilà jte le dis : J’ai mal au cœur Kaylight ! » Expliquais-je en haussant la voix légèrement. J’étais énervé de nouveau.

    Je fermais les yeux quelques secondes avant de regarder à nouveau Kaylight. Elle repoussa une mécher de ses cheveux et c’est la que je vis qu’elle avait des bleus sur le visage. J’étouffa un cri de surpris et d’horreur alors que Kaylight avait déjà baisser la tête. Tout d’un coup je compris tout ! C’est pour cela qu’elle n’était pas venu hier soir, elle n’avait pas voulut que je l’a voit comme ca. Je me sentais tellement nul et … idiot. Je m’approcha d’elle doucement et releva doucement avant de mettre ses cheveux doucement derrière ses oreilles. Je retint un nouveau cri étouffer quand je vis cela de prêt.

    « Kay’ qu’est ce … qu’est ce qui s’est passé ? Qui … Qui t’as fait ca ? »

    Sans hésiter un instant de plus je la serra dans mes bras. Je ferma les yeux et resta un moment comme cela. Je savais que c’était quelqu’un qui lui avait fait ca mais qui ? Comme si elle n’avait pas assez avec cela il avait fallut que je lui cris dessus. Je l’écarta légèrement de moi et posant une main sur sa joue doucement je la regarda dans les yeux.

    « Je … je suis tellement désolé, mais pourquoi t’en … pourquoi tu m’en as pas parlé ? Je m’en tellement, je t’ai crier dessus alors que t’avais d’autre problème ! Je suis désolé Kaylight, vraiment désolé ! Je suis qu’un pauvre nul ! »

    Si vous savez comme je sentais honteux en ce moment même. J’avais crié sur la fille que j’aimais plus que tout au monde, que j’avais peur de perdre et voilà que je découvrais, même si j’en avais été presque sur, qu’elle avait une bonne raison de ne pas être venu. Je me sentais idiot et tellement, mais tellement stupide. J’étais nul pire que tout ! Le mec le plus nul de la terre, plutôt que de l’aider je n’avais fait qu’ajouter à sa souffrance.
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeMar 28 Avr - 14:12

    Avez-vous déjà eu cette impression que vous étiez planté là, au milieu d’une pièce, et qu’autour de vous, comme à l’intérieur, quelque part dans votre cœur, tout s’effondre, tombe en pièce, se brise en mille éclats ? J’avais en ce moment même cette impression, et le pire était que je ne comprenais pas ce que j’avais fais de travers. Etais-je un cas si désespéré que je ne m’apercevais même plus de mes erreurs ?! Pourquoi Kyllian se comportait-il de la sorte avec moi ?! Je voulais bien m’excuser de n’importe quoi, peu importait, du moment que cette douleur cessait. J’étais sincère lorsque j’affirmais ne pas comprendre, je ne comprenais plus rien, la seule chose que je comprenais, c’est que si Kyllian franchissais le pas de la porte, alors ce serait fini. Jamais je n’aurais consciemment fait quoi que ce soir pour provoquer ça. J’avais été heureuse comme pas permis deux jours, et là, tout s’effondrait. Je savais que c’était trop beau pour être vrai.

    KYLLIAN : « Je pensais que tu étais sincère mais crois moi avec hier soir j’ai très bien compris ! Quand à Alex je ne vois absolument pas de quoi elle m’a prévenu ! »

    La vérité, évidente pourtant, ne voulait pas s’imposer à moi. Alex m’avait dit qu’elle avait prévenu Kyllian que je ne pourrais pas venir, j’avais confiance en elle, elle ne m’aurait jamais fait un coup dans le dos. C’était impossible, elle était ma meilleure amie, je refusais de laisser cette conclusion s’imposer à mon esprit, car je savais que si je le faisais, elle serait alors bien difficile à renier. Je me refusais à voir Alex comme la méchante de l’histoire.

    Quoi que Kyllian affirme avoir compris, il se trompait. J’étais on ne peut plus sincère, je n’ouvrais pas mon cœur au premier venu, la seule personne à qui je l’avais déjà ouvert, avant Kyllian, c’était Alex ma meilleure amie, avant Kyllian, aucun garçon n’avait compté à ce point pour moi, l’idée de ne pas être sincère avec lui était inconcevable. Les mots « Je t’aime » n’étaient pas des mots que je disais à tout le monde.

    KYLLIAN : « Ne mêle pas Alex à tout ça ! »

    Je ne le voulais pas, mais les conclusions se formaient dans mon esprit sans que je l’aie désiré… Notre conversation sur IM, ou elle avait avoué qu’elle avait aimé, qu’elle aimait, et qu’elle aimerait toujours Kyllian… Ce souvenir remonta à mon esprit comme une claque dans la figure. C’était impossible, elle ne pouvait pas m’avoir fait ce coup là, pas elle, pas à moi… Et pourtant, c’était évident. Comment avait-elle pu me faire ça ?!

    Les paroles que prononça ensuite Kyllian, alors que je le retins de sortir, lui demandant, alors que ma voix se brisait, de rester. C’était avec un ton froid et cassant qu’il m’avait répliqué un « Quoi ?! » criant presque. Il m’aurait giflée que cela m’aurait fait le même effet. J’avais envie de pleurer, mais je tâchais, tant bien que mal, de contenir les larmes qui me brûlaient les yeux. Il me faisait face à présent, me dévisageant avec colère. Je réussi tout de même à retrouver ma voix pour réclamer qu’il m’explique

    KYLLIAN : « T’expliquer quoi ? Le fait que tu m’ai poser un lapin hier soir m’ai fait mal ou le fait de comprendre que tu m’as briser le cœur et que je me sens mal. C’est ça que tu voulais entendre ! Eh ben voilà j’te le dis : J’ai mal au cœur Kaylight ! »

    Mon cœur, ma gorge, se serrèrent douloureusement, cependant que des larmes se mirent à rouler sur mes joues. J’étais en train de perdre le garçon que j’aimais à cause de ma meilleure amie. Comment avais-je pu tomber si bas ? Et je faisais, par la même occasion, souffrir Kyllian : je ne le supportais pas. Je ne l’avais jamais vu comme ça, et si il était comme ça, c’était à cause de moi. J’avais horreur de faire souffrir ceux que j’aimais, et si Kyllian était dans un état pareil, c’était entièrement de ma faute. De celle d’Alex aussi. Pourquoi ne m’avait-elle tout simplement pas dis que ma relation avec Kyllian la dérangeait, plutôt que de me faire un coup pareil. Je lui en voulais autant que je m’en voulais d’avoir été aussi stupide.

    « Je suis désolée je… Je ne voulais pas je… » Bredouillai-je remettant sans réfléchir mes cheveux derrière mon oreille d’une main tremblante, les larmes roulant silencieusement sur mes joues.

    Moi aussi j’avais mal. A coté, mes hématomes, ma cheville foulée, où n’importe quoi d’autre, ce n’était rien, rien comparé à mon cœur que je pouvais presque sentir se briser en milliers de morceaux. M’apercevant cependant de mon geste, je m’étais empressée de baisser la tête, priant pour que Kyllian n’ait pas prêté attention à mon visage marqué d’hématomes. C’était raté car j’entendis Kyllian étouffer un cri de stupeur et d’horreur. Je me sentais pitoyable. Je restais tête basse et j’entendis les pas de Kyllian se rapprocher de moi. Les larmes continuaient de perler sur mes joues, et Kyllian glissa avec douceur sa main sous mon menton, afin de me faire relever la tête. Son regard avait changé, la colère s’était envolée aussi vite qu’elle était venue. Il étouffa un nouveau cri lorsqu’il balaya à son tour les cheveux qui cachaient mon visage.

    KYLLIAN : « Kay’ qu’est ce … qu’est ce qui s’est passé ? Qui … Qui t’as fait ça ? »

    Sans que je n’aie le temps de répondre, Kyllian m’attira contre lui, et me serra longuement dans ses bras. Mes pleurs qui, jusqu’alors, étaient restés silencieux, se transformèrent en sanglot, et, me blottissant contre lui, je fermais les yeux. J’avais besoin de lui, maintenant plus que jamais. Au bout d’un certain temps, pendant lequel le seul bruit qui rompait le silence était celui de mes sanglots, Kyllian m’écarta légèrement de lui et repris la parole, rivant son regard, pleins de douceur et de tendresse, dans le mien, sa main posée doucement contre ma joue.

    KYLLIAN : « Je … je suis tellement désolé, mais pourquoi t’en … pourquoi tu m’en as pas parlé ? Je m’en tellement, je t’ai crier dessus alors que t’avais d’autre problème ! Je suis désolé Kaylight, vraiment désolé ! Je suis qu’un pauvre nul ! »

    « Tu ne pouvais pas savoir. » Répondis-je dans un murmure, mes sanglots s’étant calmés peu à peu. « Je suis désolée… Je suis tellement désolée… Pour hier soir, et pour ne pas t’avoir prévenue moi-même je… C’est mon père il est devenu cinglé et il… Excuses-moi »

    Les mots se bousculaient entre mes lèvres, et au final, mes paroles n’avaient aucun sens. Tout ce que je voulais, c’est qu’il me pardonne, car dans mon esprit, il avait toutes les raisons de m’en vouloir. J’avais également peur de voir de la pitié dans son regard, une des raisons pour lesquelles je ne lui avais pas dit. Si je devais le perdre à cause de ça, alors c’est que mon père, même maintenant que je ne vivais plus sous son toit, continuait de me gâcher la vie.

    En parlant de ne plus vivre sous le toit de mon père, d’ailleurs, je ne comptais pas m’éterniser chez Alex. Elle m’avait trahis, j’aurais compris si elle m’en avait parlé directement, au lieu de ça, elle m’avait fait ce coup bas… Je ne voulais pas la voir, pour le moment tout au moins, je m’étais déjà disputée avec Kyllian, je ne voulais pas en rajouter une couche. J’avais ue ma dose de problèmes ces trois derniers jours. J’ignorais cependant où j’allais dormir, je n’avais pas de famille chez qui aller. J’avais toujours su que quoi qu’il arrive, Alex m’accueillerais toujours, elle me l’avais dit, mais à part chez elle, ou pouvais-je aller ?
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeMar 28 Avr - 20:54

    Avait déjà eu l’impression de perdre tout ce qui vous possédiez alors que vous n’aviez perdu que la fille que vous aimiez. J’avais encore tout pour moi, ma famille, ma musique, mes fans mais en perdant Kaylight j’avais l’impression que plus rien ne pouvait aller pour moi. J’avais l’impression de me sentir vide comme si on m’avait pris mon cœur et qu’on m’avait dit : « Un jour peut être que je rendrais ton cœur. » J’avais besoin de Kaylight pour avoir un cœur. Pourtant quand j’avais rompu avec Alex j’avais eu mal, très mal, mais je n’avais jamais ressentis ce que je ressentais aujourd’hui. Je m’étais promis de ne jamais retomber amoureux après Alex, pour ne pas souffrir à nouveau et pourtant Kaylight, j’avais eu un coup de foudre pour elle. La première fois que je l’avais vu je savais que c’était avec elle que je voulais être et pourtant, ce qui était devenu possible pendant quelques jours, venait de s’effondrer. Je m’effondrais et tout mon monde avec. Ce matin dans le journal un article était déjà apparu pour dire que j’avais ‘gâcher’ le concert d’hier soir et que j’étais tombé sur scène mettant briser le petit doigt.

    Kaylight m’avait parlé d’Alex mais je ne voyais absolument pas ce qu’elle venait faire dans la conversation. Elle n’avait rien à voir avec tout cela. Evidemment je dis à Kaylight de ne pas mêler Alex à tout cela. Je ne tenais pas à lui créer des problèmes. Elle devait peut être me prévenir mais elle ne l’avait pas fait et je ne lui en voulait pas parce que j’aurais voulu que se soit Kaylight qui le fasse. Pourquoi n’avait-elle pas voulu me faire face et me dire qu’elle ne pouvait pas venir.

    Kaylight n’avait aucune envie de me laisser partir et d’ailleurs je n’étais pas très tendre avec elle. Alors qu’elle me demanda des explications parce qu’elle semblait totalement perdue je n’avais pas était tendre. Je m’étais emportant lui disant ce que j’avais le cœur, ce qui n’était pourtant pas mon habitude. J’avais finit par lui lâcher : « J’ai mal au cœur Kaylight ! ». Il fallait bien avouer que j’avais tellement mal que ce que je ressentais en ce moment était sortit sans même que je puisse retenir. Bien je regretta aussitôt d’avoir était aussi d’être aussi méchant en lui parlant comme ca. Je ne voulais pas la perdre, je l’aimais ! Elle était la fille avec qui je voulais passer ma vie.

    Pour ne pas me faciliter la tacher, des larmes commencèrent à couler sur les joues de ma petite amie, enfin en ce moment je ne savais plus vraiment ou l’on en était. Est ce qu’elle était encore ma petite amie ? Je n’en sais rien, j’étais perdu, totalement larguer. Bien sur, je vis et compris dans le regard de Kaylight qu’elle n’avait jamais voulut tout cela. Je savais que je ne pourrais pas ne pas lui pardonner.

    KAYLIGHT : « Je suis désolée je… Je ne voulais pas je… »

    Je sentais dans son intention et dans ses yeux qu’elle disait la vérité, elle était vraiment désolé. Puis je l’a vis mettre ses cheveux derrière ses oreilles et là je vis quelque chose qui m’horrifia. Je ne pus retenir un cri d’exclamation. J’était horrifié et soudain j’avais peur pour elle. Qui est ce qui avait bien pu lui faire cela. Qui avait bien pu faire une tel chose à Kaylight ? C’était une fille tellement génial que je comprenais pas comment quelqu’un pouvait lui faire du mal. Je m’approcha d’elle pris délicatement son visage dans mes mains. Je lui demanda qui avait pu lui faire cela. Je la serra dans mes bras et elle y sanglota. J’avais horreur de la voir pleurer, elle était malheureuse et c’était à cause de moi ! Je me sentais tellement honteux de m’être énervé contre elle. Je m’en voulais tout ca a cause de moi. Je m’excusa tellement je m’en voulais. Si je n’étais pas entré dans sa vie tout cela ne serait pas arriver et elle serait heureuse.

    KAYLIGHT : « Tu ne pouvais pas savoir. Je suis désolée… Je suis tellement désolée… Pour hier soir, et pour ne pas t’avoir prévenue moi-même je… C’est mon père il est devenu cinglé et il… Excuses-moi »

    Son père ? C’est … impossible ! Comment un père pouvait-il faire cela à sa propre fille. Mon père n’avait jamais levait la main sur mes frères ou moi, mais comment un père pouvait-il faire du mal à sa fille ? Je n’arrivais pas à y croire.

    « Non Kay’, c’est moi qui suis désolé ! Tout ca c’est de ma faute j’ai était con ! J’ai voulu voir que moi alors qu’au fond j’étais sur que si tu n’étais pas là hier c’était parce que tu avais une raison valable. Je me suis emporté tout seul et je t’ai fait souffrir alors que je m’étais promis de ne jamais le faire ! Je suis tellement désolé ! Je ne te mérite pas ! Tu mérite beaucoup mieux que moi ! Tu n’as pas besoin de quelqu’un de jaloux et qui te fait souffrir comme je le fais ! »

    Tout cela était sortit tout seul mais je m’en voulais tellement. S’il y avait une chose que j’avais bien envie en ce moment même c’était de disparaître et de la laissé être heureuse. Mais je repensait à ce que son père lui avait fait. Je trouvais ca horrible, je le haïssait sans même le connaître.

    « Comment ton père a-t-il pu te faire ca ? J’arrive pas à y croire ! Tu … Tu à des bleus ou mal autre part ? »

    Je savais que Kaylight ne s’entendait pas avec son père mais je ne pensais pas que cela arriverait aussi loin. Je savais aussi qu’il était hors de questions qu’elle retourner chez elle. Je l’a serra une nouvelle fois dans mes bras lui caressant doucement le dos. Je regardais ma main gauche qui portais l’attelle puis ferma les yeux. Kaylight ne devait sûrement pas être au courant de mon accident sur scène mais je m’en fichais pas mal ce n’était pas important du tout en ce moment même.

    « Il est hors de question que tu rentre chez toi ! Tant que ca n’ira pas mieux tu viendra vivre chez moi ! Je t’accompagne chercher tes affaires et tu reste chez moi aussi longtemps qu’il le faudra. En plus ma mère sera ravis d’avoir un peu de compagnie féminine avec 5 garçons à la maison c’est pas facile pour elle. Et puis je pourrais te présenter à ma famille comme ca ! »

    Il est vrai que ma mère étant la seule fille de la famille ce n’était pas facile pour elle tout les jours. Puis je n’avais pas été très sympa avec elle ce matin et avec Nate et Jake hier soir.

    « En plus de ca, j’ai pas été très … sympa avec Jake et Nate hier et j’ai un peu envoyer … chier ma mère ce matin ! »

    Enfin on s’en fichait. Ce qui était le plus important c’est que Kaylight soit en sécurité chez moi, si elle ne voulait pas je l’a traînerais de force. Hors de question qu’elle rentre chez elle et qu’elle voit son père !

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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeMar 28 Avr - 23:29

    Pourquoi n’avais-je pas pu naître dans une famille normale, et avoir une vie normale ? N’avais-je pas le droit d’être heureuse ? Chaque fois que je l’étais, il fallait qu’un évènement, plus ou moins grave, vienne tout faire marcher de travers, ou ne pas marcher tout court, d’ailleurs. Je n’avais jamais demandé tout ce qui m’arrivait, tout ce que je voulais, c’était être tranquille, et au lieu de ça, je m’étais retrouvée avec un père alcoolique et parfois violent, ma meilleure amie m’avait trahie, et mon petit ami ne ovulait plus de moi. J’étais au fond du trou. Le pire était probablement que je ne savais même pas comment réagir, gérer les choses, j’étais dépassée par ce qui m’arrivait. Plus encore après cette dispute avec Kyllian. Même aligner une phrase sensée était un effort quasi-surhumain pour moi, j’étais totalement déconnectée, j’étais fatiguée, éreintée, seulement, je ne pouvais pas abandonner. J’aimais Kyllian, du plus profond de mon cœur, et cette douleur que je ressentais, à la seule idée de le perdre, je ne voulais pas la ressentir plus intensément encore, en le perdant réellement. Je tentais donc, avec mes pauvres moyens, de le retenir. Mes paroles, cependant, ne servaient qu’à en rajouter une couche.

    Son comportement, sa façon de me parler, avait cependant radicalement changé au moment où il avait vu les bleus qui marquaient mon visage. Je n’avais pas voulu qu’il me voit comme ça, car au fond de moi, j’avais peur qu’il ressente de la pitié, et je ne voulais pas qu’il ait pitié de moi. L’opinion des autres à mon égard ne m’importait pas, mais il n’était pas n’importe qui. Il était celui auquel j’avais pensé ses deux derniers jours, celui qui me faisait sourire, rien qu’en pensant à lui, dont l’image venait hanter mes rêves – dans le bon sens – celui dans les bras duquel je voulais tout oublier pour être seulement une fille normale, être juste Kaylight, et rien d’autre. Il était celui que j’aimais, tout simplement, et je craignais par dessus tout qu’il ne m’aime pour les mauvaises raisons.

    Cependant, ce n’était pas de la pitié que je pouvais lire dans son regard, qu’il posait sur moi, avant de me serrer contre lui. L’inquiétude, la douceur, la tendresse, entre autres émotions, s’y mêlaient, mais la pitié n’avait pas sa place, comme la colère qui avait déserté ses traits. Alors seulement je m’étais laissée aller à pleurer à chaudes larmes, blottie contre son torse, ruinant au passage son T-shirt, cependant, cela semblait être le cadet de ses soucis. Il n’avait desserré son étreinte que lorsque mes sanglots s’étaient calmés, mes yeux étaient toujours baignés de larmes, mais retrouver ses bras m’avait fait du bien. Il m’avaient manqué, et je ne réclamais pour le moment rien d’autre que cela.

    J’avais essayé d’expliquer à Kyllian, cependant, mes paroles étaient aussi embrouillées que mes pensées, si bien qu’entre mes innombrables excuses, on ne comprenait pas grand-chose, hormis que si j’avais le visage – et accessoirement d’autres parties de mon corps, dissimulées sous mes vêtements – marqués d’hématomes, c’était parce que mon père était cinglé. Kyllian semblait abasourdi, et en colère lorsque je lui dis cela. Cette colère ne m’était cependant pas destinée cette fois. Heureusement.

    KYLLIAN : « Non Kay’, c’est moi qui suis désolé ! Tout ça c’est de ma faute j’ai été con ! J’ai voulu voir que moi alors qu’au fond j’étais sur que si tu n’étais pas là hier c’était parce que tu avais une raison valable. Je me suis emporté tout seul et je t’ai fait souffrir alors que je m’étais promis de ne jamais le faire ! Je suis tellement désolé ! Je ne te mérite pas ! Tu mérites beaucoup mieux que moi ! Tu n’as pas besoin de quelqu’un de jaloux et qui te fait souffrir comme je le fais ! »

    Il avait tort. Il était le seul dont j’avais besoin, et peu importaient ses défauts. C’était celui que j’aimais, et je l’aimais pour ce qu’il était. Il s’excusait alors que si il avait agi de la sorte, c’était parce que j’avais été trop lâche ne serait-ce que pour l’appeler et le prévenir moi-même. Seulement, je n’avais pas voulu lui mentir, j’en étais incapable. Je n’étais pas non plus d’accord lorsqu’il disait qu’il ne me méritais pas : c’était lui qui méritais mieux que moi, mieux qu’une fille à problèmes, qui ne peux même pas tenir 3 jours sans que la poisse lui retombe dessus, une fille qui était incapable de faire ce qu’il fallait pour éviter de provoquer des disputes et de le faire souffrir.

    « Ne dis pas de bêtises. Tu es le seul avec qui je veux être, et je t’interdis d’en douter. Tu es la seule chose dont j’ai besoin, peu importent tes défauts. Tu a le droit d’être en colère conte moi, j’ai été lâche, j’aurais du te prévenir moi-même. C’est juste que je ne voulais pas que tu me vois comme ça et je… » Dis-je en baissant la tête, honteuse. « J’avais peur que tu ai pitié de moi

    KYLLIAN : « Comment ton père a-t-il pu te faire ça ? Je n’arrive pas à y croire ! Tu … Tu as des bleus ou mal autre part ? »

    Je décidais d’éluder la première question. Mon père était un sujet dont je ne parlais pas. Avoir un père alcoolique et violent n’était pas particulièrement ma plus grande fierté, je pense que c’est plutôt compréhensible. Ce n’était pas la première fois que mon père levait la main sur moi, mais ç’avait été la pire. La fois de trop. Je savais que j’aurais du porter plainte depuis longtemps, mais si je portais plainte, je risquais d’être placée en famille d’accueil, et donc peut être de quitter Los Angeles : c’était hors de question. J’avais donc gardé le silence.

    « Des hématomes un peu partout… Et je pense que ma cheville droite est foulée. Mais ça va. » L’informai-je.

    Kyllian me serra à nouveau tout contre lui, et je fermais les yeux, tandis qu’il caressait doucement mon dos de sa main. J’étais tellement bien dans ses bras, j’aurais voulu y rester, et ne pas en bouger, durant un long moment. Pour toujours serait l’idéal. Je me rendis compte pour la première fois à quel point j’étais épuisée. Lorsqu’il relâcha son étreinte, je remarquais quelque chose que je n’avais pas remarqué avant : Kyllian portait une attelle à sa main gauche, afin de maintenir son petit doigt… J’avais raté un épisode là…

    « Qu’est ce qui t’es arrivé ? » Demandai-je, sourcils froncés, en désignant sa main blessée.

    KYLLIAN : « Il est hors de question que tu rentre chez toi ! Tant que ça n’ira pas mieux tu viendras vivre chez moi ! Je t’accompagne chercher tes affaires et tu reste chez moi aussi longtemps qu’il le faudra. En plus ma mère sera ravis d’avoir un peu de compagnie féminine avec 5 garçons à la maison c’est pas facile pour elle. Et puis je pourrais te présenter à ma famille comme ça ! »

    « Que… Quoi ? Non, je vais pas squatter chez toi, je… Je vais trouver un autre moyen t’en fais pas. » M’empressai-je de répondre.

    Avisant son visage, je compris vite quelque chose : son offre n’était pas négociable. Pourquoi fallait-il que je sois tombée sur le garçon le plus généreux, gentil, protecteur de la ville ? Du pays peut être plus d’ailleurs. C’était injuste pour les autres filles, je ne méritais pas cette chance. Je ne méritais pas qu’un garçon comme Kyllian veuille de moi. Enfin, il y avait diverses raisons pour lesquelles j’avais répondu non à Kyllian. Pas que vivre sous le même toit que lui me répugne, au contraire. Seulement, quelle image sa famille allait-elle avoir de moi, si je me pointais chez eux comme ça, couverte de bleus, fatiguée… La belle image de pauvre fille qu’ils auraient de moi. Ca fait bien pour une première rencontre. Cependant, Kyllian semblait confiant, et prêt à me traîner chez lui de force si il le fallait, et je ne me sentais pas d’attaque à lutter contre lui.

    « Tu me laisses pas le choix c’est ça ? »

    Si tel était le cas, il resterait toujours un problème à régler : aller chercher mes affaires. Il était hors de question que Kyllian vienne avec moi chez mon père.

    KYLLIAN : « En plus de ça, j’ai pas été très … sympa avec Jake et Nate hier et j’ai un peu envoyer … chier ma mère ce matin ! »

    « Désolée… Encore. C’est de ma faute… » M’excusai-je.

    Avez-vous remarqué combien de choses étaient dues a mon comportement d’imbécile ? Kyllian en était même venu à envoyer chier sa mère et ses frères à cause de moi. Si je me retrouvais à vivre chez lui, je tâcherais de m’excuser auprès de ses parents. Kyllian n’avait pas besoin de se faire passer un savon par ma faute.
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeMer 29 Avr - 17:21

    Tout mon monde c’était effondré alors que je pensais avoir perdue Kaylight. Pourtant tout ce que je demandais c’était avec elle pour toujours, je ne voulais pas la perdre ni la faire souffrir. Mais à prêt tout qui aurait envie de souffrir ? personne ! Pour une fois que j’avais pensé avoir trouver quelqu’un qui m’aimait et que j’aimais réellement tout se révéler faux enfin c’est ce que je pensais. J’aimais Kaylight, j’avais peur de la perdre, peur de découvrir qu’elle ne m’aimait pas. Mais pourtant tout les idées que je m’étais faite pour expliquer son absence hier c’était révéler fausse. Elle m’aimait, je le savais, je le voyais dans ses yeux quand je l’a regardais, je le voyais dans cette façon qu’elle a de s’excuser parce que je sentais que ses excuses étaient sincère.

    Pourtant lorsque j’avais vu ses bleus, ma faisant pousser un cri de stupeur par la même occasion, ma colère c’était soudain totalement évaporer. Je mettais approcher d’elle la serrant contre moi, ce n’était en rien parce que j’éprouvais de la pitié pas du tout. C’est parce que je venais soudain de me rendre compte que j’étais idiot, totalement idiot. J’avais crié sur elle alors que tout cela n’était que de ma faute. Elle n’était pas venue tout simplement parce qu’elle avait peur que j’ai pitié d’elle, mais ce ne serait jamais le cas. C’est juste que j’ai peur pour elle.

    Je m’étais excuser pour la millième fois, c’est vrai qu’elle mériter mieux que moi, beaucoup mieux. Elle ne méritais pas que quelqu’un la fasse souffrir comme je le faisais en ce moment même. Je l’aimais plus que tout au monde mais si elle souffrait d’être avec moi ? Je secoua légèrement ma tête chassant ses pensées de mon esprit puis elle pensait, bien évidemment, que ce n’était pas ma faute.

    KAYLIGHT : « Ne dis pas de bêtises. Tu es le seul avec qui je veux être, et je t’interdis d’en douter. Tu es la seule chose dont j’ai besoin, peu importent tes défauts. Tu a le droit d’être en colère conte moi, j’ai été lâche, j’aurais du te prévenir moi-même. C’est juste que je ne voulais pas que tu me vois comme ça et je… J’avais peur que tu ai pitié de moi »

    Ces paroles me touchèrent, j’étais la personne avec qui elle voulait être. Je savais que c’était la vérité, j’avais pensé qu’elle ne m’aimait pas alors que c’était tout l’inverse. La seul chose dont elle avait besoin, j’essaya de dire quelque chose mais ce ne fut que du bafouillage. Je me décida donc à ne rien dire. Je l’écouta jusqu’à la fin et une nouvelle fois passa délicatement ma main sous son menton avant de lui relever la tête et de la fixer dans ses magnifique yeux marron. On pouvait y voir de la peur mais aussi de la tendresse. Je me promis de ne plus jamais douté de ses sentiments.

    « Tu es la seule avec qui je veux être ! Je n’avais pas le droit de te crier comme ca ! Je sais que je me répète mais je suis désolé ! Je n’aurais jamais pitié de toi mais je … je refuse qu’on te fasse du mal et je sais quand ce moment je t’en fait ! »

    Je déposa tendrement mes lèvres sur les siennes, c’est fou ce que ca m’avait manqué ces derniers jours. Je l’embrassa tendrement et amoureusement avant de séparer nos lèvres mais laissant mon front contre le sien et mes yeux fermés. Je resta quelques secondes comme ca puis me recula un prenant ses mains dans les miennes et entremêlant mes doigts aux siens. Je lui demanda ou est ce qu’elle avait mal.

    KAYLIGHT : « Des hématomes un peu partout… Et je pense que ma cheville droite est foulée. Mais ça va. »

    Je la regarda et grimaça légèrement quand elle me dit des hématomes un peu partout et la cheville fouler. Je n’arrivais toujours pas à croire que c’était son propre père qui lui avait fait cela. Je ne voulais pas qu’à cause de tout ce qui venait de se passer on ne soit plus ‘les mêmes’. Puis la serrant contre moi je lui caressant doucement le dos. Fermant les yeux j’avais poser mon menton sur sa tête. Je me sépara au bout d’un moment et Kaylight repris la parole.

    KAYLIGHT : « Qu’est ce qui t’es arrivé ? »

    « Oh ca ! C’est rien » Dis-je en jetant un coup d’œil à ma main ou était mon attelle.

    Il est vrai que hier j’avais vraiment était nul. Tomber sur scène, j’avais été complètement ailleurs pendant tout le concert et je pensais que j’avais déçue mes frères. Les pauvres avaient du rattraper mes conneries sur scène. Je baissa la tête un moment puis quand je l’a releva je vis bien que Kaylight n’allait pas lâcher l’affaire.

    « Bon OK ! Hier soir je suis tombé sur scène et je … jme suis casser le petit doigt ! »

    Je grimaça légèrement, bien sur j’avais quand même finis le concert ce n’était qu’une petit fracture. J’eus soudain une idée et passant mon bras dans son dos et l’autre sous ses genoux je l’a souleva comme une princesse et lui fis un grand sourire avant de prendre la parole.

    « Tu as la cheville foulée et tu reste debout ? Il va vraiment falloir que je te surveille ! » Dis-je sur un ton plus léger.

    Je l’emmena vers le canapé du salon, nous étions toujours en train de squatter chez Alex, et je l’a déposa doucement sur le canapé. Me mettant au niveau de ses pieds je pris sa cheville et commença à masser doucement.

    « J’espère que t’es laver les pieds ! Je veux pas mourir asphyxié ! Dit moi si jte fait mal ! »

    Je ris légèrement et la massa doucement. Bien sur pendant ce temps je réfléchissait à plein de chose et repris la parole disant à Kaylight qu’elle allait venir vivre chez moi un moment. Bien sur, commencent à la connaître pas mal, je n’avais pas louper sa réaction. Je souris légèrement.

    KAYLIGHT : « Que… Quoi ? Non, je vais pas squatter chez toi, je… Je vais trouver un autre moyen t’en fais pas. »

    Je n’allais sûrement pas lui laisse le choix. Je ne comptais pas la laisser chez Alex, qui n’était pratiquement jamais là ces derniers temps, et chez elle encore moins, ou alors je reste avec elle. Oh ne croyais pas que derrière mon invitation enfin plutôt mon obligation à venir chez moi je voulais allez plus loin avec elle. J’avais une bague de pureté et je n’étais pas du tout de ce genre. Je souris à la réaction de Kaylight et avant que j’ai pu répondre elle avait reprit la parole.

    KAYLIGHT : « Tu me laisses pas le choix c’est ça ? »

    « Exactement ! Et si tu cherche à résister je t’y traînerais de force et je t’enfermerais chez moi ! »

    Bien sur je n’allais quand même pas l’enfermer quand à la traîner de force, j’avais tout de suite vu qu’elle avait déjà abandonné l’idée de batailler pour que je change d’avis. Par contre je pensais bien qu’elle ne voudrait sûrement pas que je l’accompagne chez son père et avant qu’elle ai pu dire autre chose.

    « Quand à chercher tes affaires il est hors de questions que jte laisse rentrer toute seule chez toi même si juste pour récupérer tes affaires, surtout après ce qu’il ton père t’as fait. Et inutile d’essayé de marchander, je ne changerais pas d’avis et je … j’ai peur qu’il t’arrive autre chose ! »

    Kyllian Nate Connors a peur pour sa petite amie ?! Eh bien oui ! Si il avait pu lui faire cela il pouvait très bien faire pire que cela. En vérité une question me trotter dans le tête mais je n’osait pas la poser. Je avoua ensuite que je n’avais pas était très sympa avec ma famille ces derniers temps. Je la regarda et pris la parole.

    « Non là par contre c’est moi ! C’est mon comportement qui est fautif mais ne t’inquiète je suis sur que ma mère va juste, encore, me demander ce qui s’est passé et rien de plus. »

    Je souris puis je m’approcha d’elle l’embrassa amoureusement et tendrement une nouvelle fois. Je l’aimais comme un fou cette fille. Je me sépara d’elle et me cala dans le canapé avant de l’attirer dans mes bras. On fait du squatte chez Alex. Je posa ma tête contre celle de Kaylight puis décida de poser la question.

    « Kay ? » Lançais-je et elle se tourna vers moi. « Est ce que c’est … Je sais que ca ne me regarde sûrement pas et que tu ne voudra peut être pas me le dire mais est ce que ton père t’as déjà … frappé avant ? Plusieurs fois ? Pourquoi est ce que tu ne porte pas plainte ? Tu peux te faire émanciper tu as 16 ans !»
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeMer 29 Avr - 21:34

    Il s’était passé tellement de choses ces derniers jours, j’étais épuisée. Complètement lessivée, encore pire après ma nuit quasi blanche de la veille. Satané cheville. Mais j’étais heureuse, et surtout soulagée, que la colère de Kyllian se soit envolée. Si ça avait du durer, je ne pense pas que j’aurais tenu bien longtemps, je n’étais vraiment pas d’humeur à une dispute, et retrouver les bras de Kyllian était tout ce dont j’avais besoin. Je n’imagine même pas l’état de nerfs, de fatigue, et de chagrin dans lequel je me serais retrouvée si Kyllian avait franchis cette porte, me laissant plantée là, seule, signifiant clairement qu’il ne reviendrait pas. Cela n’était néanmoins pas arrivé, alors je devais cesser de me torturer avec des suppositions douloureuses et stupides.

    Kyllian avait plusieurs fois tenté d’en placer une tandis que je parlais, mais tout ce qu’il avait réussi à dire, c’était des bafouillements sans sens réel. Une fois que j’eu fini, cependant, la tête basse, honteuse d’avouer que j’avais eu peur qu’il ne reste avec moi par simple pitié, il glissa de nouveau sa main sous mon menton, me faisant relever la tête, afin de croiser mon regard.

    KYLLIAN : « Tu es la seule avec qui je veux être ! Je n’avais pas le droit de te crier comme ça ! Je sais que je me répète mais je suis désolé ! Je n’aurais jamais pitié de toi mais je … je refuse qu’on te fasse du mal et je sais quand ce moment je t’en fait ! »

    Kyllian ne me laissa pas le temps de répondre – je n’en avais pas l’intention, je n’aurais alors fait que me répéter –et ses lèvres rencontrèrent les miennes. Je lui rendis son baiser, fermant les yeux, heureuse de retrouver ces sensations dont je ne me lasserais jamais : le cœur qui bat à la chamade, l’envie que le moment dure une éternité, l’impression d’être seuls au monde, et que tous mes problèmes s’envolent, que les seules choses qui comptent, ce sont lui, et moi. Ce fut un baiser tendre et amoureux, cela m’avait manqué. J’avais eu tellement peur, il y a quelques instants, de ne plus ressentir cela. Kyllian interrompit notre baiser, mais laissa son front appuyé contre le mien. Je conservais les yeux fermés, savourant ses retrouvailles. Cela ne faisait pas si longtemps que je ne l’avais pas vu, cependant, il m’avait manqué. Son sourire, ses baisers, sa voix, son regard, tout en lui m’avait manqué.

    « Tu m’as manqué. » Lui murmurai-je.

    Kyllian pris ensuite mes mains dans les siennes entremêlant nos doigts, s’écartant quelque peu, et me demanda si, hormis mes bleus sur le visage, j’avais d’autres blessures, mal autre part. Je lui avais donc répondu que j’avais des hématomes un peu partout, et la cheville foulée… Cela sembla le contrarier d’ailleurs. En même temps, ce n’était guère étonnant ! Il me serra de nouveau contre lui, caressant doucement mon dos, son menton appuyé sur le dessus de ma tête, puis, une fois cette étreinte terminée, ce fut à moi de poser une question : que faisait-il avec une attelle à la main gauche ?

    KYLLIAN : « Oh ça ! C’est rien »

    « Quand on a rien, on ne porte pas une attelle. » Répliquai-je.

    J’aurais bien croisé les bras contre mon torse, histoire de prendre mon air inquisiteur, du genre « tu vas me dire ce qui t’es arrivé maintenant ?! », mais mes je tenais toujours les mains de Kyllian, alors c’était impossible. Cependant, je voulais tout de même savoir, et il du s’en apercevoir.

    KYLLIAN : « Bon OK ! Hier soir je suis tombé sur scène et je … j’me suis casser le petit doigt ! »

    Je soupirai et levais les yeux au ciel. Je ne fis cependant pas de commentaires du genre « c’est de ma faute, pardon » car je savais qu’il me resservirait le même discours que tout à l’heure, rejetant toute la faute sur lui, alors qu’il ne méritait pas d’être blâmé, car la faute me revenait entièrement.

    « C’est malin » Me contentai-je de commenter.

    Kyllian afficha soudain un air de celui qui a une idée… Qu’allait-il nous faire encore ? Je ne tardais pas à avoir la réponse, car lâchant mes mains, il passa une main dans mon dos, et l’autre derrière mes jambes, me soulevant sans mal – il faut reconnaître que je ne suis pas bien épaisse non plus – en me portant à la manière d’une princesse. J’avais poussé un petit cri de surprise, mettant, par réflexe, mes bras autour de son cou. Remarquant le grand sourire qu’il affichait, je ne pu m’empêcher de lui rendre.

    KYLLIAN : « Tu as la cheville foulée et tu reste debout ? Il va vraiment falloir que je te surveille ! »

    Je ne pu retenir un rire, tandis que Kyllian me portait jusqu’au salon. Mine de rien, nous étions toujours chez Alex, à taper l’incruste… J’espérais être partie avant qu’elle ne revienne, car je ne souhaitais guère une autre dispute.

    « Je sais marcher, tu sais ?! » Ne puis-je m’empêcher de faire remarquer à Kyllian.

    Cela n’eu cependant aucun effet, puisqu’il ne me reposa pas avant d’être arrivé au salon, ou il me déposa en douceur sur le canapé. Une fois qu’il m’eu installée, il s’assit au niveau de mes pieds, il était décidément aux petits soins pour moi, puisqu’il commença à masser ma cheville douloureuse, ne pouvant s’empêcher une petite plaisanterie. Qui lui en voudrais cependant, de détendre l’atmosphère ? Ca faisait du bien de rire.

    KYLLIAN : « J’espère que t’es laver les pieds ! Je ne veux pas mourir asphyxié ! Dit moi si j’te fais mal ! »

    Il commença donc à masser ma cheville. Dans un premier temps, je grimaçais, lorsqu’il passa une main sur ma cheville endolorie, cependant, le massage fit bien vite son effet. Il était décidément polyvalent ce garçon, quand je vous dis que je ne le méritais pas. Tout le monde voulait trouver la perle rare, et moi, ça m’était arrivé. J’avais au moins eu cette chance dans ma vie de dingue.

    « Ne t’inquiète pas, mes pieds sont propres. » lui assurai-je en riant. Je gardais un instant le silence, regardant Kyllian, perdue dans mes pensées. Puis je dis avec un léger sourire, simplement parce que je voulais qu’il le sache, parce qu’il était celui que j’aimais, parce qu’il était toujours là. « Je t’aime Kyllian. »

    La conversation pris ensuite un tournant auquel je ne m’étais pas attendue : Kyllian avait décidé – sans me demander mon avis, d’ailleurs – que je logerais chez lui. Pas que vivre sous le même toit que lui me répugne, mais je détestais m’imposer, Alex vivait seule, elle, c’était différent. Kyllian avait ses parents, ses frères… Et si je ne dérangeais pas Kyllian, il était moins sûr que ses frères et ses parents en pensent autant. Si vivre sous le même toit ne me dérangeait pas le moins du monde, cependant, ce n’était pas pour des raisons que certains pouvaient s’imaginer, car, tout comme lui, je portais une bague de pureté, alors cela n’avait strictement rien à voir avec ce que les esprits les plus déplacés pourraient s’imaginer. Ma réaction était donc prévisible, j’avais refusé, prétextant que je trouverais un moyen, cependant, à la façon dont me regardait Kyllian, à la façon dont il souriait, je compris que je n’avais pas le choix.

    KYLLIAN : « Exactement ! Et si tu cherches à résister je t’y traînerais de force et je t’enfermerais chez moi ! »

    Des menaces ? Je me doutais bien que par « traîner de force » il n’entendait pas cela au sens propre, je n’étais pas stupide, mais je devinais tout de même qu’il ne me laisserait pas le choix. J’allais ouvrir la bouche pour répliquer, afin de mettre bien au clair qu’il était hors de question qu’il vienne chez mon père chercher mes affaires. Mon petit ami fut cependant plus rapide, et avant que je n’aie pu ouvrir la bouche, il enchaîna.

    KYLLIAN : « Quand à chercher tes affaires il est hors de questions que j’te laisse rentrer toute seule chez toi même si juste pour récupérer tes affaires, surtout après ce qu’il ton père t’as fait. Et inutile d’essayé de marchander, je ne changerais pas d’avis et je … j’ai peur qu’il t’arrive autre chose ! »

    Je soupirais, résignée. Décidément, il avait pensé à tout. L’idée de m’enfuir toute seule, et de lui fausser compagnie me traversa l’esprit, cependant, je paris a cent contre un qu’au sprint, il me bat à plate couture, et ce même quand je n’ai pas une cheville foulée. J’effaçais donc cette idée de mon esprit. Je ne pouvais pas lui en vouloir d’avoir peur qu’il m’arrive quelque chose. Ce n’était pas comme si ça n’était jamais arrivé. Cependant, si il voulait vraiment venir avec moi, il devrait faire ça à ma manière. Celle par laquelle on était le plus sur de ne pas croiser mon père. En effet, plus que pour moi, j’avais d’avantage que mon père s’en prenne à Kyllian. Qui sait ce qu’il pouvait faire quand il avait trop bu ? Ah oui, moi, je sais.

    « Ok. » Dis-je, résignée. « Mais on fait ça à ma manière, et ça inclura les escaliers de secours, et ne pas croiser mon père. Si t’as peur qu’il m’arrive autre chose, moi, j’ai peur que ce soit à toi qu’il s’en prenne. »

    Je savais déjà comment m’y prendre, et Kyllian aurait beau protesté qu’avec une cheville foulée, les escaliers étaient déconseillés, on ne prendrait pas l’ascenseur et la grande porte. On prendrais les escaliers de secours, et la fenêtre de ma chambre. J’avais de plus eu la bonne idée de fermer la porte de ma chambre à clé, en cas de besoin, avant de fuguer. Il n’y avait donc pas de meilleur moyen pour récupérer mes affaires, sans croiser mon père. J’étais peut être fatiguée, mais mon cerveau était toujours ne état de marche, ce qui était rassurant.

    Kyllian poursuivi donc en avouant qu’il avait été désagréable avec sa mère et ses frères. Et bien sur, j’avais conclu, immédiatement, que c’était de ma faute. Après tout, à cause de qui avait-il été de mauvaise humeur, en colère ? A cause de moi. Je l’avais blessé, involontairement, et je m’en voulais, cependant, on ne peut pas changer le passé.

    KYLLIAN : « Non là par contre c’est moi ! C’est mon comportement qui est fautif mais ne t’inquiète je suis sur que ma mère va juste, encore, me demander ce qui s’est passé et rien de plus. »

    « Je lui dirais que c’était à cause de moi. Parce que c’était à cause de moi, ne dis pas le contraire. Tu l’as dis toi-même, je t’ai blessé, et je m’en veux. »

    Il n’arriverais pas à m’en faire démordre, c’était ma faute, entièrement, et non la sienne. Oui, j’ai une forte tendance à plaider coupable de tout. Personne n’est parfait ! Kyllian cessa ensuite de masser ma cheville, pour se rapprocher de moi, et m’embrasser à nouveau. Il se cala ensuite dans le canapé, m’attirant dans ses bras. Je ne protestais pas, comme il fallait s’en douter. Après un moment de silence, Kyllian repris la parole, quelque peu hésitant, je le sentais.

    KYLLIAN : « Kay ? Est ce que c’est … Je sais que ça ne me regarde sûrement pas et que tu ne voudra peut être pas me le dire mais est ce que ton père t’as déjà … frappé avant ? Plusieurs fois ? Pourquoi est ce que tu ne portes pas plainte ? Tu peux te faire émanciper tu as 16 ans ! »

    Je gardais le silence un moment, jouant avec la bague cerclait mon annulaire gauche, ma bague de pureté, sur laquelle les mots « True Love Waits » étaient gravés – mots quelques peu mensongers aujourd’hui, puisque le véritable amour, je l’avais trouvé. Cependant, cette bague était symbolique pour moi, et j’avais pris la manie de la faire tourner autour de mon doigt lorsque je réfléchissais. A chacun ses petites habitudes. Les questions de Kyllian ne me dérangeaient pas, après tout, il n’était pas n’importe qui, ce n’était pas comme si je devais me mettre à raconter ma vie à un parfait inconnu. Je fini donc par reprendre la parole.

    « Ce n’est pas la première fois. C’est déjà arrivé… Plusieurs fois… J’ai déjà pensé à porter plainte, mais… J’avais peur qu’ils ne me placent en famille d’accueil, loin de Los Angeles, alors je n’ai rien dit. L’émancipation, j’y ai pensé, j’aurais du le faire déjà depuis longtemps… Mais je… » J’hésitais avant de poursuivre. « Peut être que quelque part j’espérais que les choses changeraient. Qu’il changerait. Qu'il s'apercevrait que j'existait, que j'étais sa fille, et que ce n'était aps ce que ma mère aurait voulu» Je haussais les épaules. « Je me suis trompée. »

    Oui, j’avais longtemps gardé espoir qu’un jour, mon père s’aperçoive de quel monstre il était devenu, qu’il réagisse, et change, qu’il se dise que ce n’était pas ce que ma mère aurait souhaité… Ce n’était jamais arrivé, et c’était fini. J’avais fini d’espérer. Tout ce que je voulais, maintenant, c’était qu’il finisse enfermer là ou il avait sa place : derrière les barreaux d’une prison. D’un sens, l’émancipation serait le seul moyen qui me permettrait de pouvoir porter plainte contre lui, sans finir en famille d’accueil. Ainsi blottie contre Kyllian, il m’étais facile d’avoir les idées plus claires, je me sentais en sécurité dans ses bras. Me confier à lui était étrangment facile, et j'ignorais pourquoi. Il était cependant agréable d'avoir quelqu'un à qui je savais que je pouvais me confier les yeux fermés, en dehors d'Alex.
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeJeu 30 Avr - 22:29

    Les trois derniers jours avaient été les plus beau de toute ma vie surtout depuis que j’étais avec Kaylight mais bien sur il fallait pendant quelques temps que je doute de tout cela il avait fallut que mon bonheur soit stoppé. Je n’étais pas vraiment d’humeur aux disputes pourtant j’en avais créer une en venant voir Alex et en étant tombé sur Kaylight. J’avais su que j’allais facilement m’énerver mais tout ce que j’avais pu dire de méchant ou autre je ne l’avais jamais pensé. Encore une fois je n’avais jamais voulu faire de mal à Kaylight bien que j’étais totalement conscient que je lui en avais fait sans le vouloir vraiment. Heureusement ma colère était retombé et je m’était excusé des millions de fois.

    J’avais essayé de placer plusieurs fois quelques trucs mais je n’avais réussit qu’à bafouiller des paroles incompréhensible. J’avais finit par lui avouer qu’elle était la seul avec qui je voulais être et que j’avais peur pour elle. C’est vrai que si son propre père pouvait lui faire du mal il était hors de question que je m’éloigne d’elle. Je serrais toujours là pour elle n’importe ou et n’importe quand. Je l’aimais et elle m’aimait c’est tout ce qui comptais.

    Je n’avais pas laissé Kaylight parler et l’avait embrassé. Depuis le temps que cela m’avait manqué. Je ressentais toujours cette sensation bizarre au fond de moi mais qui me faisait me sentir plus heureux que jamais. J’avais finit par interrompre notre baiser appuyant mon front contre celui de Kaylight. Les yeux de Kaylight et le miens étaient resté fermés. Elle m’avait manquée ! Terriblement manquée ! J’avais enfin les retrouvailles que je voulais. Heureuse et non pas à se hurler dessus. Je n’avais jamais envie que ce moment s’arrête. Mon front toujours appuyer contre celui de Kaylight je me sentais bien. J’étais heureux.

    KAYLIGHT : « Tu m’as manqué. »

    Ces paroles m’étirèrent un sourire sur mes lèvres. Elle ne pouvait pas imaginé à quel point elle m’avait manqué aussi. Je rouvrais les yeux doucement et m’écarta légèrement prenant ses mains dans les miennes, entrelaçant nos doigts. Je lui fis un petit sourire et pris la parole.

    « Tu m’as tellement manqué aussi ! »

    Je lui demanda si elle avait d’autre bleus ou contusion, elle me répondit qu’elle avait seulement quelque hématomes et la cheville foulé. Enfin c’était déjà trop. Je caressa doucement le dos de ses mains avec mes pouces et elle finit par me demander ce que j’avais à la main. Bien évidemment je n’étais pas du tout du genre à me plaindre mais cela ne marcha pas avec Kaylight.

    KAYLIGHT : « Quand on a rien, on ne porte pas une attelle. »

    Je souris à cette réplique. Rien qu’au regard de Kaylight je compris que je serais obligé de lui dire. Dans le genre têtu nous étions pas mal tout les deux. Je finit donc, bien sur, par lâcher le morceau. Lui expliquant que j’étais tombé sur scène la veille. Je le regarda lever les yeux au ciel. Bizarrement alors que je m’y étais attendu, elle ne fit aucun commentaire. Je la regarda dans ses magnifique yeux.

    KAYLIGHT : « C’est malin »

    « Tu devrais savoir que je ne suis pas malin ! »

    Je laissa échapper un léger rire. Bien sur la regardant je me rappela qu’elle avait la cheville foulé. Sans qu’elle s’y attendent je la souleva de terre comme une princesse. Ce qui la surpris car par réflexe elle passa ses bras autour de mon cou, je laissa échapper un nouveau petit rire avant de lui faire comprendre que j’allais la surveiller. Cela je n’allais sûrement pas y louper et j’allais être au petits soins car je tenais bien à me faire pardonner de mon comportement. J’avais été atroce avec elle et même si elle ne voulait pas le reconnaître et qu’elle se rejeter la faute dessus je voulais faire de mon mieux pour lui faire plaisir.

    KAYLIGHT : « Je sais marcher, tu sais ?! »

    « Ah bon ? J’ai pourtant entendu dire que ce n’était pas trop ton domaine de force ! »

    Je ris une nouvelle fois, qu’est ce que j’aimais la taquiner ! En même temps comme dit le proverbe « Qui aime bien châtie bien ». J’adorais l’embêter c’était à présent sur à 100 %. Mais je ne l’a posa pas pour autant par terre. Je l’a déposa sur le canapé. Bien évidemment je me mis à ses pieds et commença à masser sa cheville. Quand je vous dis que j’allais être au petits soins ce n’était pas pour de faux. Bien sur je ne pu m’empêcher de la chambrer. J’étais raide dingue de cette fille, j’aurais pu faire n’importe quoi pour elle, même décrocher la lune et les étoiles s’il le faut. C’était vraiment fou à quel point j’étais accro à elle.

    KAYLIGHT : « Ne t’inquiète pas, mes pieds sont propres. »

    « J’espère bien ! »

    Je resta silencieux un moment tout comme Kaylight. J’étais un perdu dans mes pensées et en même temps je massais machinalement la cheville de Kaylight. Je pensais à ce que serais si je n’avais pas Kaylight dans ma vie mais je ne pouvais pas me l’imaginer. Je ne m’imaginais plus sans elle.

    KAYLIGHT : « Je t’aime Kyllian. »

    Je fus surpris par ces mots auquel je ne m’attendais pas du tout à les entendre maintenant. Je releva la tête et fixa Kaylight dans les yeux. Je devais moi aussi lui dire ce que je ressentais. Je fis un sourire craquant et me lança.

    « Moi aussi Je T’aime Kay’ ! »

    Notre conversation continua je ne comptais pas la laissé seul chez elle et encore moins chez Alex qui n’était pas la souvent ces derniers temps. J’avais donc dit qu’elle allait venir vivre chez moi quelques temps. De toute façon je ne lui laissais pas le choix, qu’elle le veuille ou non elle serait chez moi quelques temps. Je ne voulais pas qu’elle se retrouve à la rue et encore moins chez son père. D’ailleurs je pense que si un jour je le rencontrais ca passerait sûrement mal, très mal.

    Kaylight avait bien compris que je ne lâcherais pas l’affaire. Elle essayais quand même de trouver quelque chose pour échapper à cela, mais de toute façon elle n’allais pas pouvoir me faire changer d’avis. Je voyais bien qu’elle réfléchissait. Elle tenait sûrement pas à ce que je me retrouver en face de son père ce qui, en soit, ce comprenait tout à fait même si je savais très bien me défendre.

    KAYLIGHT : « Ok. Mais on fait ça à ma manière, et ça inclura les escaliers de secours, et ne pas croiser mon père. Si t’as peur qu’il m’arrive autre chose, moi, j’ai peur que ce soit à toi qu’il s’en prenne. »

    Les escaliers de secours ? Bizarre pour rentrer chez soi mais si cela voulait dire que l’on ne risquais pas de croiser son père. Je ne pensais pas que son père soit capable de frapper Kaylight devant quelqu’un qui pourrait être témoin de tout cela mais après tout peut être que je me trompais je ne le connaissais pas. En tout cas je vis tout de suite dans le regard de Kaylight que rien ne l’a ferait changer d’avis et de toute façon, je ne comptais pas la faire changer d’avis cela m’allait.

    « D’accord pour les escalier de secours mais je te porterais sur mon dos, j’ai pas envie que tu te fasse encore plus mal à la cheville. Je t’emmènerais voir un médecin après ! Et ce n’est pas négociable non plus. »

    Je n’ajouta rien à propos de son père car je voyais bien que cela n’était pas un sujet agréable et facile pour elle. Puis la conversation repris vers ma famille quand je lui dit que j’avais était désagréable avec ma mère. Je savais qu’elle ne m’en voudrais pas, elle était assez souvent victime de mes humeurs. Je lui ajouta qu’elle n’y était en rien dans mes sautes d’humeurs.

    KAYLIGHT : « Je lui dirais que c’était à cause de moi. Parce que c’était à cause de moi, ne dis pas le contraire. Tu l’as dis toi-même, je t’ai blessé, et je m’en veux. »

    « Mais non t’en fais pas ! Et puis connaissant ma mère elle va littéralement t’adorer et je pense même que t’auras le droit à des anecdotes de mon enfance ! Aïe c’est moi qui vais souffrir sur ce coup là. Si vous vous allier je vais morfler ! »

    Je ris une nouvelle fois. Je sentais que notre couple allaient être plutôt comique. Déjà nous étions plutôt têtu tout les deux et en plus de cela si elle se mettait à me taquiner elle aussi ca promettait. Je finis par lui demander si son père avait déjà fait preuve de violence envers elle avant. Je savais que la mère de Kaylight était morte et que ce n’était pas facile pour elle tout les jours, mais je me promis d’être toujours là pour elle. Tout simplement parce que je voulais qu’elle soit heureuse.

    KAYLIGHT : « Ce n’est pas la première fois. C’est déjà arrivé… Plusieurs fois… J’ai déjà pensé à porter plainte, mais… J’avais peur qu’ils ne me placent en famille d’accueil, loin de Los Angeles, alors je n’ai rien dit. L’émancipation, j’y ai pensé, j’aurais du le faire déjà depuis longtemps… Mais je… Peut être que quelque part j’espérais que les choses changeraient. Qu’il changerait. Qu'il s'apercevrait que j'existait, que j'étais sa fille, et que ce n'était pas ce que ma mère aurait voulu. Je me suis trompée. »

    Rien que les deux premières phrases me filèrent déjà des frissons. Plusieurs fois ! J’étais d’accord avec Kaylight sur certains points, partir loin de L.A n’était pas génial, je n’en avais pas envie je ne voulais pas qu’elle parte loin de moi, je sais c’est peut être égoïste mais c’est comme ca. Elle avait espéré que son père changerait et j’aurais sûrement espérait pareil à sa place. Je l’a serra un peu plus contre moi, déposant un baiser sur son front.

    « Je serrais toujours là pour toi ! N’importe quel choix que tu fais ! Et si tu as besoin de moi pour quoi que se soit n’hésite pas d’accord ?! »

    Je ne l’a laisserais jamais tomber elle comptais bien trop pour moi pour que la laisse tomber. J’étais prêt à l’aider si elle voulait s’émanciper ou alors si elle voulait porter plainte, je serais toujours de son coté. Je l’aimais.
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeVen 1 Mai - 21:04

    Oui il m’avait manqué, ses blagues qu’il jugeait lui-même de débiles et stupide, mais qui me faisaient bien rire, son sourire, ses taquineries, son regard chocolat, dans lequel je pourrais rester plongé des heures, sa voix, tout en lui m’avait manqué. Imaginez si notre « séparation » avait duré plus de 3 jours ? Horreur ! Cela ne faisait que quelques jours que nous étions ensembles, mais j’étais déjà totalement dépendante de sa présence. Certains pourrons trouver ça stupide, ou tout ce qu’il voudront, je n’en avait rien à faire, j’étais la seule à savoir ce que je ressentais, et cela ne regardait que Kyllian et moi-même.

    J’avais donc avoué à Kyllian, à la suite d’un long baiser, qu’il m’avait manqué. On ne pouvais être plus honnête que moi, en ce moment. J’avais tellement eu peur de le voir passer le pas de la porte, et de me retrouver seule, sans lui, que je ne ferais jamais rien pour le perdre, comme je tâcherais d’éviter de faire de nouveau une bourde qui pourrait le blesser, comme je l’avais fait. Les paroles qu’il avait prononcées, « j’ai mal au cœur » étaient restées gravées dans ma mémoire, pour un bon moment. Le fait que je lui avoue qu’il m’avait manqué avait eu pour effet de faire sourire Kyllian, qui avait ouvert les yeux, et décollé son front du mien, prenant mes mains dans les siennes.

    KYLLIAN : « Tu m’as tellement manqué aussi ! »

    Ce fut à mon tour d’afficher un sourire. Je ne répondis rien, il n’y avait rien à dire, me contentant d’appuyer doucement mon front contre le torse de Kyllian, les yeux fermés. Je demeurais ainsi un petit moment, son parfum familier envahissant mes poumons au fur et à mesure que je respirais. La conversation avait ensuite tourné sur le sujet peu joyeux de mes hématomes et autres éventuelles contusions ? Rien de bien alarmant à déclarer. Cependant, cela semblait n’avoir pas vraiment réconforté Kyllian, qui semblait toujours aussi en colère vis-à-vis de ce qui m’était arrivé.

    Je m’étais cependant chargée de changer de sujet, puisque j’avais remarqué qu’il portait une attelle à la main gauche. Il avait prétexté que ce n’était rien, mais voila, si il était têtu, je l’étais aussi. Je l’avait donc regardé dans les yeux, déterminée à ce qu’il me dise ce qui s’était passé, même si pour ça, je devais le torturer en… Le privant de bisou, par exemple. Il avait donc fini par reconnaître qu’il était tombé sur scène – le genre de chose dont actuellement, n’importe quelle personne qui aurait été sur Internet, ou aurait vu un titre de magazine people serait déjà au courant – la veille au soir. J’avais pour une fois évité un commentaire du genre « c’est de ma faute », je savais qu’immédiatement, Kyllian s’empresserait de me dire le contraire. Au lieu de ça, j’avais fait un chouilla d’ironie.

    KYLLIAN : « Tu devrais savoir que je ne suis pas malin ! »

    « C’est pas faux. » Lâchai-je, un air malicieux sur le visage, un sourire en coin étirant mes lèvres.

    Moi aussi j’avais bien le droit de le charrier un peu non ?

    Cependant, ma petite diversion ne dura pas bien longtemps, car le fait que j’ai la cheville foulée – probablement, je ne suis après tout pas médecin – n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Il avait donc décrété, sans me demander mon accord, d’ailleurs, que rester debout n’était pas conseillé avec une cheville foulée, et que marcher ne l’était pas plus – il n’avait pas tort, cependant – si bien qu’il avait décidé que nous allions nous asseoir au salon, ce, sans que je marche. Voila comment je fini dans ses bras, m’étant agrippée par réflexe autour de son coup. J’avais sentis nécessaire de lui rappeler que je savais marcher… J’aurais mieux fait de me taire.

    KYLLIAN : « Ah bon ? J’ai pourtant entendu dire que ce n’était pas trop ton domaine de force ! »

    « Mais euh ! » Protestai-je, jouant la susceptible. « On peut pas être doué partout ! Enfin, je ne suis pas douée en grand-chose, mais quand même. Au pire, passe moi mon skate, y a pas de problèmes, je tiens debout dessus, trop facile. »

    C’était tout de même un comble de réussir à tenir debout sur une planche à roulette, alors que ce n’est pas toujours le cas sur ses propres pieds, n’est-ce pas ? Mais qui vous a dit que j’étais un tantinet normale ? Pas moi en tout cas. Kyllian m’avait donc portée jusqu’au salon, et déposée en douceur sur le canapé, avant de s’asseoir à mes pieds, et d’entreprendre de masser ma cheville endolorie. Kyllian avait rajouté une couche à sa plaisanterie, en me demandant si mes pieds étaient propres. Je ne suis peut être pas normale sur tous les points, mais pour ce qui est de se laver, j’étais au point.

    Le massage se révélait agréable. J’aurais du soigner ma cheville, je le savais, cependant, galoper à pieds jusqu’au médecin m’avait paru un point assez difficile, et Alex avait des trucs à faire, si bien qu’elle n’avait pas pu m’y déposer. Kyllian, lui, était à mes petits soins, il m’avait avoué qu’il avait peur pour moi, et il s’en voulait – bien qu’il n’ai aucune raison de s’en vouloir – alors j’imagine qu’il ne laisserais pas seule bien souvent… C’était loin de me déplaire ! Un silence s’était installé, tandis que Kyllian massait ma cheville, pas un silence lourd et pesant, au contraire. Cependant, je l’avais brisé pour dire à Kyllian que je l’aimais, sans autre préambule, comme ça, simplement parce que j’en avais envie, et que je le pensais du plus profond de mon cœur. Il sembla tout d’abord surpris, mais son visage se fendit bien vite en un charmant sourire – les battement de mon cœur s’accélérèrent – et qu’il me répondit.

    KYLLIAN : « Moi aussi Je T’aime Kay’ ! »

    Je souris à mon tour.

    Notre conversation s’enchaîna donc, et nous entrâmes en pleines négociations. Kyllian voulait de son côté que je dorme chez lui, et ne me laissait pas le choix. J’avais donc du y consentir, bien que l’idée de m’incruster chez lui me gêna. Il voulait également m’accompagner pour chercher mes affaires chez mon père, ce qui n’était pas non plus négociable. Mais j’avais moi aussi mes conditions à poser. Très bien, j’irais chez lui, et il m’accompagnerais chercher mes affaires, mais il était hors de question qu’il croise mon père. J’ignorais comment celui-ci réagirait à mon retour suite à ma fugue, à mon départ, certainement définitif, de chez lui, et au fait que je ne sois pas seule. Et je ne voulais en aucun cas que Kyllian y soit mêlé. A n’en pas douter, mon père était un lâche, et il n’aurait probablement pas le cran de lever la main sur moi devant témoin, cependant, dieu seul sait ce que le trop d’alcool peut faire. J’avais donc mon idée bien en tête sur la façon de nous y prendre pour aller chercher mes affaires.

    KYLLIAN : « D’accord pour les escalier de secours mais je te porterais sur mon dos, j’ai pas envie que tu te fasse encore plus mal à la cheville. Je t’emmènerais voir un médecin après ! Et ce n’est pas négociable non plus. »

    « T’es malade ! » M’exclamai-je. « Tu ne vas pas me porter sur ton dos sur 5 étages ! Ma cheville a supporté le trajet de chez moi à ici, elle est capable de supporter quelques escaliers. On aurait l’air bien malins si on tombait tous les deux ! »

    Quand on y pense, même Alex n’avait jamais mis les pieds chez moi. Strictement jamais. Personne n’y était venu, et c’était très bien comme ça. Cependant, l’idée que Kyllian me porte sur son dos sur 5 étages ne me plaisait guère, je ne voulais pas qu’il se fasse mal au dos, ou qu’on se blesse tous les deux parce que monter et descendre des escaliers avec quelqu’un perché sur son dos n’est pas forcément facile. Et puis, ce serait sportif, si il devait me porter moi, tandis que je porterais mes affaires. Une pensée me traversa l’esprit. Nous aurions l’air bien malins si un paparazzi nous suivait. Vous imaginez la réputation qu’ils tailleraient à Kyllian ? En plus d’être un briseur de cœur – selon les journaux – il deviendrait un délinquant, qui utilise les escaliers de secours, avec moi perchée sur son dos, pour aller cambrioler les appartements des quartiers les moins bien fréquentés de Los Angeles. Eh bien oui, lorsqu’on a rien à se reprocher, en général, on ne rentre pas par une fenêtre. Je laissais échapper un rire en pensant aux éventuels titres de journaux qui pourraient avoir pour objet cette petite escapade.

    « Pour le médecin, je comptais de toute façon y aller. » Accordais-je à Kyllian, retrouvant mon sérieux.

    Kyllian avait pris soin de ne rien ajouter à propos de mon père, et c’était une bonne chose. Ce n’était pas vraiment mon sujet de conversation favoris. Au lieu de ça, il était parti sur le sujet de sa propre famille, dont je ferais donc la connaissance incessamment sous peu.

    KYLLIAN : « Mais non t’en fais pas ! Et puis connaissant ma mère elle va littéralement t’adorer et je pense même que t’auras le droit à des anecdotes de mon enfance ! Aïe c’est moi qui vais souffrir sur ce coup là. Si vous vous allier je vais morfler ! »

    Je ris avec Kyllian. Des anecdotes sur son enfance ? Intéressant… J’étais curieuse d’entendre cela ! En tout cas, j’espérais vraiment que ses parents allaient m’apprécier. Je n’avais pas vraiment pour habitude d’être appréciée de tout le monde, enfin, ça c’était au lycée. En dehors, je m’entendais très bien avec les parents des enfants que je gardais, ou avec les garçons qui traînaient au skate-park.

    « Je suis curieuse d’entendre ça. » Dis-je avec un sourire amusé.

    Après un silence, Kyllian avait fini par me poser, hésitant, une question, à savoir : mon père avait-il déjà été violent avec moi ? Il me parla également d’émancipation. Il était vrai que j’avais déjà pensé à cette éventualité, mais voila, idiote que j’étais, j’avais espéré qu’il change… c’était cependant peine perdue. J’avais donc avoué à Kyllian que ce n’était pas la première fois que mon père levait la main sur moi, et également les raisons qui m’avaient poussé à ne pas porter plainte.

    KYLLIAN : « Je serrais toujours là pour toi ! N’importe quel choix que tu fais ! Et si tu as besoin de moi pour quoi que se soit n’hésite pas d’accord ?! »

    Sur ces mots, Kyllian déposa un baiser sur mon front, me serrant un peu d’avantage contre lui. C’était bon de savoir qu’on avait des gens sur lesquels compter. De savoir qu’on était pas seul pour traverser les moments difficiles. Et lorsque Kyllian me disait qu’il serait toujours là, pour n’importe quelle raison, je le croyais, sur parole.

    « Je te fais confiance. » Répondis-je doucement, levant mon regard vers lui. « On devrait partir avant qu’Alex ne rentre » ajoutai-je. « Je ne tiens pas vraiment à la croisertout de suite. »

    Je n’étais pas d’humeur à supporter une deuxième dispute, car oui, j’en voulais a Alex de ne pas avoir joué franc jeu. J’étais peut être également fautive, mais elle aurait du simplement m’en parler, plutôt que de me faire un coup dans le dos. Je n’en revenais pas qu’elle m’ait fait ça, nous qui nous étions promis de toujours tout nous dire !
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeSam 2 Mai - 16:48

    J’avais passé les derniers jours à penser à elle. Quoi que je fasse j’avais toujours une pensée pour elle. Depuis qu’on était ensemble elle faisait partit de moi. Tellement que même Jake avait deviner tout seul que j’étais enfin avec elle. Il m’avait d’ailleurs avouer par la même occasion qu’entre lui et Ashley ca n’allait pas. Mais sans vouloir être méchant je n’aimais pas du tout Ashley. Elle était une de means girls qui passé son temps à se moquer et ridiculiser Kaylight et d’ailleurs elle n’étais pas très aimé dans ma famille.

    Enfin bref je venais de l’embrasser et mon front contre le sien je lui avait à mon tour avouer qu’elle m’avait manqué. Ses mains dans le miennes et un sourire affichait aux lèvres, elle vint se blottir contre moi. Je caressa doucement son dos avant qu’elle ne s’éloigne doucement. Puis elle remarqua mon attelle à la main gauche. Inutile de dire que Kaylight avait demandé ce que j’avais. J’avais d’abord hésité à lui dire puis bien sur elle était déterminé à savoir ce que j’avais. Bien sur quand je lui avoua que j’étais tombé sur scène elle ne put s’empêcher de dire : « C’est malin ». Je lui avais avouer que je n’étais pas malin.

    KAYLIGHT : « C’est pas faux. »

    Ca c’est pas gentil. Je me retenu un sourire puis fit semblant de bouder croisant mes bras sur mon torse.

    « T’es pas gentille ! »

    Bien sur je ne put retenir plus longtemps et un sourire apparu sur mon visage. Je ne pouvais pas faire la tête à Kaylight bien longtemps, d’ailleurs je ne pouvais pas lui faire tout simplement. Tout de suite je me rendis compte qu’avec une cheville foulée, ce n’était pas bien de rester debout. J’avais envie qu’elle s’en remette le plus vite possible. Je la pris donc dans mes bras, cela n’avais pas l’air de lui déplaire mais elle me dis qu’elle savait marcher ce qui bien sur s’enchaîna sur le fait que je la charrié. Elle fit mine d’être vexer.

    KAYLIGHT : « Mais euh ! On peut pas être doué partout ! Enfin, je ne suis pas douée en grand-chose, mais quand même. Au pire, passe moi mon skate, y a pas de problèmes, je tiens debout dessus, trop facile. »

    « Ouais peut être que t’es forte sur un skate, même si c’est moi le meilleur, mais interdiction de monter dessus tant que ta cheville ne sera pas en état. »

    Je comptais bien la surveillé et il était hors de question qu’elle remonte sur un skate tant que sa cheville n’était pas totalement guéri. Je déposa Kaylight sur le canapé et entama un massage de sa cheville qui me semblai d’ailleurs bien gonflée. Je l’a chambra un peu puis un silence tomba. Il n’était en rien gênant ou lourd bien au contraire. J’étais plongée dans mes pensées et bien évidemment mes pensées était tourné vers la fille que j’aimais le plus au monde et qui en ce moment se trouvé à mes cotés. Ce silence fut rompu par Kaylight qui prononça deux mots, les deux mots les plus beaux qui peuvent être et mon cœur sembla rater un battement. Il s’emballa et un sourire apparu sur mes lèvres. Juste deux mots. Je t’aime. Juste ces deux mots avait fait que mon cœur c’était emballé et que le moment ou j’avais pu croire que Kaylight ne m’aimait pas n’avait jamais existé. Je lui avais alors répondu que je l’aimais aussi avant de cesser le massage et de me caler dans le canapé avant de la tirer doucement contre moi.

    Le conversation était à présent sur le fait que Kaylight allait venir vivre chez moi quelques temps. En fait ça me réjouissait comme ça on allait pouvoir se voir plus souvent même si avec les paparazis qui me suivait partout cela allait sûrement créer pas mal de rumeurs du genre : « Kaylight Masen passerait-elle ses nuits chez les Connors ». Je souris à l’idée de toutes ses titres qui allaient sûrement survenir mais à vrai dire je m’en fichais pas mal. Bref Kaylight m’expliqua alors qu’on allait prendre les escaliers de secours pour aller chercher ses affaires.

    KAYLIGHT : « T’es malade ! Tu ne vas pas me porter sur ton dos sur 5 étages ! Ma cheville a supporté le trajet de chez moi à ici, elle est capable de supporter quelques escaliers. On aurait l’air bien malins si on tombait tous les deux ! »

    Je ris légèrement à l’idée qu’on tombe tout les deux mais à vrai dire 5 étages ce n’était pas la mort, et puis quitte à être jeune autan être jeune et fou. Je regarda Kaylight avant de reprendre la parole.

    « 5 étages c’est pas la mort et puis t’es pas très lourde ! Et puis si on tombait au moins j’amortirai ta chute ! »

    Je me mis à rire mais je savais bien que Kaylight refuserait que je le porte. Je savais bien qu’on aurait le droit à quelques paparazis mais bon je n’allais pas arrêter de vivre à cause de cela sinon je ne ferais strictement plus rien de ma vie. J’avais pris l’habitude des rumeurs même si le fait que Kaylight y soit impliqué ne me plaisait pas. Elle avait eu une vie assez tranquille coté paparazis jusqu’à maintenant et j’espère que ca ne changerais pas. Bref j’ajouta par la suite que je l’emmènerais chez le médecin.

    KAYLIGHT : « Pour le médecin, je comptais de toute façon y aller. »

    Au moins elle n’était pas déraisonnable, c’était déjà ca. Mais je comptais bien l’accompagner. Je l’emmènerais en voiture se sera sûrement plus pratique. Je ne comptais pas parler de son père, sujet délicat et dangereux, donc j’avais plutôt parler de ma famille. Si Kaylight venait vivre chez moi, j’allais la présenter à ma famille en tant que ma petite amie, ce qui était logique, et ma mère n’en louperais sûrement pas une pour raconter des anecdotes de moi petit.

    KAYLIGHT : « Je suis curieuse d’entendre ça. »

    « Je me mettrais à l’abris à ce moment là ! Je sens que je vais en prendre plein la poire ! »

    Je ris en même temps que Kaylight. Puis le sujet devient un peu plus … glissant étant donné que je me risquais à parler de ce que son père lui avait fait. Heureusement elle ne se montra pas gêné parce que je lui avais demander. J’avais ensuite ajouté que je serais toujours là pour elle ce qui était vrai. Je tenais tellement à elle que je ferais n’importe quoi pour l’aider.

    KAYLIGHT : « Je te fais confiance. On devrait partir avant qu’Alex ne rentre. Je ne tiens pas vraiment à la croiser tout de suite. »

    Je comprenais bien que Kaylight ne veulent pas d’une deuxième dispute mais je dois avouer que je me sentais un peu responsable. Leur dispute allez être à cause de moi.

    « Ouais je comprend on a qu’à passer chez moi récupérer ma voiture, on file chez toi pour tes affaires puis je t’emmène au studio mes frères et moi devons enregistrer une chanson. »

    Mais une question me perturbé beaucoup. Pourquoi Alex ne m’avait-elle pas dit que Kaylight ne pouvais pas venir la veille. Je sais que j’avais été le premier garçon qu’elle a vraiment aimé mais elle n’a qu’en même pas encore des sentiments pour moi ? Elle n’ai quand même pas jalouse que se soit Kaylight que j’ai inviter au concert ?

    « Kay’ ? Est ce que tu sais pourquoi Alex n’aurais pas voulu me dire que tu ne venais pas hier soir ? »
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeDim 3 Mai - 20:05

    KYLLIAN : « T’es pas gentille ! »

    « Je ne t’ai jamais dis que je l’étais. » Répondis-je en riant, question purement rhétorique.

    Kyllian avait tenté de prendre un air boudeur… Il ne l’avait pas gardé bien longtemps, et un sourire n’avait pas tarder à s’afficher sur son visage. J’étais un peu plus douée à ce jeu là, mais je n’avais pas vraiment de raisons de bouder. Alors je ne pourrais pas lui montrer mes talents d’actrice tout de suite. Cela tombait plutôt bien, je n’avais pas la moindre envie de faire la grève aujourd’hui.

    Kyllian m’avait donc ensuite portée jusqu’au salon, de toute évidence, si je refusais de jouer les handicapés, et de me plaindre – ne comptez pas sur moi pour me balader avec des béquilles deux jambes me suffisaient – je devais cependant reconnaître que c’était un moyen de transport plutôt agréable, et qui au moins, ne pesait en rien sur ma cheville douloureuse. C’est donc de cette manière que je fis le trajet entre l’entrée, ou nous nous trouvions toujours, et le canapé du salon. Entre temps, Kyllian avait trouvé le moyen de me taquiner sur ma légendaire maladresse, incapable de marcher sans me casser la margoulette, réflexion à laquelle j’avais rétorqué que je ne tenais pas debout, mais sur un skate : TROP FACILE !

    KYLLIAN : « Ouais peut être que t’es forte sur un skate, même si c’est moi le meilleur, mais interdiction de monter dessus tant que ta cheville ne sera pas en état. »

    « Toi le meilleur ? Aha, j’serais curieuse de voir ça tiens ! Mais si tu me prive de skate, je vais me promener comment moi hein ?! » Ronchonnai-je.

    Eh bien oui, le skate était mon moyen de transport favoris, alors si Kyllian m’empêchais de monter dessus, j’allais faire quoi moi ? Marcher n’était pas meilleur pour ma cheville après tout. Je passais ma vie à me balader dans Los Angeles en skate, ou alors au skate-park, alors qu’allais-je bien pouvoir faire si je ne pouvais même pas faire ça ? Enfin, c’est vrai que je ne vivrais plus chez moi, donc je n’aurais pas a fuir l’appartement de mon père, et que Kyllian avait une voiture, mais quand même, j’aimais bien mes balades en skate moi. Ca, ce n’était vraiment pas drôle. Personne ne l’empêchait de faire de la guitare sous prétexte qu’il avait un doigt cassé lui.

    J’avais tout de même dit à Kyllian, profitant d’un moment de silence, que je l’aimais. Je n’avais jamais dis ses mots à qui que ce soit avant lui. Enfin, je les avais dis à Alex, mais c’était différent, c’était ma meilleure amie, mais jamais je n’avais dit à qui que ce soit d’autre que je l’aimais, dans le sens aimer d’amour, et non d’amitié. Kyllian m’avais répondu qu’il m’aimait aussi, avant d’interrompre son massage de ma cheville, pour m’attirer contre lui. Nous étions à présent en grande discussion, si ce n’est négociations, sur notre escapade à l’appartement de mon père a venir. Sujet du moment : Kyllian voulait me porter sur son dos dans les escaliers, et il en était hors de question. Ma cheville avait supporté la trajet de chez moi à chez Alex en skate, elle pouvait bien survivre à quelques marches, ce n’était pas la fin du monde. Cependant, Kyllian ne l’entendait pas de cette oreille, voila pourquoi nous étions en pleines négociations.

    KYLLIAN : « 5 étages c’est pas la mort et puis t’es pas très lourde ! Et puis si on tombait au moins j’amortirai ta chute ! »

    C’est là que je dois dire « tais toi, tu t’enfonces » ? En effet, me dire que si on tombait, il amortirais ma chute n’était pas vraiment un argument intelligent. En tout cas, il était exclu que Kyllian me porte, je voulais bien être raisonnable, mais lui aussi devait l’être. Il avait déjà assez d’un doigt cassé, et moi d’une cheville foulée, ni lui ni moi n’avions besoin de blessures en plus.

    « Cherche pas, c’est hors de question que tu me portes, point à la ligne. On m’a fait des jambes, c’est pour m’en servir. »

    Je le laisserais m’aider si jamais ma cheville me faisait trop souffrir, mais je n’allais certainement pas grimper sur son dos, il ne fallait pas trop qu’il rêve. Déjà, il faudrait que ma cheville soit bien douloureuse pour que je reconnaisse que c’était le cas. Mais au moins, si je tombais, je tomberais toute seule.

    Après avoir rapidement évoqué le fait de se rendre chez le médecin – au moins, sur ce point, nous étions tombés d’accord – la conversation avait tourné sur la famille de Kyllian, et notamment sa mère, qui en manquerait probablement selon les dires de mon petit ami, de me raconter quelques anecdotes sur son enfance. Voila qui était intéressant tiens. Pour ma part, sur mon enfance, il n’y avait guère d’anecdotes à raconter, sorti de l’école. Kyllian et ses frères avaient eu ce que moi je n’avais pas : une famille. La vie de famille, je n’avais aucune idée de ce que c’était des frères chieurs, qui passent leurs temps à te chercher des noises, des parents qui te punissent parce que tu as fais une bêtise, ni même de ce que c’était d’avoir un père, ou un père qui tient à toi, et prends soin de toi. Mon père était un monstre, et ma mère, je ne l’avais jamais connue. Quel bonheur, ma vie de famille, n’est ce pas ? Autrement dit, vivre chez les Connors serait quelque chose de nouveau pour moi !

    KYLLIAN : « Je me mettrais à l’abris à ce moment là ! Je sens que je vais en prendre plein la poire ! »

    « Rho, mais non, pourquoi tu dis ça. » Dis-je d’un air innocent, en le regardant cependant avec mon petit air malicieux.

    Je fini par afficher un petit sourire en coin, l’air de dire « on va bien rigoler », puis la conversation s’enchaîna de nouveau sur Alex, et le fat que je ne tenais pas à la croiser ce soir. Une dispute m’avait suffit, d’autant que j’étais passablement fatiguée. Merci cheville adorée pour m’avoir fait souffrir toute la nuit. J’avais donc dis a Kyllian que nous devrions partir, afin d’éviter Alex, et il semblait d’accord.

    KYLLIAN : « Ouais je comprend on a qu’à passer chez moi récupérer ma voiture, on file chez toi pour tes affaires puis je t’emmène au studio mes frères et moi devons enregistrer une chanson. »

    « Le programme me convient. » Approuvai-je.

    Je ne fis pas de commentaires sur le fait que pour aller récupérer sa voiture, il faudrait marcher, car il serait capable de me dire qu’il me porterait sur son dos jusque là bas, ou autre plan qu’il aurait préparé pour m’éviter de marcher. Certaines personnes sont chieuses à se plaindre tout le temps, moi je l’étais dans mon habituel refus à admettre quand quelque chose ne va pas. Je pourrais me retrouver à l’hôpital que je vous dirais que je vais bien, et que je suis prête à sortir me promener.

    KYLLIAN : « Kay’ ? Est ce que tu sais pourquoi Alex n’aurait pas voulu me dire que tu ne venais pas hier soir ? »

    « Je… je lui ai dit, pour nous deux. Elle venait juste de me dire qu’elle t’aimerait probablement toujours, et… Enfin je me sentais hypocrite de ne pas lui dire… Mais je pensais que si il y avait un problème, elle m’en parlerait. Ce n’est pas son genre de faire des coups dans le dos comme ça. » Racontai-je à Kyllian.

    Je n’aurais jamais pensé que nous nous disputerions pour quoi que ce soit, elle m’en aurait parlé, on aurait pu trouver une solution, mais là, elle avait fait son choix toute seule. J’avais joué franc jeu, elle savait déjà que j’aimais Kyllian, et elle savait aussi que lui m’aimait, et lorsque enfin, nous avions finis par nous retrouver tous les deux, les choses s’étaient faites naturellement. Elle devait se douter que ça arriverait, et si cela lui poser un quelconque problème, il lui suffisait d’en parler. C’était ma meilleure amie, et celle de Kyllian, après tout. Mais elle ne l’avait pas fait. Alors maintenant, c’était moi qui en voulais pas lui parler.

    Je jetais un coup d’oeil à l’heure, avant de reprendre la parole.

    « Bon, on y va ? » Demandai-je à Kyllian. « Alex ne devrait pas tarder à rentrer. »
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MessageSujet: Re: When The Heart Is Breaking [Pv: Kay']   When The Heart Is Breaking [Pv: Kay'] I_icon_minitimeMer 6 Mai - 16:52

    KAYLIGHT : « Je ne t’ai jamais dis que je l’étais. »

    Je lui tira la langue et tenta de prendre un air boudeur mais je n’étais pas très bon comédien. Enfin en temps normal si mais la c’était avec Kaylight. Je ne me vexer pas facilement du tout heureusement d’ailleurs parce que sinon avec toutes ses rumeurs je serais devenu fou depuis longtemps.

    Je l’avais porter jusqu’au salon ne faisant pas attention au fait qu’elle voulait que je la laisse marcher ce que je fis pas. En général on réserve ce porter la pour le mariage mais j’avais eu envie de la porter comme ca. Je l’avais déposer doucement sur le canapé. J’étais bien content de m’être rendu compte que Kaylight n’avait jamais me blessait ou alors me poser un lapin la veille. Je n’aurais pas supporter de la perdre. Je l’aimais beaucoup trop pour cela.

    KAYLIGHT : « Toi le meilleur ? Aha, j’serais curieuse de voir ça tiens ! Mais si tu me prive de skate, je vais me promener comment moi hein ?! »

    Je me mis à rire, elle jouer sa râleuse et cela me faisait bien rire. Je lui fis mon plus beau sourire avant de reprendre la parole.

    « Jte parie que je suis le meilleur ! Arrête de râler ! Et puis maintenant que tu vas passer tout on temps avec moi j’ai une voiture ! »

    Maintenant que Kaylight allait venir vivre chez moi, je n’allais pas la laisser se déplacer seul à pied ou en skate, surtout qu’elle avait une foulure à la cheville. On irait au lycée ensemble et on je pourrais l’amener au studio ou dans un endroit près de la plage que je connaissais et que je n’avais jamais montrer à personne.

    Puis Kaylight me parla des escaliers de secours de chez elle et apparemment impossible de la faire changer d’avis, à croire qu’elle était aussi têtu que moi. En tout cas elle l’était et étant moi aussi très têtu ca promettait ! On avait sûrement pas finit de se ‘battre’ pour quelque chose que l’on veux, enfin façon de parler bien sur. Mais elle ne lâcha le morceau pour autant, ne voulant pas que je l’a porte sur mon dos.

    KAYLIGHT : « Cherche pas, c’est hors de question que tu me portes, point à la ligne. On m’a fait des jambes, c’est pour m’en servir. »

    « OK si tu insiste mais ne viens pas te plaindre si tu as mal après ! » Répondis-je avec un petit sourire malicieux.

    C’est vrai que Kaylight n’avait jamais eu de famille enfin en quelque sorte. Je savais qu’elle ne c’était jamais entendu avec son père et que sa mère était morte à sa naissance. J’avais beaucoup parler de Kay avec Alex. Je parlais de ma vie à Kaylight alors qu’elle se sentait sûrement déjà assez mal de ne pas avoir de ‘parents’. Oui de parents parce qu’un vrai père n’aurait jamais pu faire ca à sa fille. Pour moi Kaylight faisait déjà partit de ma famille. Connaissant Nate j’étais sur qu’il allait s’entendre avec elle et ma mère … Ma mère serait folle de joie d’avoir une fille avec qui parler à la maison. Et quand je dis folle de joie ce n’est pas une blague c’est vraiment folle de joie.

    KAYLIGHT : « Rho, mais non, pourquoi tu dis ça. »

    « Tu connais pas ma mère et c’est anecdote ca se voit ! Je vais avoir le droit aux vidéos et au commentaire du genre » Imitant la voix de ma mère « ‘Oh qu’il était mignon regardez moi ca ! Et dire que maintenant c’est devenu une Rock star.’ Si elle ne se met pas à pleurer en regardant des vidéos de mes frères et moi petits c’est un exploit. »

    Je me mis à rire, bien j’adorais littéralement ma mère elle avait toujours était adorable. Elle avait toujours été la pour me soutenir et lorsqu’on avait découvert que j’étais malade c’est elle qui avait le plus peur mais qui me l’avait cacher pour m’aider du mieux qu’elle pouvait et elle m’avait toujours soutenu dans mon rêve pour la musique tout comme mes frères.

    Kaylight dit qu’elle n’avait pas très envie de voir Alex ce qui était compréhensible. J’avais donc repris la parole pour lui proposer un petit programme de la journée et apparemment cela semblait lui convenir parfaitement.

    KAYLIGHT : « Le programme me convient. »

    « Parfait ! »

    Je savais très bien que pour récupérer ma voiture il faudrait marcher, parce que j’étais moi même venu en skate mais ce n’était pas très loin et je n’allais pas recommencer la bataille pour la porter surtout que cela attirerait encore plus les paparazis. La conversation se tourna vers Alex quand je demanda à Kaylight si elle savait pourquoi Alex ne m’avait pas dit pour la veille.

    KAYLIGHT : « Je… je lui ai dit, pour nous deux. Elle venait juste de me dire qu’elle t’aimerait probablement toujours, et… Enfin je me sentais hypocrite de ne pas lui dire… Mais je pensais que si il y avait un problème, elle m’en parlerait. Ce n’est pas son genre de faire des coups dans le dos comme ça. »

    Là il fallait bien avouer que je resté un peu ‘con’. Je ne savais pas quoi dire. Alex m’aimait encore ? Impossible, on était meilleur ami, elle savait très bien que le sentiments que j’avais éprouvé pour elle c’était transformé en amitié. Elle savait très bien que j’étais dingue de Kay. Elle n’avait pas pu faire à Kay parce que c’était sa meilleure amie. Elle avait sûrement du avoir oublier de me le dire.

    « Mais c’est pas possible ! Elle m’a dit qu’elle … elle ne ressent plus rien pour moi ! Et puis y a Nate maintenant non ?! C’est dingue ! »

    Je me sentais totalement perdu. Elle m’avait dit qu’elle aimait Nate et je savais que Nate était fou d’elle. Tout d’un coup je douté de tout sauf d’une chose. C’est de Kay que j’étais amoureux pas d’Alex elle était ma meilleure amie rien de plus. Mais maintenant que je savais qu’elle m’aimait toujours ca me perturbé et puis je ne voulais pas qu’elle fasse de mal à Nate parce que ca je ne le supporterais pas.

    KAYLIGHT : « Bon, on y va ? Alex ne devrait pas tarder à rentrer. »

    « Oui bien sur ! »

    Je n’avais pas très envie de voir Alex non plus à vrai dire maintenant. Elle resté mon amie, ma meilleure amie cela ne changerais jamais mais il fallait que je réfléchisse à tout ca.
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