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Version 1 FT Kaylight :: Alex :: Destiny
 
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 Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |

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MessageSujet: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMar 31 Mar - 19:51

    Je lui montra ma voiture, elle ne ressemblait rien à un voiture de star. C’est une simple voiture. Je n’étais pas du genre, grosse bagnole bien flash pour me faire remarquer non merci. J’ouvris la portière de Kaylight la laissa monter referma sa portière avant de monter du coté conducteur. Je mit mon sac de cours à l’arrière et démarra. Je pris la direction des quartiers des villas, ce n’était pas très loin il y avait pour dix minutes de voiture même pas. Arrivé devant ma maison j’appuya sur le bouton qui ouvrit le portail automatiquement. Je rentra avec la voiture, puis me gara devant le garage. Je sortis de la voiture alors que Kaylight faisait de même et je lui fis signe de me suivre.

    J’entra dans la maison déposant ma veste sur un porte manteau et proposa à Kaylight de faire pareil. Je l’entraîna dans les salon qui, il fallait bien l’avouer était grand. A vrai dire cette maison je l’a trouvais génial, certes elle était grande, peut être un peu trop mais au moins étant nombres dans la famille, 6, on ne se marchait pas dessus. La salon était grand avec un bar qui donné ensuite sur une immense cuisine. Il y avait un écran plat avec la Wii de sortit. Nate et moi y jouions souvent été dingue de Guitar Hero. Bref passons, je sentis la bonne odeur de cookies. Ma mère avait encore du en faire. Je me tourna vers Kaylight et afficha un grand sourire.

    « Bienvenu chez les Connors ! Fait comme fait toi ! Tu veux quelque chose à boire ? J’ai pas mal de truc alors choisis ! »

    Je ris légèrement, il est vrai qu’étant un grand fana, même un accro des sodas, il y avait énormément à la maison. Il y avait de tout, coca, pepsi, red bull, fanta, Ice Tea. Enfin bref je me dirigea vers la cuisine et vis une grande assiette de cookies, ca me faisais presque baver. Nate et moi étions des grands fan de cookies, surtout quand c’est ma mère qui les fait ils sont tellement délicieux. Ma mère m’avais toujours appris servir les invités d’abord alors c’est ce que j’allais faire. Je pris l’assiette de cookies et alla retrouver Kaylight et m’assit à coté d’elle sur le canapé. Je lui tendis son soda et ouvrit le mien. Je pris un cookies et croqua dedans.

    « Il chont fait maichon alors chert toi ! »

    ‘Parler la bouche pleine n’est pas polie Kyllian’, ca c’est ce qu’aurais dit ma mère si elle m’avait entendu. Mais elle n’était pas là enfin cela ne se faisait quand même pas trop. Je regarda Kaylight avala ma bouchée et dit :

    « Désolé c’est pas poli de parler la bouche pleine ! »

    J’étais vraiment content de pouvoir passer du temps avec Kaylight et moins la on ne serait pas embêter. Ma mère ne devait pas rentrer avant 13 heures 30 ce qui m’éviterais de me faire tuer pour avoir manger des cookies. Quand elle en faisais ma mère détesté qu’on pique dans le plat ce que Nate et moi faisions tout le temps bien sur. On est pas jumeaux pour rien !

    Bref sortant de mes pensées je regarda Kaylight, elle était vraiment belle. Je n’arrivais pas à la lâcher du regard mais si je continuais à la fixer elle allait encore rougir et même si je trouvais ca super craquant je ne voulais pas la mettre mal à l’aise. Je lui fis mon plus beau sourire et me leva prenant un nouveau cookies, mais cette fois avant de croquer dedans je parla.

    « Tu veux que je te fasse visiter ? »

    C’est vrai que Kaylight n’était jamais venu alors je pourrais lui faire visiter, puis je comptais bien qu’elle revienne de temps en temps. Je mangea mon cookies, reposa l’assiette dans la cuisine et me leva.

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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMar 31 Mar - 23:45

    Tout au long de cette agréable discussion avec mon crush, que dis-je, le jeune homme qui faisait battre mon cœur à la chamade, ou pouvait me faire rougir rien qu’en me regardant, j’ai nommé Kyllian Connor, nous nous étions dirigés, inconsciemment, en ce qui me concernait, vers le parking. Durant cette conversation, en résumé, j’avais rougi de nombreuses fois, mon cœur avait à plusieurs reprises piqué une accélération, comme si j’avais piqué un 100mètres, et nous avions parlé de tout et de rien : de la tournée des Connor Brothers à mes passions, en passant par le prochain clip des Connors, ou la série Alex Jones. Et cette conversation, au final, m’avait menée à sécher le cours de géo – et pas contre mon gré, croyez moi sur parole – pour me rendre chez les Connor, en compagnie de Kyllian. Si vous m’aviez dit que ma matinée se finirais comme ça ce matin, quand j’ai assommé mon réveil, je vous aurais probablement rit eu nez, et pourtant, c’était ce qui s’était passé. J’avais même du mal à le croire.

    Une fois sur la parking, donc, Kyllian m’avait entraîné vers la voiture –rien de tape à l’œil d’ailleurs – et, galant, m’avait ouvert la portière passagère. Une fois dans la voiture, j’avais mis mon sac de cours sur la banquette arrière, tandis que Kyllian contournait la voiture jusqu’à la portière du côté conducteur, avant de monter lui aussi dans l’habitacle. Il ne nous fallu qu’une dizaine de minutes pour nous rendre chez les Connor – plus rapide que le skate tout de même – dans le plus beau quartier de Los Angeles, celui où je n’avais strictement jamais mis les pieds, et où se trouvaient toutes les villas, plus grandes et luxueuses les unes que les autres. Kyllian se dirigea vers l’une d’elle, et en ouvrit la grille à l’aide d’un bouton, puis alla se garer devant le garage. Une fois la voiture arrêtée, je détachais ma ceinture de sécurité, et sorti du véhicule suivant ensuite Kyllian qui me fit signe de le suivre.

    Bien qu’il m’ait assuré qu’il n’y aurait personne d’autre que lui et moi, j’étais quelque peu intimidée de pénétrer dans cette immense villa, qui devait faire environ 50 fois la surface du petit appart’ de mon père. Kyllian ouvrit donc la porte, et m’invita à entrer, ce que je fis. Une fois à l’intérieur, il se débarrassa de sa veste, et prit la mienne, pour la mettre sur le porte manteau. Une fois fait, je suivis Kyllian jusqu’au salon, dans lequel aurait pu tenir largement la moitié de mon appart’. S’y trouvaient un écran plat et une Wii, face au canapé. La pièce était spacieuse et chaleureuse, et y trônait un bar, derrière lequel on pouvait voir la cuisine. Une appétissante odeur de cookie flottait dans l’air, faisant gargouiller mon estomac. Généralement, quitte à passer pour une idiote, je lui disais, à voix haute de se taire – habitude stupide – mais cette fois, j’évitais. Inutile de passer pour l’andouille du siècle devant Kyllian, peu importaient les autres, mais surtout pas lui. Je passais déjà pour une imbécile assez régulièrement, inutile d’en rajouter une couche.

    KYLLIAN : « Bienvenu chez les Connors ! Fais comme fait toi ! Tu veux quelque chose à boire ? J’ai pas mal de truc alors choisis ! »

    En me disant de faire comme chez moi – chose que je ne pouvais pas vraiment imaginer, car ça ne ressemblait ne rien à chez moi – Kyllian m’avait désigné le canapé, tandis qu’il me proposais quelque chose à boire. Me posant dans le canapé, assise correctement, pas affalée comme je le faisais sur mon lit chez moi, je lui répondis.

    « Je veux bien un Fanta s’il te plait. »

    Sur ces mots, Kyllian s’éclipsa un instant, me laissant seule au salon, pensive, je fixais d’un regard absent le téléviseur dernière génération, sans vraiment le voir. J’étais perdue au fin fond de mes pensées, et pour vous dire honnêtement, le jeune homme que j’entendais farfouiller dans le frigo en était le sujet principal. Je pensais à mes réactions, ou ce que je ressentais en sa présence. J’avais les idées un peu plus claires le temps qu’il était dans la pièce voisine, n’étant plus obnubilé par sa présence, son regard… L’envie de savoir ce que je ressentirais si ses lèvres rencontraient les miennes… C’était dingue, bizarre, mais tellement bien, en sa présence, j’étais sur un petit nuage, c’était stupide à dire, mais c’était vrai. Je fus sortie de mes pensées par Kyllian qui revint au salon, avec deux bouteilles de soda, et une assiette de cookies. Il s’assit à côté de moi sur le canapé, et je le remerciais lorsqu’il me donna une petite bouteille de Fanta, me tendant l’assiette de cookies, responsable de la bonne odeur qui flottait dans la maison.

    KYLLIAN : « Il chont fait maichon alors chert toi ! »

    J’éclatais de rire, littéralement ! Si moi je craignais d’avoir l’air d’une idiote ou autre, Kyllian, lui, semblait bien plus à l’aise que moi ! Je ne trouvais pas qu’il avait l’air d’un idiot, mais il me faisait bien rire, pour le coup. Kyllian repris la parole une fois qu’il eu avalé, tandis que je piquais un cookie dans l’assiette qu’il me tendait.

    KYLLIAN : « Désolé c’est pas poli de parler la bouche pleine ! »

    « Y parait, mais c’est pas moi qui te ferais le reproche. » Dis-je d’un air malicieux, un sourire amusé sur le visage.

    J’aimais ce côté de la personnalité de Kyllian. Il avait beau être l’une des rock star les plus en vue du moment, il avait les pieds sur terre, et restait naturel. Et j’adorais son humour, il était même drôle sans le faire exprès d’ailleurs. Croquant dans le biscuit, j’attendis d’avoir avalé ma bouchée pour parler.

    « Hum, ils sont délicieux… Tu féliciteras ta mère de ma part. » Dis-je avant de croquer à nouveau dans le gâteau.

    Si tout ce que faisait la mère de Kyllian en matière de cuisine était aussi bon que ces cookies, alors les frères Connor devaient se régaler tous les jours ! Ces cookies étaient délicieux ! bien meilleurs que ceux qu’on peut acheter en magasin, la comparaison n’était même pas possible ! Kyllian avait rivé son regard sur moi, et bien que n’étant pas tellement mal à l’aise, beaucoup moins que lorsque nous étions dans la cour du lycée d’ailleurs, je sentis tout de même que le rouge n’était pas loin de me monter aux joues… Cependant, le jeune homme détourna le regard avant que cela n’arrive. Sans prévenir, Kyllian se leva, et reprit la parole, après avoir piqué un nouveau cookie.

    KYLLIAN : « Tu veux que je te fasse visiter ? »

    « Pourquoi pas. » Répondis-je en me levant à mon tour du canapé, terminant mon cookie, que je n’avais pas fini, car j’avais été trop occupée regarder le beau jeune homme qui se trouvais à mes côtés pour manger mon cookie.

    Kyllian m’entraîna donc à sa suite vers le reste de la maison.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeJeu 2 Avr - 19:43

    Je n’avais pas pour habitude de me venter sur la taille de ma maison ou sur l’argent, plutôt nombreux, que ma famille et moi avions. D’ailleurs je détestais aborder ce sujet même avec les journaliste, pourtant il fallait bien avouer que cela permettait de ne manquer de rien et puis cette maison était très agréable et on ne risquait pas de si marcher sur les pieds. La plus part du temps régnait une superbe odeur de cookies, ou de gâteau dans la maison. Je passais pas mal de temps à grignoter de bons truc fait par ma mère, d’ailleurs si elle ne nous avait pas suivit en tournée je l’aurais sûrement poussé et encourager à ouvrir une pâtisserie. Elle cuisiner tellement bien.

    Bref, là n’est pas le sujet de notre super moment. Parce que croyais moi il y a plus intéressant, 10 000 fois plus intéressant que de parler de la nourriture de ma mère en ce moment même. Surtout que je me trouvais à coté de la fille qui faisait battre mon cœur, enfin disons plutôt qui faisait que mon cœur s’emballer, que mes joues rougissait de temps en temps et elle avait des yeux qui m’envoûtait alors autant dire que je préfère parler de cette fille là. Kaylight. Je lui proposa donc de lui amener à boire.

    KAYLIGHT : « Je veux bien un Fanta s’il te plaît. »

    J’avais du Fanta bien sur, Nate et moi étions de vrai fou de soda, enfin surtout moi. J’avais essayé de changer un peu buvant autre chose mais je n’avais pas tenu longtemps. Un véritable accro. En plus il fallait que je calcul mon taux de sucre.

    « Je te ramène ca tout de suite. »

    Je fonça dans la cuisine, pris l’assiette de cookies, que ma mère avait préparer le matin même puis sortit un Fanta pour Kaylight et me sortit un Ice Tea. Même lorsque je n’étais pas avec elle je pensais à elle. Je n’arrivais pas à écarter mes pensées d’elle une seule secondes. J’étais dingue, complètement dingue de cette fille et j’avoue que je me foutais un peu la frousse à moi aussi. Je revint dans le salon et m’assit aux cotés de Kaylight. Je mangea un cookies et bien évidemment parla la bouche pleine ce qui fit rire Kaylight. Au moins je ne l’a faisais pas pleurer c’était un bon point. Je m’excusa évidemment ma mère m’aurait sûrement sortit quelque chose du genre : ‘Kyllian tu pourrais être un peu plus polie surtout devant une aussi jolie fille’. Enfin une mère quoi ! ^^

    KAYLIGHT : « Y parait, mais c’est pas moi qui te ferais le reproche. »

    Je ris puis croqua une nouvelle fois dans mon cookies. Il ne fallait pas trop que j’en mange sinon j’allais sûrement avoir un taux de sucre trop élevé. Avec mon diabète je devais faire attention à ce que je mange et ne pas trop mangé de chose sucré. D’ailleurs il fallait que je vérifie mon taux de sucre avec mon omnipod.

    KAYLIGHT : « Hum, ils sont délicieux… Tu féliciteras ta mère de ma part. »

    Ca je ni manquerais pas ! D’ailleurs ca allait sûrement éviter qu’elle m’enterre sur place pour avoir manger des cookies. Je fis mon plus beau sourire à Kaylight avant de reprendre la parole.

    « J’y manquerais pas ! Ca évitera sûrement qu’elle me tu pour avoir manger de ses cookies sans sa permission ! »

    Il est vrai que nous mangions toujours très bien à la maison, même en tournée d’ailleurs. Nous avions très souvent le droit à des bons petits plats fait maison. Elle cuisiné merveilleusement bien. Je me leva un moment, prenant mon compteur dans ma poche, c’était une des choses qui ne me quittais jamais. Je regarda mon taux de sucre et diminua un peu mon insulines. Levant légèrement mon tee-shirt et regarda si mon Omnipod tenait bien. Il était accroché dans mon dos et m’injecter régulièrement de l’insuline et avec mon compteur je voyais mon taux de sucre et pouvait augmenter ou diminuer mon insulines. Je vis que Kaylight me regardais bizarrement.

    « Désolé je dois vérifier mon taux de sucre ! Je suis diabétique je sais pas si tu le sait.»

    Je ne lui en avais jamais parler moi même mais peut être qu’Alex lui avait dit ou alors qu’elle en avait entendu parler. Je remis mon tee-shirt correctement puis je la regarda, elle était belle, tellement belle. Houla ! Ca devient rave mon vieux reprend toi ! Je me mets à me parler maintenant c’est vraiment grave. Mais je n’arrive une fois de plus pas à détacher mon regard d’elle. Elle me fait littéralement fondre, bon OK je sais je me répète ! Je détourna le regard avant de lui proposer de lui faire visiter la maison.

    KAYLIGHT : « Pourquoi pas. »

    Je me leva et sans vraiment m’en rendre compte je lui pris la main et l’entraîna vers la cuisine, je lui expliqua tout en passant dans les pièces. Je passa ensuite dans la salle qui était consacré à nos instruments de musique et à l’endroit ou nous passions pas mal de temps. La salle était plutôt très grandes. J’y resta un petit moment avec Kay’, avant de me diriger vers l’étage. Je lui montra la salle de bain, enfin les salles de bains super intéressant ^^. Je lui montra notre salle télé, notre deuxième salle télé comme qui dirait qui ressemblait à une mini salle de cinéma. Je passa devant la chambre de mes frères sans entré dedans car je ne me permettait pas de montrer leur chambres. Puis on arriva enfin à ma chambre. Je souris ouvris la porte la laissa entrer et entra après elle. Inutile fermer la porte il n’y aura personne qui viendra nous embêter. Je me laissa tomber sur mon lit, qui était double, et regarda Kaylight avant de tapoter le lit à coté de moi.

    « Bien venu dans ma tanière. Je suis désolé c’est pas super bien rangé. »

    Je le regarda dans les yeux une nouvelle fois et toujours les mêmes effets. Je sens mon cœur accélérer et j’ai l’impression que plus rien n’existe autour. Je n’ai qu’une envie c’est de m’emparer de ses jolies lèvres. Mais je ne peux pas le faire, si sa se trouve elle me détestera après cela. Je détourne le regard et fixe une de mes guitares sèches. Je ne sais plus vraiment quoi dire. Ce silence n’est pas pesant bien au contraire. J’entends les respiration régulière de Kaylight. Il me plaît, elle me plaît tellement que je rêve que d’une seule chose c’est d’être avec elle. Puis soudain un autre problème se posa à moi … Alex … Je ne savais pas ce qu’elle pensais de tout ca. J’aimais Kaylight mais Alex était sa meilleure amie et mon ex. Alors j’avoue que j’espère que cela ne l’a dérange pas que j’aime sa meilleure amie. A prêt tout elle, elle est bien amoureuse de Nate, alors que c’est mon frère jumeau et je ne lui en veux pas alors pourquoi m’en voudrait elle. Je sors de mes pensées et reprends la parole.

    « Alors est ce que je suis de bonne compagnie ? »

    J’avais un petit sourire charmeur aux lèvres. Je n’allais pas commencer à me dire maintenant que rien n’était possible entre nous, j’avais envie d’avoir de l’espoir alors j’allais le garder. Je souris une nouvelle fois à Kaylight. Une voix résonné dans ma tête, enfin plutôt deux voix qui se livré une véritable bataille. Il y avait la voix de mon cœur qui disait : « Allez lance toi Kyllian ! Suis ton cœur ». Puis l’autre qui ne cessé de répéter : « Ca serre à rien Kyl’, elle t’aime pas plus qu’une amie et elle ne t’aimeras jamais plus, t’as aucune chance laisse tomber ! ». Je ferma les yeux et soupira légérement.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeJeu 2 Avr - 23:40

    *Arrête de penser à lui sans arrêt, ça vire à l’obsession* me serinai une partie de mon esprit, qui cependant, ne s’exprimait pas assez fort comparé à la partie de mon esprit qui s’emballait au moindre de ses regards… Quelle idiote. Je n’avais aucune chance, strictement aucune, de sortir avec lui, ce n’est pas la peine de se faire d’illusion. Moi, pessimiste ? Non, réaliste je dirais, qu’est ce qu’un gars comme lui irait faire avec une fille comme moi ? Au meilleur des cas, je serais simplement une bonne amie, avec qui il aimerait passer du temps de temps en temps, c’est tout. Il y avait tant de filles mieux que moi pour lui, et qui n’attendaient que lui, pourquoi me choisirait-il moi ? Aucune raison !

    Même quand il n’était pas dans la même pièce que moi, pourtant, mon esprit ne pouvait pas s’empêcher de déraper. C’était stupide, complètement fou… Je me concentrais cependant pour ne pas décrocher de la conversation avec lui lorsqu’il se trouvait à mes côtés, évitant de me perdre dans al contemplation de son visage, ou dans ses yeux chocolat qui me faisaient chavirer. Kaylight, on reste sur terre, et on suit ce qui se passe ! Car en effet, Kyllian était revenu auprès de moi, une bouteille de Fanta pour moi, et un Ice-Tea pour lui, ainsi qu’une assiette de cookies, délicieux, soit dit en passant. Je lui avais d’ailleurs dit, après avoir éclaté de rire lorsqu’il avait parlé la bouche pleine, qu’il félicite sa mère de ma part.

    KYLLIAN : « J’y manquerais pas ! Ca évitera sûrement qu’elle me tu pour avoir manger de ses cookies sans sa permission ! »

    J’éclatais à nouveau de rire. Il en avait du monde qui en avait après lui dites donc ! Entre Alex qui risquait de lui remettre les pendule à l’heure, pensant qu’il m’avait faite sécher – alors que j’avais décidé toute seule comme une grande fille – et sa mère qui allait râler parce qu’il, ou plutôt qu’on, avait tapé dans les cookies. Quand vous y regardez, j’étais aussi fautive que lui, voire d’avantage, dans les deux cas.

    « Heureusement que je suis venue alors. » Plaisantai-je.

    Ben oui, car si j’avais bien compris, c’est si il avait mangé les cookies tout seul qu’il se serait fait rouspéter… En quelque sorte, j’avais mon utilité, en plus de lui faire passer le temps, pendant ses deux heures de pause, plus celle de midi. Je n’étais donc pas totalement inutile. Pas totalement, j’ai bien dis ! Une fois qu’il eu englouti son deuxième cookie, je vis Kyllian se lever, sans prévenir, et sortir quelque chose de sa poche. Je fronçais les sourcils, me demandant ce qu’il faisait. Je le vis ensuite soulever légèrement son t-shirt pour bidouiller je ne savais trop quoi dans son dos. Je ne voyais cependant pas ce qu’il faisait. Une fois qu’il eu fini, Kyllian tourna son regard vers moi, et repris la parole, avisant la manière dont je le regardait : intriguée.

    KYLLIAN : « Désolé je dois vérifier mon taux de sucre ! Je suis diabétique je sais pas si tu le sait.»

    Immédiatement, une lueur de compréhension traversa mon visage ! Oui, je le savais, seulement, il devait vraiment beaucoup m’embrouiller l’esprit, car je n’avais même pas fait le rapprochement. On dit l’amour rend aveugle, dans mon cas, l’amour rend stupide, ce n’est pas la même chose. Car pour ce qui était de voir, j’y voyais très clair… Enfin, lorsque Kyllian était dans le coin, je ne voyais que lui, mais c’était un autre problème… En y pensant, je devais être prudente, ce n’était pas le coup de me payer un poteau de stop ou une porte à cause de ça. Je ferais bien de m’en souvenir.

    « Ah oui, je suis au courant. Je n’avais pas fait le rapprochement, c’est tout. Ca doit être assez chiant de devoir toujours faire attention. »

    C’était une supposition, car je n’en avais pas la moindre idée. J’imaginais seulement.

    Kyllian m’avait proposé un petit tour du propriétaire, puisque je n’étais jamais venue chez lui auparavant. J’avais bien entendu accepté. De toute façon, je souhaitais tellement passer du temps avec lui que j’aurais dis amen à tout ! Enchanté, de toute évidence, Kyllian pris ma main avec un naturel déroutant – nouveau sprint en ce qui concernait mon cœur, d’ailleurs – et m’entraîna à sa suite. C’était étrange comment nos relations progressaient à une vitesse folle ! Ce matin encore, je ne lui avait adressé la parole que quelques rares fois, et voila que j’étais chez lui, ma main dans la sienne, contact des plus agréables d’ailleurs, et qu’il me faisait visiter la villa ou il vivait. A chaque pièce, je remarquais à quel point sa vie était différente de la mienne, renforçant chaque fois l’impression que j’avais de différence entre nous, qui ne semblait cependant pas le déranger, puisqu’il n’avait pas lâché ma main. Nous passions donc pas la cuisine, puis la pièce où se trouvaient tous les instruments de musique, puis l’étage, ou il me montra la salle télé, et une autre, qui ressemblait à une salle de ciné miniature, les salles de bain. A chaque pièce, j’avais droit à de petites anecdotes, ce qui était assez amusant. Il m’indiqua quelles portes étaient celles de ses frères, puis, finalement, se dirigea vers une dernière porte : sa chambre. Avec un sourire, il ouvrit la porte, et me laissa entrer, pour finalement me suivre à l’intérieur. La pièce, comparée à ma propre chambre, était immense. Une guitare sèche traînait là, ce qui n’était pas surprenant, et au milieu se trouvait son lit, deux places – le mien était un lit une place, mais il me suffisait. Kyllian avait laissé la porte ouverte derrière lui, de toute façon, qui viendrait nous déranger alors que, à part nous, la maison était vide ?

    KYLLIAN : « Bien venu dans ma tanière. Je suis désolé c’est pas super bien rangé. »

    Kyllian avait parlé tout en s’asseyant sur son lit. Je haussais les épaules. J’avais vu pire, c’était certain. Le jeune homme me fit signe, en tapotant le lit à côté de lui, de venir m’asseoir, ce que je fis, tandis qu’il reprenait la parole.

    KYLLIAN : « Alors est ce que je suis de bonne compagnie ? »

    Il avait assorti ses paroles d’un sourire charmeur… Heureusement que j’étais assise. Non, je plaisante, je n’étais tout de même pas au point de m’évanouir en sa présence, cependant, ce sourire déclencha de nouveau cette étrange sensation, comme si des papillons voletaient quelque part au niveau de mon estomac. Tachant de garder la tête froide, et de ne pas m’emballer –– après tout, peut être me faisais-je des idées – je répondis, lui rendant son sourire, après avoir feint de réfléchir un instant.

    « Hum, plutôt oui, je dois le reconnaître, je passe un très bon moment. »

    C’était vrai. Le meilleur, je ne pouvais pas imaginer mieux, puisque le mieux était juste… Inimaginable pour mon esprit pessimiste. Mon cœur battait à tout rompre… J’espérait qu’il ne puisse pas l’entendre, ce qui était logique : comment pourrait-il l’entendre ? Mais il cognait tellement fort contre mes côtes a présent, que je me posais sérieusement des questions. *Respire Kaylight,, respire…* me rappelai-je inconsciemment. Tandis que je le regardais, je le vis soupirer. Avec toute l’estime de moi que j’avais, la seule chose que je trouvais à dire, d’une banalité effarante, fut :

    « Je t’ennuie ? »
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeVen 3 Avr - 20:27

    *Ca marchera jamais laisse tomber vieux !*. Cette voix résonna cette fois ci un peu plus fort que les autres fois dans ma tête. Je n’avais aucune chance, cette fille était trop bien pour moi, elle avait tout pour elle, elle était belle, gentille, attirante et horriblement craquante et il fallait avouer que passer du temps avec elle était bien mieux que de passer du temps seul. Perdu dans mes pensées je décida de revenir dans le salon ou se trouvait Kaylight.

    La jeune femme avait l’air un peu perdu dans ses pensées mais se ressaisit quand j’entra dans la pièce. Je lui tendis son Fanta et ouvris mon Ice Tea avant d’en boire une gorgée. Bien sur je ne pu m’empêcher de lui dire que j’allais me faire passer un savon si ma mère voyait que j’avais manger des cookies, ce qui d’ailleurs la fit rire. Elle était adorable. Comment ne pas tomber amoureux d’elle ? On ne pouvait pas enfin moi je ne pouvais pas ! Heureusement que pas trop de garçons lui tourner autour parce qu’autant dire que j’aurais été très jaloux.

    KAYLIGHT : « Heureusement que je suis venue alors. »

    Ouais c’est vrai heureusement qu’elle était venu. Mais si jamais j’avais quand le droit au savon à cause des cookies je m’en fichais bien parce que cela m’aurait permit de passer un moment inoubliable avec la fille de mes rêves.

    « Ouais ! Mais je ne t’ai pas inviter pour trouver une excuse pour ne pas que ma mère m’engueule pour avoir manger des cookies t’inquiète pas ! »

    Non sinon j’aurais pu trouver une autre excuse sans Kaylight. Mais c’était simplement pour être avec elle que je l’avais inviter. Après tout qui ne donnerais pas tout pour passer du temps avec la fille ou le garçon qu’on aime ? Personne ! Je savais que Nate aurais fait pareil avec Alex si il avait été dans mon cas. Enfin lui c’était un peu plus compliqué étant donné qu’il avait déjà une petite amie, qui d’après ce qu’il m’avait dit, pouvait se montrer assez vache avec les gens quand ce ne lui plaisait pas.

    Bref le sujet n’est pas là ! Je venais de me lever pour contrôler mon taux de sucre dans le sang. Depuis 2005 je devais faire cela assez souvent si je ne voulais pas faire de malaise d’ailleurs des jours c’était assez difficile. Le taux de sucre faisant comme un Yo-Yo cela pouvait se révéler épuisant c’est d’ailleurs un jour ou mon diabète faisait n’importe quoi que j’ai trouvé l’inspiration de ma chanson. Je m’étais assis au piano de l’hôtel et j’avais commencé à jouer l’inspiration était venue toute seule. J’avais ensuite demandé à Jake et Nate ce qu’ils en pensaient. L’avis de Nate comptait beaucoup pour moi quand à Jake c’est lui qui m’avait sauver la vie. Un jour alors qu’on allait à la piscine il s’est rendu compte à quel point j’étais maigre, mes parents pensaient que c’était à cause de la croissance, il m’avait alors conseillé de faire des examens. Quelques temps plus tard le médecin m’avait annoncé que j’étais diabétique. J’aurais pu tomber dans le coma si on ne me traiter pas. Il faut avouer que tout ca m’avait terrifier et que j’avais pensé que mon rêve s’effondrer mais non. Ma mère m’a beaucoup aider à gérer tout ca et elle cache sa peur pour moi. J’étais totalement plonger dans mes pensées et pourtant je sentais toujours la présence agréable de la belle brune à coté de moi. D’ailleurs elle me fit revenir à la réalité.

    KAYLIGHT : « Ah oui, je suis au courant. Je n’avais pas fait le rapprochement, c’est tout. Ca doit être assez chiant de devoir toujours faire attention. »

    C’est vrai que ca pouvait se révéler énervant de temps en temps mais une fois qu’on avait l’habitude ca devenait presque automatique.

    « Une fois qu’on est habituer ca va mais le plus difficile c’est que des jours le diabète est assez facile à gérer parce que le taux de sucre reste quasiment toujours le même et d’autres jours il fait les montagnes russes ! C’est assez épuisant quand c’est comme ca ! »

    Je proposa à Kaylight de lui faire visiter la ville ce qu’elle accepta. Sans vraiment m’en rendre compte je pris sa main dans le mienne. Un contact tiède et vraiment agréable. Pour dire même un contact que je n’avais pas envie de perdre. Je réalisa alors que j’avais sa main dans la sienne mais décida de la garder. Je lui fis visiter la maison racontant de petites histoire d’enfance dans certaines pièces, en particulier la mini salle de cinéma, la chambre de mon frère Jake, mais aussi celle de Nate et surtout la salle d’instruments. Jake, Nate, Frankie et moi avions une manies pour faire beaucoup de bordel. Des qu’on le pouvait on se retrouvés tout les quatre pour se regarder un film ou alors pour parler jusqu’au bout de la nuit mais cela se transformer assez rapidement en bataille de polochon ou alors on se mettais à jouer de la musique, à délires et … à rapper. Il y avait aussi la piscine nous avions passer pas mal de temps là bas, à se couler, à plonger ou à faire des bombes. En temps normal j’étais quelqu’un assez mature, comme on le disait souvent dans les médias, j’étais sérieux mais j’avais au fond de moi garder une âme d’enfance.

    On arriva rapidement à ma chambre qui bien sur aller révéler déjà un peu plus sur moi à Kaylight. Mais bon ca me faisait plaisir qu’elle me connaisse plus, après tout je n’avais rien à lui cacher. Je lui demanda si j’étais de bonne compagnie. Assis sur mon lit et Kaylight à coté de moi je lui fis un sourire craquant et elle me le rendit d’ailleurs, ce qui fit rater à mon cœur un battement. Elle semblait réfléchir.

    KAYLIGHT : « Hum, plutôt oui, je dois le reconnaître, je passe un très bon moment. »

    Un immense sourire s’élargit sur mes lèvres et inutile d’ajouter que j’étais déjà le plus heureux du monde. Les deux voix de ma tête reprirent leur perpétuel combats ce qui, je crois, aller finir par me rendre dingue. « Allez Kyllian lance toi ! Suis ton cœur ! ». « Ca serre à rien Kyl’, elle t’aime pas plus qu’une amie et elle ne t’aimeras jamais plus, t’as aucune chance laisse tomber ! ». Je ferma les yeux un moment et me dit « STOP ! ». Je soupira légèrement, ce que Kaylight entendu apparemment.

    KAYLIGHT : « Je t’ennuie ? »

    M’ennuyer ? Comment pourrait-elle m’ennuyer ? Pourquoi me posait-elle cette question ? Oh ! Elle croit que ce soupire c’était pour elle ! Je le regarde et cherche comment lui expliquer.

    « Non ! Non ! Pas du tout. C’est juste que je … j’aimerais … »

    Waouh là je rame ! Allez Kyl’ c’est pas si difficile qu’est ce que tu as à perdre ? Je me parle maintenant c’est vraiment grave. Les voix reprirent leurs duels, mais je décida de les ignorer. Relevant la tête je me perdit une nouvelle fois dans le regard de Kaylight. Après tout qui ne tente rien n’a rien ! Alors je vais me lancer.

    « En fait je … j’aimerais essayer … quelque chose. Ne … ne bouge pas ! »

    Maintenant que j’étais lancé je n’allais pas m’arrêter ! Je leva ma main et délicatement remis une mèche de Kaylight derrière son oreille. Laissant ma main sur sa joue, je m’avança doucement d’elle. J’approcha mon visages du sien. Ma respiration devenait saccadé et mon cœur battait la chamade. Nos visage n’était à présent qu’à quelques millimètres l’un de l’autre je sentait son parfum enivrante. Je sentais son souffle sur mon visage et je du ma rappeler de respirer. Je posa alors, enfin, mes lèvres tendrement contre les siennes, tout en fermant les yeux. Ce baiser fut rapide, tendre mais depuis le temps que j’en rêvais, j’eus du mal à me reculer. Laissant retomber doucement ma main lui caressant la joue au passage je ne sur quoi dire. Je ne pus que restais mon regard dans le sien car il m’en était impossible de m’en détacher.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeSam 4 Avr - 20:27

    KYLLIAN : « Ouais ! Mais je ne t’ai pas inviter pour trouver une excuse pour ne pas que ma mère m’engueule pour avoir manger des cookies t’inquiète pas ! »

    Je souris. Heureusement, car même si ce n’était pas mal de servir à quelque chose, je préférait penser que j’étais ici même, chez lui, parce qu’il appréciait ma compagnie plutôt que pour lui servir d’alibi pour avoir tapé dans les cookies qu’avait fait sa mère. D’un sens, j’aimerais bien avoir une mère à la maison qui m’engueulerait parce que j’ai piqué des cookies… Cela voudrait alors dire que ma mère n’était pas morte en me mettant au monde, et que ma vie n’était pas un cauchemar éveillé. Enfin, je n’aurais pas qualifié le moment que je passais en ce moment même auprès de Kyllian de cauchemardesque, bien au contraire. Il ne tenait non pas du cauchemar, mais du rêve. Cela me changeait un peu, mais comment cela aurait pu en être autrement lorsque le garçon de mes rêves se trouvait à côté de moi ? Je ne voyais pas comment mes problèmes quotidiens – mon père, mes mean girls attitrées, mes problèmes d’argent… – auraient pu avoir une quelconque importance en ce moment même. Ils auraient très bien pu ne pas exister que cela aurait été du pareil au même, et c’était bon d’en être pour une fois libérée.

    KYLLIAN : « Une fois qu’on est habitué ça va mais le plus difficile c’est que des jours le diabète est assez facile à gérer parce que le taux de sucre reste quasiment toujours le même et d’autres jours il fait les montagnes russes ! C’est assez épuisant quand c’est comme ça ! »

    Un peu que ça devait m’être, et puis, devoir faire attention à ce que l’on mange, moi qui était une grande gourmande, ça serait plutôt embêtant. Ca devait vraiment être épuisant, en effet, quand, comme le disait Kyllian, son taux de glycémie jouait aux montagnes russes. Et les éventuels malaises ne devaient pas valoir bien mieux. Je ne savais pas grand-chose du diabète, mais le peu que j’en avait appris en cours, je m’étais souvent dit que j’étais heureuse de ne pas avoir cette maladie… Comme n’importe quelle maladie de toute façon, une ne vaut pas mieux que l’autre.

    « J’imagine. » Répondis-je, ne voyant pas grand-chose d’autre à répondre.

    Cela me faisait plaisir que Kyllian me parle un peu de lui, comme il le faisait en évoquant son diabète, ou bien en me racontant diverses anecdotes, souvent amusantes, le concernant lui et ses frères tandis que nous faisions le tour du propriétaire… mains dans al main. J’avais conscience de sa main dans al mienne, et la seule chose dont j’étais certaine, c’est que je voulais qu’elle y reste, tant le contact était agréable. Nous traversâmes donc la maison en long en large et en travers, et j’eu droit à une quantité raisonnable d’histoires de famille de Kyllian et des autres Connor, dans la salle de cinéma, de musique, la piscine… Une chose était certaine, niveau histoires de famille, je n’aurais pas grand-chose de bien passionnant à raconter, puisque je ne considérait pas mon père comme un membre de ma famille, vu la manière dont il me traitait, donc niveau histoires de famille, autant le dire, c’était zéro !

    Notre petite conversation nous avait donc menée jusqu’à la chambre de Kyllian où je me trouvais à présent, assise juste à côté de lui, sur son lit. Après que je lui ai répondu à sa question, faignant de réfléchir, concernant si il était ou non de bonne compagnie, question qu’il m’avait posé en m’adressant un sourire charmeur auquel je ne pouvais pas résister – qui le pourrait ? – j’avais conclu que je passais un très bon moment. Le mot était faible.

    Suite à ce bref échange, un silence s’installant, nullement pesant. Sa présence à mes côtés suffisait à me rendre heureuse de toute façon, malgré mes fréquents rougissements, je me sentais on ne peut mieux. Littéralement. La fille la plus heureuse au monde, en ce moment précis, c’était moi. C’était d’ailleurs plutôt rare, autant en profiter le temps que ça durait, car avec ma poisse légendaire, il allait m’arriver un pépin avant la fin de la journée. Du genre Kyllian se lassant de ma compagnie… Ben tiens, je l’entendis d’ailleurs soupirer. Immédiatement, je lui avais demandé si je l’ennuyais… Quelle autre explication pourrait-il y avoir ? Je me considérais d’un ennui monstre, dans mon genre, alors immédiatement, je pris cela pour moi. Kyllian leva vers moi un regard surpris, apparemment, il ne pensait pas que j’interprèterais ce soupire de cette manière, que ce soit la bonne ou non. Me regardant, et c’est confus qu’il reprit la parole.

    KYLLIAN : « Non ! Non ! Pas du tout. C’est juste que je … j’aimerais … »

    « Oui ? » L’encourageai-je.

    Tout en parlant, cette phrase qui d’ailleurs n’avait pas beaucoup de sens – comme quoi cela n’arrivait pas qu’à moi, ouf ! – Kyllian m’avait regardé, et je plongeais mon regard dans le sien. Il avait l’air comment dire… Confus ? Oui, on aurait dit. Silencieux un instant, une lueur anima son regard, mais je ne su en interpréter le sens. C’est ce moment qu’il choisi pour reprendre la parole.

    KYLLIAN : « En fait je … j’aimerais essayer … quelque chose. Ne … ne bouge pas ! »

    Aucune chance, je me figeais à partir du moment où je le vis lever sa main vers mon visage, pour remettre une mèche de mes cheveux brun derrière mon oreille, laissant s’attarder sa main sur ma joue. Un frisson parcouru le long de ma colonne vertébrale, tandis que je le voyais approcher lentement son visage du mien. Mes yeux n’avaient pas quitté son regard chocolat un seul instant.

    « Qu’est ce que… » Murmurai-je alors que son visage n’était plus qu’à quelques centimètres du mien.

    Son odeur m’enveloppait, et la seule chose que je voyais était son regard dans le mien, son visage près du mien, si près… il ne l’avait jamais été autant. Rien d’autre ne comptait, en cet instant, il n’y avait que lui et moi. *Respire* du-je m’ordonner tomber dans les pommes, son haleine caressant mon visage, ma respiration se faisant plus saccadée encore, et que mon cœur s’emballait comme jamais. Alors que je croyais que ce dernier ne pourrait pas cogner encore plus fort contre mes côtés, il frappa avec encore plus d’intensité au moment où les lèvres de Kyllian rencontrèrent les miennes… Quelle était la question que j’allais lui poser avant que ses lèvres si douces ne viennent se poser, tendres, sur les miennes, qui n’attendaient que cela ? Je n’en avais pas la moindre idée. Probablement quelque chose de stupide, sans importance. En tout cas, cela ne pouvait pas être plus important que ce baiser.

    Fermant les yeux, je lui rendis ce premier baiser – mon tout premier à vrai dire – l’instant était parfait. Je n’aurais pu imaginer mieux pour ce premier baiser : le garçon de mes rêves et moi, l’endroit n’avait aucune importance, seul cela comptait. Cette chose que je pensais inimaginable se réalisait, et c’était encore mieux que dans mes songes, car ce n’était pas un songe : c’était réel, bien que j’eu du mal à le croire.

    Ce baiser fut tendre, mais bref… Trop bref à mon goût, et c’est à contre cœur que je laissais Kyllian détacher ses lèvres des miennes. Sa main caressa ma joue tandis qu’il l’ôtais finalement de mon visage. J’avais le souffle court, bien que je n’aie pas grandes raisons d’être essoufflée… L’émotion, la surprise, suffisaient. Je me mordis la lèvre inférieure, le visage de Kyllian était toujours à quelques centimètres du mien seulement, mon regard plongé dans le sien avec intensité, en train d’essayer de déceler si lui aussi avait ressenti la même émotion que moi en cet instant… Le fait est que je n’en avais aucune idée. Je cherchais à retrouver l’usage de la parole, afin de dire quelque chose, mais que dire ? Lorsque enfin je retrouvais l’usage de ma voix, je ne réussi qu’à murmurer un.

    « Ca c’était… Inattendu… »

    Je m’étais exprimée d’une fois basse, était-il normal que j’aie si chaud ? *Respire* me rappelai-je à nouveau.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeLun 13 Avr - 17:11

    Elle était là parce que j’appréciais sa présence plus que tout. Je n’aurais voulu échangé ma place pour rien au monde, j’étais tellement bien avec Kaylight, j’aurais voulu que ce jour, ce temps, ce moment ne s’arrête jamais mais je savais que c’était impossible. Pourtant je savais que à peine partit elle me manquerait déjà. Puis elle était tellement fabuleuse à mes yeux elle était … parfaite. Elle ne se plaignait jamais alors que pourtant je savais que sa vie n’était pas simple, entre son père qui l’ignorer et ses filles qui se moquaient d’elle à longueur de journée. Pourtant c’est une fille adorable, même plus qu’adorable. Il est vrai que moi j’avais toujours tout eu dans ma vie : mes parents, mes frères, des copines, des amis, la musique. Je n’avais pas à me plaindre. Mais il y a une personne que je voulais faire plus entrer dans ma vie et elle se trouvait chez moi. Kaylight.

    Puis le sujet changea et je lui expliquai un peu mon diabète. Ce n’était pas facile tout les jours et heureusement ce jour là il ne faisait pas les montagnes russes ce qui m’arrangeait bien. Eh puis étant très gourmand de nature ce n’était pas tout les jours faciles de devoir résister à certaines choses.

    KAYLIGHT : « J’imagine. »

    Je fis donc faire le tour de propriétaire à Kaylight main dans la main. J’avais envie qu’on apprenne à se connaître plus alors j’en profitais pour lui raconter quelques trucs sur ma famille et moi. Je passais un moment tellement agréable que j’espérais bien que ma mère ou mes frères ne débarquent pas à l’improviste et je l’espéré fortement. Je mettais rendu compte que j’avais pris sa main dans la mienne mais ce n’est pas autant que je la lâchai bien au contraire, son contact m’était tiède et très agréable. Racontant de petite histoire je remarquai que cela plaisait à Kaylight ce qui me fis sourire. Je n’avais aucune envie de la souler avec mes histoires.

    Je lui avais demandé si j’étais de bonne compagnie et fis un peu mine de bouder quand elle se mit à réfléchir mais elle ajoute ensuite que oui donc un immense sourire s’accrocha à mes lèvres. En tout les cas moi je passais un moment inoubliable et je n’avais d’ailleurs aucune envie de penser que dans quelques heures on devrait chacun retourner dans notre classe. Je me chassais ses idées de la tête et on entra enfin dans ma chambre.

    Je m’assis sur mon lit et fis signe à Kaylight de m’y rejoindre. Les duels des voix avaient comme encore et toujours repris. Je soupirai et d’ailleurs Kaylight du le prendre pour elle car elle avait demandé si sa présence m’embêtait. Je fus pris un peu de panique, je ne voulais surtout pas qu’elle pense cela et donc je me rattrapai comme je voulais mais il faut avouer que sur le coup j’avais hésitais.

    KAYLIGHT : « Oui ? »

    * Allez courage vieux ! *. La voix de ma tête m’avait dit de me lancer alors j’allais le faire. J’étais confus, totalement confus. Je fixai le regarda de la belle brune et décida de reprendre la parole mais mes paroles était hésitante et cela se sentait que je n’étais pas rassuré. J’allais surement me faire rejeter, mais trop tard !

    Elle ne bougea pas comme je lui avais demandé. Ses yeux ne lâchaient pas les miens tout comme les miens ne voulais pas lâcher les siens. J’avais passé ma main sur une de ses mèches de cheveux pour le remettre derrière son oreille puis je posai ma main sur sa joue. Je frissonnais rien qu’en pensant à ce qui allait enfin arriver. Mon visage n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres.

    KAYLIGHT : « Qu’est ce que… »

    Mais elle ne finit pas sa phrase. Son odeur me faisait réaliser encore plus à quel point elle était devenue ma drogue. Je ne pouvais plus me passer d’elle. Il n’y avait plus qu’elle et moi, le reste du monde avait disparu et je me fichais de ce que tout le monde allait penser. Tout ce que je voulais, ce que j’espérais c’est qu’elle devienne mienne. Je voulais pouvoir l’embrasser, la prendre dans mes bras lui murmurer des ‘Je T’aime’ quand je voulais.

    Je déposai enfin –depuis le temps que j’attends ca !- mes lèvres sur les lèvres de la belle brune. Cette sensation ne ressemblait à aucune autre sensation que j’avais éprouvée. Mon cœur n’allais surement pas tarder à sortir de son habitat tellement il cognait fort. Il n’y avait qu’elle et moi. Que mes sentiments et la réaction qu’elle allait avoir, ce qui me faisais un peu peur d’ailleurs. Je finis par détacher mes lèvres des siennes, beaucoup trop rapidement à mon gout. J’aurais voulu continuer mais peut être qu’elle n’éprouvait strictement rien pour moi. Peut être qu’elle a eu peur de me repousser mais qu’elle ne veut qu’une simple amitié.

    Kaylight resta silencieuse ce qui me fis dire qu’elle m’en voulait surement d’avoir fait cela. Je baissai la tête un moment mais la voix que Kaylight, qu’elle retrouva au bout d’un moment me fit relever la tête.

    KAYLIGHT : « Ca c’était… Inattendu… »

    Je fus surpris qu’elle ne me sorte pas un truc du genre : ‘Non mais ca va pas la tête !’ ou alors un truc plus … Kaylight ^^ : ‘Ecoute je crois qu’il vaut mieux qu’on reste amis’. Je ne mettais pas attendu à cela et je la regardai donc de nouveau dans les yeux. Il faut bien avouer que je n’avais qu’une envie c’était de l’embrasser à nouveau mais je me contenta de dire quelque chose de simple.

    « Tu … tu m’en veux pas ? »

    Et s’il y avait une toute petite chance que se soit réciproque. Je ne savais absolument pas quoi faire ni comment réagir à ce que venait de me dire Kaylight. Je voulais lui dire les mots que mon cœur criait mais je n’osais pas. Avant qu’elle a pu répondre à ma question je repris parole.

    « Ecoute je sais que tu m’en veux surement parce qu’on est … amis, mais je … ca fait longtemps que j’en avais envie et je … Je T’aime Kay’ »

    Bizarrement je me sentis plus Legé mais j’avais qu’en même peur de ce qu’elle allait dire ou faire.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeLun 13 Avr - 19:56

    Moi qui trouvais particulièrement incroyable que dans une même journée Kyllian vienne prendre ma défense face à mes mean girls – qui m’étaient à présent totalement sorties de l’esprit – discute avec moi au lycée, m’emmène jusqu’à chez lui ET me fasse visiter sa villa main dans la main, je ne m’attendais pas à CA ! A tout sauf ça, par exemple, me faire jeter dehors, ou un truc du genre. Quelque chose qui me ferait redescendre sur terre, n’importe quoi, mais moi qui me croyait déjà au comble du bonheur avait eu droit à la cerise sur le gâteau !

    J’avais compris à l’instant même ou Kyllian avait commencé à approcher lentement son visage du mien, je m’étais instantanément figée, incapable de bouger, et de parler, puisque même lorsque j’avais essayé, j’en avais été totalement incapable. Etait-il normal que mon cœur batte si fort au moment ou les lèvres de Kyllian entrèrent en contact avec les miennes ? Etait-il normal que ma respiration s’accélère de la sorte ? Que j’ai envie que le monde autour disparaisse, ne laissant que nous deux ? Que ce moment dure éternellement ? J’avais d’ores et déjà l’impression que nous étions seuls au monde, de toute façon. Et j’en étais la plus heureuse, j’étais littéralement au comble du bonheur ! J’avais peur que cette impression de bonheur se dissipe au moment où ses lèvres quitteraient les miennes, terminant notre premier baiser, ce moment magique, mais je me trompais.

    En effet, lorsque ses lèvres se détachèrent des miennes, j’avais toujours le souffle étrangement court, mon cœur battait toujours à tout rompre quelque part, j’avais en fait comme l’impression qu’il battait du bout de mes orteils à la racine de mes cheveux, partout, l’endroit le plus intense restant au creux de ma poitrine. Un silence s’installa, et Kyllian baissa la tête, au contraire de moi. Je devais me remettre de mes émotions avant de retrouver l’usage mes membres. Comment ça marchait ces engins là ?! Je fus cependant la première à briser le silence, et tout ce que je trouvais à dire, ce fut que c’était inattendu. Stupide, banal, mais mon cerveau ne semblait pas capable de marcher correctement. La seule chose qui occupait chaque recoins de mon esprit se résumait à un seul et même prénom : Kyllian. Rien d’autres, alors que normalement, j’aurais du être en totale manique sur le sujet du « Et qu’en penserait Alex ?! Comment va-t-elle réagir ? » Mais rien, le vide, excepté Kyllian. Il fini par retrouver lui aussi l’usage de la parole, rompant à son tour le silence qui s’était installé. J’avais l’impression qu’un courant électrique parcourait mon corps tout entier, sensation que j’aurais pensé désagréable, mais c’était tout le contraire.

    KYLLIAN : « Tu … tu m’en veux pas ? »

    Ces paroles me semblèrent tellement… Absurdes ! Comment lui en voudrais-je ?! Comment pouvait-il ne serait-ce penser que je pourrais lui en vouloir ? Lui en vouloir de quoi ?! De m’avoir embrassé ? J’attendais ce moment depuis tellement de temps que c’était impossible. J’étais tellement abasourdie que je ne su pas quoi répondre, alors qu’un grand « non » aurait fait amplement l’affaire, basique, simple, mais j’étais sur le cul ! Du coup, Kyllian poursuivi, avant que je n’ai le temps de répondre.

    KYLLIAN : « Ecoute je sais que tu m’en veux sûrement parce qu’on est … amis, mais je … ça fait longtemps que j’en avais envie et je … Je T’aime Kay’ »

    Etait-il normal que soudainement, une bouffée de chaleur m’envahisse ? Je devais encore avoir viré au rouge pivoine, même si j’avais tellement chaud que je ne m’en rendais pas compte. J’avais du rêver, c’était impossible. Il ne pouvait pas m’avoir dit « Je t’aime ». J’étais en train de rêver, je me disais bien que cette journée était trop belle pour être vraie, j’avais trouvé la raison, j’allais ouvrir les yeux d’ici peu, et m’apercevoir que cela n’était qu’un rêve. Pourtant, la sensation de ses lèvres sur les miennes, sa main contre ma joue… Je les sentais encore. Et son odeur envahissait l’espace tellement qu’il était impossible qu’un rêve fût si réel ! Je fermais les yeux un instant. Si quand je les rouvrais, Kyllian était toujours là, face à moi, c’est que je ne rêvais pas. 1… 2… 3, je rouvris les yeux, il était toujours là, son regard rivé sur mon visage. Je devais répondre quelque chose, sinon, il allait prendre mon absence de réaction pour un refus, pour un « désolé, je préfère qu’on reste amis ». Mais que dire ? Je savais ce que je devais dire, seulement, les mots « Je t’aime » sont bien plus difficiles à dire que « Je te hais ». Et de surcroît, je ne les avait jamais dis. Je devais me lancer, j’avais face à moi un garçon formidable, qui n’attendait que moi, je ne devais pas passer à côté. Je n’aurais peut être pas d’autre chance de lui dire ce que je ressentais. Lorsque je pris enfin la parole, ma voix était étrangement sourde, j’avais la gorge sèche, et un nœud à l’estomac, pourtant, il fallait que je me lance.

    « Kyllian, je… » Commençais-je, me mordant la lèvre inférieure avant de poursuivre. « Je ne t’en veux pas… Pas du tout… Je… » Je pris sa main dans la mienne, machinalement, sans même m’en rendre compte, et fini par me lancer, lâchant dans un murmure. « Je t’aime aussi… »

    C’était dit, mon cœur, dont la course folle s’était un peu calmée, reparti à nouveau pour un petit sprint, je commençais à prendre goût à cette sensation. Suite à mes paroles, je baissais à mon tour le regard, le rivant sur ma main dans la sienne. Pour une fois que je ne fixais pas me genoux ou le bout de mes converses.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeLun 13 Avr - 22:57

    Je remerciais mes frères et mes parents d’être occupés autre part à ce moment là. Je n’osais même pas imaginer s’ils avaient été là. Je les remercierais, parce que grâce à cela j’avais passé et je passé encore un moment formidable avec la fille de mes rêves. Je n’avais jamais ressentit ce que je ressentais pour Kaylight. Certes j’étais déjà tombé amoureux même très amoureux d’Alex mais maintenant c’était diffèrent. J’aimais Kay’ encore plus. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir ressentir ca un jour. Les mains qui tremble, le cœur qui bat à 100 à l’heure, les frissons, la façon de ne pas pouvoir détacher mon regard d’elle.

    Je l’avais embrassé, enfin, j’avais eu le courage de me lancer. Elle ne m’avait pas repoussé mais les baiser avait été bref. Juste le temps d’y déposer un legé baisé amoureux. Mon cœur c’était emballé, perdant ses battements en temps normal régulier. J’avais finis par baisser la tête. Je ne savais pas comment agir, ni quoi dire ni quoi faire. Bizarrement mes pensées vagabondèrent vers ma meilleure amie et ex petite amie Alex. Je me demandais bien ce qu’elle allait penser de tout ca même si elle m’avait dit que cela ne l’a gênerais en rien. Je secouai la tête pour chasser ses idées et ce fus à mon tour de retrouver la parole. Je demandai si elle ne m’en voulait pas. Mais sans lui laissait le temps de répondre je lui avouais que je l’aimais. Depuis le temps que j’attendais ce jour là j’étais bien content qu’il soit enfin arrivé. Je n’arrivais pas a oublier ce qui s’est passé je sentais encore le gout de ses lèvres sur les miennes, et son parfum, sa présence me rendait dingue. J’étais dingue de cette fille. Je vis qu’elle rougissait, elle était encore plus belle quand ses pommette devenait rouge. Je n’avais qu’une envie c’était de la prendre dans les bras et de m’emparer une seconde fois de ses belles lèvres.

    KAYLIGHT : « Kyllian, je… »

    Mauvais signe, elle allait surement dire « Kyllian, je suis désolé mais ce n’est pas ce que je ressens ». Une nouvelle venait de prendre vie dans ma tête disant : « t’es vraiment nul mec ! C’était sur qu’elle ne voulait pas de toi ». Elle m’en voulait c’est sur !

    KAYLIGHT : « Je ne t’en veux pas… Pas du tout… Je… »

    En fait là je suis sur qu’elle ne m’en veut pas mais ce n’est peut être pas réciproque. Je l’aime tellement que si elle me dit ca je … je ne peux pas vivre sans elle. Je baisse une nouvelle fois la tête. Je sentis sa main prendre la main et mon cœur faire un bond. Automatiquement et rapidement je relevai la tête pour la regarder.

    KAYLIGHT : « Je t’aime aussi… »

    Là je dois bien avouer que j’ai cru que mon cœur c’était arrêté pendant plusieurs secondes quand je le sentis à nouveau battre à 300 à l’heure cette fois. J’avais l’impression qu’une bête avait poussé un rugissement de victoire à l’intérieur de moi. Elle m’aime elle aussi ! Impossible ! Je l’a vois baisser à son tour la tête. Je serrai légèrement sa main dans la mienne et de l’autre main je passai doucement mes doigts sous son menton et remonta délicatement sa tête. Je m’approchai une nouvelle fois de son visage et plaça doucement ma main sur sa joue avant de l’embrasser tendrement. Je fermai les yeux profitant de ce moment ou il n’y avait à nouveau plus que nous deux sur terre. Il aurait pu arriver n’importe quoi il n’y avait que la fille de mes rêves et moi. Au bout d’un long baiser je me reculai légèrement un immense sourire aux lèvres. J’étais l’homme le plus chanceux et le plus heureux du monde. Soudain mon ventre gronda. Ce qui me fit rire.

    « Désolé ! »

    Je souris et restant assis sur mon lit je m’adossai au mur et serra Kaylight contre moi déposant un baiser sur son front. Je ne voulais plus rien changé. Je l’aime et elle m’aime c’est tout ce qui compte en ce moment !
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMar 14 Avr - 2:04

    Voila, c’était dit… C’est impressionnant comment ces mots sont difficiles à sortir, même quand on les pense du plus profond de notre cœur. Car c’était le cas, j’étais raide dingue amoureuse de Kyllian, je n’avais jamais ressenti quoi que ce soit de semblable ou d’approchant, rien d’aussi fort. J’aurais pu passer des heures à sentir simplement sa main dans la mienne, son regard dans le mien, son odeur m’enveloppant totalement ;, me vidant dans la tête. Tout me sortait de la tête, à partir du moment ou ce n’était pas lié à Kyllian. Ma vie de merde, mon père, le lycée, tout était secondaire. Il m’avait dit qu’il m’aimait, et je le lui avais dit en retour. C’était le plus beau jour de ma vie, et si je n’avais pas été aussi captivée par ce moment d’ « intimité » entre Kyllian et moi, j’en aurais probablement sauté de joie. Cependant, sauter n’entrerais pas dans ce que je pourrais faire à ce moment précis : j’avais les jambes en coton.

    Lorsque j’avais parlé, ou plus précisément essayé de parler, et de faire des phrases qui soient dignes de ce nom, et non une suite de mots sans aucun sens, Kyllian avait semblé anxieux de ma réaction. Si il sentait avec quelle vigueur mon cœur battait contre mes côtes en ce moment précis, il n’aurait aucun doute sur mes sentiments, c’était certain. Je me demandais d’ailleurs si ce qu’il ressentait en ce moment précis était aussi puissant que ce que moi je ressentais. Il avait baissé la tête tandis que je parlais, et au moment où je saisi sa main, il releva rapidement la tête, pour m’entendre murmurer les trois plus beaux mots qu’on puisse dire à quelqu’un, pour un peu qu’ils soient sincères : « Je t’aime ».

    Son visage s’était illuminé à la suite de ces simples mots, et automatiquement, le mien aussi lorsqu’il me fit le regarder, glissant sa main avec douceur sous mon menton. C’était trop beau pour être vrai et pourtant, ça l’était ! Le garçon de mes rêves, ce jeune homme formidable qu’étaient Kyllian N. Connors, beau, talentueux, gentil, doux, drôle, et autres qualités qu’il me serait trop long de citer, était amoureux de moi ! C’était incroyable, mais c’était vrai. Personne ne pouvait être aussi heureux que moi, c’était statiquement impossible. Combien de filles rêveraient d’être à ma place à ce moment précis ?! Un bon paquet, dans le monde entier, et pourtant, elle ne le connaissaient pas, elle l’aimaient pour de mauvaises raisons. Elles ne l’aimaient pas comme moi je l’aimais. Peu m’importait sa célébrité, il était l’homme de mes rêves, celui auquel je ne pouvais m’empêcher de penser le soir, avant de m’endormir. Celui que je croyais inaccessible, et qui pourtant m’aimait lui aussi !

    Je sentis la main de Kyllian se poser délicatement tout contre ma joue, et des frissons parcoururent à nouveau mon échine, juste avant que, sans hésitation cette fois, ses lèvres ne rencontrent les miennes, pour un baiser plus long cette fois. Serrant sa main dans la mienne, je fermais les yeux, posant ma main libre sur son torse, contre son cœur, que je pouvais sentir battre sous ma paume, avec autant de force que le mien. Moi qui avait cru avoir atteint le summum du bonheur lors de notre premier baiser fut surprise d’apprécier encore plus ce deuxième, plus long, moins hésitant, mais avec toujours cette impression d’être seuls au monde, lui et moi, rien d’autre, le seul bruit perçant le silence étant celui, discret, que faisaient nos lèvres l’une contre l’autre. Tout était parfait, rien ne pourrait me faire redescendre de mon petit nuage de bonheur aujourd’hui, c’était totalement impossible.

    Kyllian fini par s’éloigner légèrement, son visage toujours si près du rien que je sentais son souffle sur ma peau -sensation des plus agréable, soit dit-en passant. Un immense sourire illumina son visage, et je ne pu que le lui rendre. Un bruit, pour le moins inattendu, brisa cependant le silence, déclenchant les rires de Kyllian, et les miens, par la même occasion : son ventre venait de gronder, me rappellant temporairement à la réalité.

    KYLLIAN : « Désolé ! »

    Je me contentais simplement de rire, tandis qu’il déposait un baiser sur mon front, avant de m’attirer contre lui, qui s’était adossé au mur. Je ne demandais rien de plus. Il était mien, et ça me suffisait. Ses lèvres contre les miennes, pouvoir être dans ses bras, lui prendre la main et lui dire enfin ce que j’avais sur le cœur et que je m’étais si longtemps retenue de dire, je n’avais besoin de rien d‘autre pour combler mon bonheur. Mon retour à la réalité était déjà bien loin.

    Je demeurais ainsi dans ses bras un petit moment, mon visage tout contre son torse, ma main dans la sienne, je caressais le dos de sa main machinalement de mon pouce. Les yeux fermés, je gardais le silence un long moment, bercée par le son des battements réguliers de son cœur, un mince sourire étirant toujours mes lèvres. J‘aurais pu rester là pendant des heures, j’étais apaisée, au comble du bonheur, parce qu’avec lui. Je fini par briser le silence, pour dire.

    « Dis moi que je ne suis pas en train de faire le rêve le plus réaliste et dingue de ma vie. »

    J’avais en effet toujours autant de mal à y croire. J’attendis sa réponse, puis ajoutais sur le ton de la plaisanterie.

    « Je crois qu’on devrait descendre manger, avant que ton estomac ne nous rappelle à l’ordre. »

    J’avais dis ça, cependant, je n’avais pas bougé d’un pouce, j’avais toujours les yeux fermés, écoutant chacun des battements de son cœur en me disant qu’en ce moment, il battait pour moi. C’était peu être stupide, mais que voulez vous, on dit que l’amour rend aveugle, il rend aussi stupidement romantique et fleur bleue. Et puis, comme si c’était le genre de situation qu’on avait envie d’abréger ! Je n’aurais échangé ma place à aucun prix ! Et quand je dis aucun, c’était vraiment aucun.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMar 14 Avr - 13:15

    J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé et pourtant tout était réel. J’étais le plus heureux du monde. Même si j’avais toujours tout eu, mes parents, mes frères, la musique … Je n’avais jamais était comblé il ne manquait que Kaylight et maintenant que j’étais avec elle il ne pouvait rien y avoir de mieux. C’était la personne qui comptait le plus pour moi. Je n’avais jamais supporté qu’on se moque d’elle au lycée, ou alors qu’elle soit malheureuse mais maintenant j’allais encore moins laissé passer tout cela. Je n’allais pas non plus être surprotecteur, je détestais cela alors je n’allais pas être comme ca, mais disons que j’allais passer plus, beaucoup plus de temps avec elle.

    Pendant quelques instants j’avais bien cru que mes sentiments n’était pas du tout partagé et j’avoue que ca m’aurait fait vraiment mal. Certes j’aurais pu avoir des tonnes de petites amies parce que des filles qui veulent sortir avec moi, sans vouloir me venter parce que ce n’est pas mon genre, il y en a des tonnes. Des tas de groupies ou de fans serait heureuse de sortir avec moi ou un de mes frères mais moi la seule avec qui je voulais être se trouvé à coté de moi. Puis elle finit par me dire qu’elle m’aimait aussi. Mon cœur sembla s’emballer tout seul et j’eu l’impression que j’avais rêvé. Tout cela était réellement trop beau pour être vrai. Mon visage s’illumina comme jamais il ne l’avait été. J’étais aux anges !

    Je ne pus m’empêcher de l’embrasser une nouvelle fois, mais cette fois fut bien plus belle. Kaylight prolongea tendrement. Sa main se posa contre mon torse et me procura des frissons. Je n’avais pensé que je serais si soulager de savoir que cela était réciproque. Toujours cette impression d’être seul au monde. Pour le moment tout semblait simple, il n’y avait que Kaylight et moi, chez moi. Mais des que nous serions dehors tout sera diffèrent, il aura de nouveau les paparazzis, les fans hystérique, puis on allait surement jamais se voir. Rien que de pensé à tout ca, ca me casser ma bonne humeur, mais je voulais profiter du moment présent avec la fille qui fait battre mon cœur.

    Je la serra contre moi quand mon ventre commença à gronder. Effectivement je regardai l’heure sur mon portable il était déjà 11 heure 30. Il allait falloir manger puis ensuite retourner au lycée Sad. Je restai un moment assis sur mon lit, Kaylight contre moi, j’étais tellement bien. Son odeur m’enivrait.

    KAYLIGHT : « Dis moi que je ne suis pas en train de faire le rêve le plus réaliste et dingue de ma vie. »

    A cette remarque je pus m’empêcher un lège rire. C’est vrai que j’aurais pu me poser la même question. Mais je n’avais pas envie que se soit un rêve et d’ailleurs c’était merveilleux que ca n’en soit pas un.

    « Non crois moi ce n’est pas un rêve ! Si tu veux je peux te pincer pour te le prouver ?! »

    Je ris en même temps que Kaylight et la pinça légèrement mais pas fort pour ne pas lui faire mal. Elle était magnifique, j’aurais pu passer des heures à la regarder. Elle m’hypnotiser. Un simple sourire de sa part et mon cœur s’emballait, je fondais complètement.

    « Quel sort tu m’as jeté ? »

    Bien sur c’était pour rire, mais elle me faisait un tel effet. Bien sur mon estomac gronda une deuxième fois. Je mourrais de faim mais j’étais tellement bien.

    KAYLIGHT : « Je crois qu’on devrait descendre manger, avant que ton estomac ne nous rappelle à l’ordre. »

    « Je suis d’accord. »

    Elle avait dit cela sans bouger, ce fut moi qui me levai en même temps qu’elle. Je pris ma guitare sèche et de ma main de libre pris celle de Kaylight et entremêla mes doigts avec les siens. Je descendis avec elle au salon posa ma guitare sur le canapé et alla faire chauffer de l’eau pour manger des pates.

    « Des pates ca te va ? »

    En fait je n’avais rien d’autre que cela. Ma mère devait aller faire les courses donc je n’avais plus grand choix. Je mis donc l’eau à chauffer et me laissa tomber sur le canapé la ou Kaylight c’était assise. J’avais une chanson que j’avais écrite pour elle mais je ne savais pas si elle avait envie de l’écouter. Je pris ma guitare et commença à gratter quelques accords avant de relever la tête vers Kaylight et de prendre la parole.

    « Il y a une chanson que j’aimerais te chanter ! Je … je l’ai écrite en pensant à toi ! Ca te dit ? »

    J’espéré vraiment qu’elle allait l’aimer. J’étais comblé et je dois avouer que je n’avais aucune envie de retourner au lycée ou on n’allait pas pouvoir s’embrasser ou se faire des câlins. D’ailleurs on devra très souvent se cacher. D’ailleurs il fallait peut être que je lui en parle.

    « Kay’ il y a un truc dont y faut que jte parle. Tu sais maintenant qu’on est … ensemble, on va devoir se cacher des paparazzis et des journalistes. Alors je vais devoir surement dire et redire que je suis célibataire pour ne pas que tu sois harceler. Je sais que tu n’aime surement pas ca et si un jour sa devient trop difficile pour toi et que tu veux qu’on arrête je comprendrais. »

    Je comprendrais mais je serais anéantit mais je ne voulais pas non plus qu’elle laisse sa petite vie tranquille, enfin façon de parler, pour être suivit toujours par des paparazzis. Je tiens à la tenir éloigner des médias et à ce qu’elle soit heureuse.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMar 14 Avr - 22:00

    Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, et franchement, je ne voulais pas le savoir ! Pourquoi ? Parce que plus le temps passait, plus il me rapprochait du moment ou je devrais retrouver le lycée, les cours, et quitter Kyllian. Chose dont je n’avais pas le moins du monde envie ! Car je savais que, même si j’aimais Kyllian, et que lui aussi m’aimait, il serait préférable que nous restions discret sur ce sujet, si on voulait éviter de faire la Une des magazines à scandale. Et sincèrement, voir ma tête en première page de tous les tabloïdes, ce n’était pas vraiment ce que j’attendais de cette histoire. La seule chose que j’attendais, c’était seulement de pouvoir passer du temps avec le garçon de mes rêves qui par miracle, m’aimait aussi ! La notoriété – ou les soudaine ennemies – que je pourrais en retirer ne m’intéressais nullement. Je ne voulais pas faire la une des journaux afin que des paparazzi crapuleux s’enrichissent sur le dos de notre histoire, et si un jour, je me retrouvais dans les journaux, je voulais que ce soit parce que mon rêve de devenir actrice se soit concrétisé, et non à cause d’une « Love-story » avec une Rock star !

    Ainsi installée, dans les bras de Kyllian, les paroles d’une chanson d’Alex, pour la série Alex Jones, me revinrent à l’esprit. Ca faisait : « They say that good things take time // but really great this happen in the blink of in eyes // thought the chances to meet somebody like you
    Were a million to one // I can't believe it (oh whoa) // You're one in a million » Ces paroles reflétaient exactement ce qui m’arrivait en ce moment ! Cette pensée me fis sourire, bien qu’elle fit revenir à mon esprit ma meilleure amie, et, par la même occasion, l’ex de Kyllian, son premier amour… Que penserait-elle de tout cela ? Oh, et puis vous savez quoi ? J’y penserais plus tard, pour le moment, sachant que je n’aurais plus énormément de temps en compagnie de Kyllian, bien que je n’ai aucune idée de l’heure – quoi que l’estomac de Kyllian se charge de nous rappeler que midi approchait, de toute évidence. J’avais posé une petite question à Kyllian, car j’avais toujours du mal à croire que je n’étais pas en train de rêver.

    KYLLIAN : « Non crois moi ce n’est pas un rêve ! Si tu veux je peux te pincer pour te le prouver ?! »

    Sur ces mots, Kyllian me pinça doucement, et je laissais échapper un rire. Je ne rêvais pas, et ça m’arrangeait bien. Je ne crois pas que j’aurais supporté de me réveiller dans ma petite chambre, pour m’apercevoir qu’au final, mon imagination m’avait joué un vilain tour. Cela aurait à coup sûr garanti ma mauvaise humeur pour le lendemain, moi qui suis pourtant un exemple de gentillesse, sans vouloir me vanter, bien sûr. A ma place, avec ma réputation au lycée, ma vie à la maison, et mes « meilleures amies », plus d’une aurait pété un plomb !

    « Tant mieux alors ! » Dis-je avec un grand sourire.

    KYLLIAN : « Quel sort tu m’as jeté ? »

    Avec un sourire, je m’écartais légèrement de lui, et dit, juste avant de déposer un baiser sur les lèvres de Kyllian, sans même me poser de questions.

    « Ne compte pas sur moi pour te le dire, il ne manquerait plus que tu arrive à t’en libérer. » Dis-je d’un air malicieux.

    L’estomac de Kyllian nous rappela ensuite à l’ordre, et même si je n’avais pas la moindre envie de bouger, je proposais que nous descendions pour manger. Kyllian était d’accord, et lorsqu’il se redressa, je fis de même. Il prit ma main, entremêlant ses doigts dans les miens, et je la serrais doucement tandis qu’il attrapait sa guitare sèche, puis nous descendîmes au rez-de-chaussée, après être passé devant les chambres de ses frères. Une fois au salon, il posa sa guitare sur le canapé, sur lequel je m’assis. Kyllian s’éclipsa à la cuisine, tout en me parlant.

    KYLLIAN : « Des pâtes ça te va ? »

    « Impeccable ! » Répondis-je, et je ne disais pas cela pour lui faire plaisir, même si de toute façon, je n’allais pas faire la difficile : j’adorais les pâtes.

    Kyllian ne tarda pas à revenir au salon, pour se poser à côté de moi sur le canapé, saisissant au passage sa guitare, qu’il calla sur ses genoux, pour commencer à jouer quelques accords. Je ne fis pas de commentaire, écoutant la mélodie, un léger sourire aux lèvres. Kyllian fini par relever la tête vers moi, et ce qu’il me dit me surpris. J’allais de surprise en surprise, si ça continuait à ce rythme là, j’allais vraiment me mettre à sauter partout, afin de laisser éclater mon bonheur.

    KYLLIAN : « Il y a une chanson que j’aimerais te chanter ! Je … je l’ai écrite en pensant à toi ! Ca te dit ? »

    « Bien sûr ! » Répondis-je avec un peu trop d’empressement, si bien que je laissais échapper un petit rire, avant d’ajouter. « J’adorerais. »

    Une chanson pour moi ! Une chanson écrite en pensant à moi ! Combine de fois m’étais-je dis, en écoutant Please be mine, la chanson que Kyllian avait écrite pour Alex, il y a quelques temps de ça – chanson magnifique, d’ailleurs – que j’aimerais qu’un jour, quelqu’un m’écrive quelque chose pour moi. Une chanson qui signifierais quelque chose pour moi, comme pour celui qui l’écrirait ! Bien sûr, je n’avais jamais imaginé que cette personne puisse être Kyllian. Et cette chanson, j’étais impatiente de l’entendre.

    KYLLIAN : « Kay’ il y a un truc dont y faut que j’te parle. Tu sais maintenant qu’on est … ensemble, on va devoir se cacher des paparazzis et des journalistes. Alors je vais devoir sûrement dire et redire que je suis célibataire pour ne pas que tu sois harceler. Je sais que tu n’aime sûrement pas ça et si un jour sa devient trop difficile pour toi et que tu veux qu’on arrête je comprendrais. »

    Qu’est ce qui serait trop difficile ? De ne pas pouvoir me balader main dans la main avec mon petit ami au lycée, et sortir tranquillement avec lui sans risquer de voir ma tronche dans tous les magasines à scandale dès le lendemain, ou sur Internet ? Bah, même si ne pas pouvoir me balader librement avec lui n’était pas la chose la plus agréable, je m’y ferais. Qu’il dise qu’il était célibataire dans diverses interviews, cela ne me posait aucun souci, du moment que moi je savais la vérité… Et puis, j’avais déjà assez de personne qui ne m’appréciaient pas, inutile de rajouter une palanquée de fan de Kyllian en colère et jalouse à ma collection ! Je posais donc doucement ma main contre la joue de Kyllian tandis que je lui répondais :

    « Ne t’en fais pas, je suis capable de supporter ça. J’ai vu pire que des paparazzi véreux dans ma vie. L’important, c’est que moi je sache la vérité. Et puis » ajoutais-je avec un petit air amusé « Je ne tiens pas à être poursuivie par des fans hystériques des Connors Brothers en colère ! J’ai assez d’Ashley te sa bande de copine. Et me voir en première page des magasines dès que j’irais faire mes courses, c’est assez gênant. Le seul truc qui me dérange, c’est que je ne pourrais pas faire ça quand j’en aurais envie… »

    Et sur ces mots, ma main toujours contre sa joue, je m’approchais de lui et déposais un baiser sur ses lèvres, avant de lui sourire.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMar 14 Avr - 23:09

    Il est vrai que maintenant j’allais surement passer des heures et des heures avec Kaylight et je ne m’en lasserais jamais. Je savais aussi qu’à passer beaucoup de temps avec elle il y allait surement avoir des tonnes et des tonnes de rumeurs mais je les nierais parce que je ne tiens absolument pas à ce que Kaylight soit suivit tout les jours par des paparazzis, des journalistes ou encore des fans hystérique. Je l’a connaissais assez pour savoir qu’elle ne voulait pas faire la UNE pour « Love-Story » avec une rock star. Je comptais bien garder notre histoire secrète mais en même temps quand je me rappel comment ca à finit avec Alex. On avait voulu notre histoire secrète et on cela avait créé des tonnes de disputes et on avait finit par rompre, je ne voulais surtout pas que cela arrive avec Kaylight. Je tenais beaucoup trop à elle. Je n’arrivais d’ailleurs toujours pas à croire qu’on était enfin ensemble.

    Kaylight dans mes bras je me demandais ce qu’Alex allait penser de tout ca. Déjà comment est ce qu’on allait lui annoncer que Kaylight et moi étions ensemble. Je me souvenais qu’elle m’avait dit qu’elle s’en fichait que de toute façon elle aimait Nate. Eh puis elle aimait mon jumeau alors je me fichais pas mal de ce qu’elle allait penser mais j’espéré seulement qu’elle n’en voudrait ni à Kaylight ni à moi. Je fus sortit de mes pensées par Kaylight qui me demanda si elle ne rêvait pas. Bien sur je ne pus m’empêcher de la pincer légèrement pour l’embêter. Ce qui la fit rire. Elle était tellement mignonne quand elle riait, même si elle l’était tout le temps.

    KAYLIGHT : « Tant mieux alors ! »

    Je lui demandai ensuite quel sort elle m’avait jeté. Elle me rend complètement dingue d’elle. J’avais eu envie de l’embêter un peu en demandant cela mais elle avait de la répartit elle aussi.

    KAYLIGHT : « Ne compte pas sur moi pour te le dire, il ne manquerait plus que tu arrive à t’en libérer. »

    Je ris en même temps qu’elle. Puis bien sur mon estomac cassa un peu ce moment. Mais il est vrai que je commençais à avoir drôlement faim. On descendit tout les deux au salon et je m’éclipsai quelques minutes à la cuisine. Je mis de l’eau à chauffer tout en demandant à Kaylight si des pates lui suffisaient.

    KAYLIGHT : « Impeccable ! »

    Je revins au salon et m’installa prés de ma petite amie sur le canapé. Cela faisait bizarre de me dire que j’étais ENFIN avec elle et pourtant c’était le cas. Je calla ma guitare sur mes genoux et gratta les quelques accords du début de la chanson de « Kung Fu Grip », celle que j’avais écrit pour Kaylight. J’avais écrit une chanson pour Alex, « Please Be Mine » au moment ou je sortais avec elle, enfin juste avant et maintenant c’était pour Kaylight. La musique était un moyen de m’exprimer et j’aimais écrire des chansons sur ce que je ressentais.

    KAYLIGHT : « Bien sûr ! J’adorerais. »

    Je fis un immense sourire inutile de dire que cela m’enchanté qu’elle soit aussi enthousiaste. Maintenant j’espère qu’elle allait aimer les paroles. Je commença à jouer quelques accords puis me mis à chanter.

    « She's got a smile, that I die for
    Everyone knows that I'm a prisoner of war for her
    Yeah

    Sometimes I wish I had a kung fu grip
    Never let her slip away, she'd be my girl
    I really wish she knew, what I feel is true
    She'd be my doll, and I would be her hero, too

    I'm so in love with her
    I don't care who knows that I'm ready to fight, ready to go
    Just like a GI Joe

    Sometimes I wish I had a kung fu grip
    Never let her slip away, she'd be my girl
    I really wish she knew, what I feel is true
    She'd be my doll, and I would be her hero, too

    Sometimes I wish I had a kung fu grip
    Never let her slip away, she'd be my girl
    I really wish she knew, what I feel is true
    She'd be my doll, and I would be her hero, too
    She'd be my doll, and I would be her hero, too
    She'd be my doll, and I would be her hero, too
    »

    J’avais un peu peur de comment elle allait réagir il fallait bien l’avouer. Je relevai timidement la tête vers Kaylight attendant sa réaction sur les paroles de la chanson.

    Je commençai ensuite à lui expliquer que si jamais la pression des médias et tout le reste devenait trop fort pour elle je comprendrais qu’elle veuille arrêter. Pourtant je savais que Kaylight était la fille que j’avais envie de présenter au monde entier comme ma petite amie. J’avais envie de présenter cette fille unique qui était la mienne à tout le monde. J’étais fière qu’elle soit ma petite amie. Je sentis la main de Kaylight sur ma joue ce qui me fis sortir de mes pensées.

    KAYLIGHT : « Ne t’en fais pas, je suis capable de supporter ça. J’ai vu pire que des paparazzi véreux dans ma vie. L’important, c’est que moi je sache la vérité. Et puis je ne tiens pas à être poursuivie par des fans hystériques des Connors Brothers en colère ! J’ai assez d’Ashley te sa bande de copine. Et me voir en première page des magasines dès que j’irais faire mes courses, c’est assez gênant. Le seul truc qui me dérange, c’est que je ne pourrais pas faire ça quand j’en aurais envie… »

    Sur ces mots elle m’embrassa. Je prolongeai tendrement ce baiser, posant mes mains sur ses hanches. Je fermai les yeux, j’étais au paradis. Il n’y avait à nouveau qu’elle et moi, personne d’autres. Le baiser se finit doucement et la regardant dans les yeux, nos visages à quelques centimètres je repris la parole.

    « Je sais pas si je vais pouvoir me passer de ca longtemps quand on est dehors ! »
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMer 15 Avr - 2:28

    Etais-je vraiment obligée de retourner au lycée ? D’habitude, même si pour moi, l’ambiance n’était pas la meilleure, j’étais heureuse de retourner au lycée, puisque cela signifiais quitter l’ambiance encore plus pourrie de chez moi. Mais là, le lycée, franchement, ça ne me tentais pas plus que ça. On ne pouvait pas je sais pas moi… Se cacher quelque part tous les deux. N’importe où, du moment que j’étais avec lui, ça me convenait parfaitement. Comme quoi, je ne suis pas difficile, n’est ce pas ?! M’enfin bon, j’avais déjà séché la géo, je n’allais pas en plus me mettre à sécher à tort ou a raison, juste parce que l’envie m’en prenait… même si je devais reconnaître que rester ici, juste Kyllian, sa guitare et moi, me paraissait un programme pour la journée très, très tentant ! Mais oublions, de toute façon, penser au lycée, ça me déprimait – je n’aurais jamais pensé dire ça – et je préférais me concentrer sur Kyllian, qui, revenant de la cuisine, s’était assis sur le canapé à côté de moi, et avait commencé à gratter les cordes de sa guitare. Je fus surprise et on ne peut plus enchantée lorsqu’il me demanda si entendre une chanson qu’il avait écrite en pensant à moi. Je lui avais inspiré une chanson, je n’aurais certainement pas parié dessus, mais pourtant, c’était bien une chanson d’amour qu’il se mit à jouer.

    J’eu plusieurs réaction, de plus en plus intenses au fur et a mesure que Kyllian avançait dans al chanson. Mon cœur s’accéléra de nouveau – je commençais à adorer cette sensation –, et mes joues commencèrent à nouveau à se teinter de rouge – j’appréciais déjà nettement moins. « She's got a smile, that I die for // Everyone knows that I'm a prisoner of war for her // Yeah » Voila comment démarrait la chanson, cela vous donne donc une assez bonne idée de ce que pourrais être la suite. Moi qui pensait que jamais je ne pourrais trouver une chanson plus belle que « Please be mine », ou le grand tube des Connors Brothers « When you look me in the eyes » – cette chanson avait le don de me faire fondre en larmes bien souvent – celle là avait une signification beaucoup particulière pour moi à présent. Je la classais au rang de numéro un ! Comment aurait-il pu en être autrement, alors que cette chanson d’amour, c’est en me regardant dans les yeux que Kyllian la chantait ? Je lisais dans son regard qu’il en pensait chaque mots. J’étais touchée, j’en tremblais comme une feuille, je me trouvais ridiculement stupide, mais cela n’avait pas la moindre importance. Pendant la chanson, Kyllian avait fini par baisser la tête, et il la releva timidement à la fin. Il pouvait me découvrir donc rougissante, un immense sourire aux lèvres, et les yeux brillants d’émotion – oui, que voulez vous, je suis trop sensible. Certains considèreront peut être comme ridicule d’être si émue pour une chanson, mais les attentions de la part des autres, hormis Alex, qui avait toujours été là pour moi, étaient rares. Alex était la seule pour qui, jusqu’à aujourd’hui, j’avais eu conscience de compter, et me rendre compte que je comptais à ce point pour quelqu’un d’autre, pour Kyllian, qui plus est, me mettais dans tous mes états. Alors si vous avez envie de penser que je suis stupide, libre à vous, cela m’est complètement égal, j’assume. Je repris la parole, et je savais que j’aurais la voix tremblante avant même d’avoir ouvert la bouche.

    « Je l’adore… Franchement. » Dis-je, avec un sourire, tentant de contrôler les tremblements de ma voix. « Elle est magnifique. »

    La conversation s’était ensuite poursuivi sur le sujet de « en dehors des endroits à l’abri des paparazzi » autrement dit, partout, ou presque. Et donc, partout ou presque, je devrais faire semblant qu’entre Kyllian et moi, il n’y avait rien. Faire semblant que tout était comme avant, que nous étions seulement de simples amis, qui discutaient ensemble de temps à autres. Je devrais faire semblant de ne pas être complètement amoureuse de lui – cela dit, ça, j’en avais l’habitude – et qu’il n’était pas amoureux de moi. Eh oui, sortir avec une célébrité, qui n’en rêve pas ? Cependant, cela présente bien des inconvénients lorsqu’on ne veut pas voir sa vie privée étalée dans les journaux, et ce n’était pas ce que je souhaitais, ni ce que souhaitait Kyllian. Je ne voulais pas non plus, en plus, qu’on me colle la réputation de celle qui aurait volé le petit ami de sa meilleure amie – eh oui, n’oubliez pas que les paparazzi croient que Kyllian s’est remit avec Alex. Je ne voulais pas de tout ça, même si j’aurais voulu pouvoir être avec lui ou je voulais, quand je voulais, sans me soucier des autres, des appareils photos, des rumeurs… Je voulais que le monde entier sache que j’étais la fille la plus heureuse du monde, et que j’avais un petit ami formidable, que j’aimais de tout mon cœur… Mais cela équivaudrait à balancer ma vie privée dans les magazines people, et donc mes désirs se contredisaient quelque peu… J’avais cependant fait comprendre à Kyllian que si être avec lui signifiait devoir être discrets, et supporter qu’il prétende être célibataire, je le ferais. Si c’était le prix a payer pour pouvoir avoir l’homme de mes rêves pour moi toute seule, alors cela valait la peine. Suite à ma petite explication, je lui avais avoué qu’il serait tout de même difficile de ne pas pouvoir l’embrasser quand je le souhaitais, ponctuant mes paroles d’un baiser, qu’il me rendit, et prolongea. Oui, ça serait vraiment difficile de ne pas pouvoir l’embrasser quand j’en aurais envie… Vraiment.

    KYLLIAN : « Je sais pas si je vais pouvoir me passer de ça longtemps quand on est dehors ! »

    « On trouvera bien un moyen. » Répondis-je simplement, mon visage tout près de celui de Kyllian, appuyant mon front contre le sien. « Il faudra bien, parce que si je te rend visite à chaque fois que l'envie m'en prends, tes frères et tes parents vont en avoir assez de me voir. » Ajoutais-je avec un sourire amusé. « Et toi aussi sûrement. »

    Après tout, il suffisait d’être malin non ? Et quand il le fallait, je savais l’être ! On trouverait bien des endroit, excepté chez lui – chez moi étant un terrain banni d’office, personne n’y mettait les pieds, Alex elle-même n’était jamais venue – ou nous pourrions être à l’abri des regards indiscrets et mal intentionnés, et des flashs des paparazzis, n’attendant qu’un scoop pour s’en mettre pleins les poches ! On trouverait un moyen, car tout comme Kyllian, j’ignorais si je pourrais faire semblant très longtemps… Je voulais bien avoir quelques talents d’actrice, il y a des choses plus difficiles à prétendre que d’autres ! Et jouer pou une série télé, c’était chose, mais al vraie vie, s’en était une autre !
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeJeu 16 Avr - 16:52

    J’aurais bien voulu pouvoir rester comme ca, avec Kaylight pendant tout le temps. Je n’avais aucune envie de retourner au lycée, même si en temps général j’aimais cela. Il est vrai que quand j’y allais, ce qui n’était pas souvent dans l’année, cela me permettait d’avoir mes amis avec moi et ca changeait un peu. Mais la j’étais avec Kaylight et n’avait aucune envie de bouger. Surtout que je savais que dans une semaine j’avais de nouveau des concerts et puis on entré en studio. J’allais surement beaucoup moins la voir. C’est pour cela que j’aurais aimé rester encore plus longtemps avec elle. Je lui avais alors proposé de chanter la chanson que j’avais écrite pour elle. Bien sur elle avait accepté.

    Je me mis à jouer puis chanta ses paroles. J’avais écrite cette chanson juste après m’être rendu compte que j’étais complètement dingue de Kay’. C’était durant notre dernière tournée, lorsqu’on avait passé des heures dans le tour bus j’en avais profité pour écrire et composer dans mon coin. D’ailleurs mes frères, surtout Nate avaient rallé parce que je ne voulais pas jouer à Guitar Hero avec eux. Bref je jouais la chanson tout en regardant Kaylight dans les yeux. Je me perdis une nouvelle fois dans son regard craquant couleur chocolat. Elle avait les joues qui étaient devenus rouge et vers la fin je vis qu’elle avait les yeux humides. Finissant ma chanson j’avais baissé la tête pour regarder mes doigts faire les accords sur ma guitare. Jouant les derniers accords je relevai timidement la tête et fixa Kaylight.

    KAYLIGHT : « Je l’adore… Franchement. Elle est magnifique. »

    « Merci ! Je les écrite pendant la tournée. »

    Vous ne pouvez pas savoir comme je me sentis soulagé qu’elle l’a trouve bien. J’avais eu peur de sa réaction mais elle l’avait aimé. Je fis un sourire et pensa que j’étais vraiment chanceux d’être avec elle. Je ne l’échangerais pour rien au monde ! Absolument rien. Puis la conversation repartit sur le fait qu’on ne pouvait pas se montrer en public. Enfin en fait moi je m’en fichais pas mal, j’avais envie de pouvoir me balader main dans la main avec Kaylight, de pouvoir l’embrasser, quand je veux ou je veux ! Mais pour elle j’étais prêt à me retenir, même si sa allait être difficile. Il est vrai que Kaylight n’avais surement aucune envie d’être embêter par des paparazzis ou des médias.

    KAYLIGHT : « On trouvera bien un moyen. Il faudra bien, parce que si je te rends visite à chaque fois que l'envie m'en prends, tes frères et tes parents vont en avoir assez de me voir. Et toi aussi sûrement. »

    Je me mis à rire à cette réflexion mais au font je savais qu’il falloir beaucoup, énormément, bien plus qu’une vie pour que j’en ai marre d’elle. Je ne pouvais plus me passer d’elle alors ce n’est pas demain la veille que j’en aurais marre de la voir.

    « A moins que tu compte vivre jusqu’à 200 ans je ne pense pas que j’en aurais marre de toi ! Quand à mes frères et mes parents … je suis sur qu’ils t’adoreront ! »

    Je savais bien qu’en public je ne pourrais m’empêcher de la regarder, enfin plutôt de la dévorer des yeux. Mais je savais aussi, surement bien plutôt que ce que je pensais que je ne pourrais pas me retenir de me montrer avec elle main dans la main ou à me retenir de l’embrasser. Je souris et la regardant dans les yeux je repris la parole.

    « Et si un jour il m’arriver de faire ca … » Je l’embrassai tendrement fermant les yeux. Puis je me séparai légèrement d’elle et ajouta : « … En public, tu m’en voudras ? Parce que je ne pense pas pouvoir tenir bien longtemps à ce qu’on se cache, mais je ne veux pas que ca te déplaise si jamais, un jour, on rend notre relation officiel. »

    J’entendis de l’eau bouillir dans la cuisine. Merde les pates ! Je me levai précipitamment baissa le feu et mis les pates à chauffer. Quelques minutes plus tard les pates étaient prêtes. Je les gouttai et les répartit dans deux assiettes avant de m’adresser à Kaylight depuis la cuisine.

    « Tu veux quoi avec tes pates ? Gruyères, sauces tomates, ketchup ? »
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeJeu 16 Avr - 19:04

    KYLLIAN : « Merci ! Je les écrite pendant la tournée. »

    La tournée ? Si longtemps ? Enfin, je veux dire, il avait été avec Alex avant, leur relation avait tout de même duré un an, et Alex, elle, avait été longue à s’en remettre vraiment – vous n’avez qu’à écouter sa chanson 7 things – je n’aurais donc pas pensé que Kyllian soit amoureux de moi depuis autant de temps, même si 4 mois, ce n’était pas non plus une éternité, mais bon, ça commençait déjà à remonter un peu. Alors comme ça, Kyllian craquait pour moi depuis tant de temps que ça ? Enfin, je dis ça, moi aussi ça faisait un moment, mais je n’en avais rien dit, voler le petit ami de ma meilleure amie, ce n’était pas vraiment dans ma nature, bien au contraire. Voila les raisons pour lesquelles je m’étais tue. Je ne pouvais décemment pas avouer à ma meilleure amie, de but en blanc « Oh, tu sais Alex, je suis amoureuse de ton petit ami, mais c’est pas grave, hein, je vais pas te le voler, je suis pas une garce. » Ca a de quoi vous gâcher une amitié pour un bon moment !

    En tout cas, j’étais on ne peut plus touchée par cette chanson, je me demandais d’ailleurs comment Kyllian avait pu douter que je ne l’aime pas ! Quelle fille de rêvait pas d’une déclaration d’amour du garçon duquel elle est amoureuse en musique ? Pas moi en tout cas ! C’était agréable de se dire qu’au moins une fois, on a été la muse de quelqu’un !

    KYLLIAN : « A moins que tu compte vivre jusqu’à 200 ans je ne pense pas que j’en aurais marre de toi ! Quand à mes frères et mes parents … je suis sur qu’ils t’adoreront ! »

    Je souris à ses paroles. Deux cent ans aux côtés de Kyllian ? Hum, pourquoi ne suis-je pas immortelle hein ? M’enfin bon, on va pas se faire un remake de Twilight, j’étais déjà bien heureuse que pour une seule vie, Kyllian veuille bien de moi ! Quand à ses parents et ses frères… je connaissais déjà ses frères, du moins, un tout petit peu, au lycée, l’un d’eux était d’ailleurs le crush de ma meilleure amie, et l’autre le petit ami de ma meilleure ennemie… J’espérais au moins qu’il ne me détestait pas comme sa petite amie me détestait, sinon, ça promettait d’être joyeux ! Cependant, ses parents… Aouch, je ne les connaissais pas du tout, et je savais qu’ils adoraient Alex, alors passer derrière elle, dur dur ! Eh oui, Alex et moi étions peut être BFF, mais cela n’empêchait pas que nous étions tout de même bien différentes ! Elle était plus extravertie que moi, qui avait plus de mal à aller vers les gens (on se demande bien pourquoi tiens ! --‘’ ). Et si ses parents ne m’aimaient pas justement, au contraire de ce que venait de dire Kyllian ?!

    « Et si ils ne m’aimaient pas justement ? Je te rappelle que je n’ai pas vraiment le don d’être aimée de tout le monde. »

    Je vous épargnerais bien entendu la liste des personnes qui ne m’aiment pas, il y a plus préoccupant pour le moment, car ça y est, dans ma grande confiance en moi légendaire, je commençais déjà à m’imaginer que ses parents ne m’aimeraient pas, grosse galère, et comme ses parents ne m’aimeraient pas, nous devrions rompre, car la famille passait avant tout… Au moins, avec mon père, je n’avais pas à me poser la moindre question, puisqu’il était hors de question que je le présente à Kyllian. Il ne m’aimait pas, je ne l’aimais pas, et le moins qu’on puisse dire, c’est que nos rapports père/fille étaient pour le moins tendus… Son point de vue sur ma vie n’avait aucune espèce d’importance. J’aimais Kyllian, et pour moi, c’était tout ce qui importait… Pour lui, c’était probablement différent cependant. Kyllian repris la parole, me sortant de mes pensées qui m’avaient, je dois le reconnaître, collé une boule au ventre.

    KYLLIAN : « Et si un jour il m’arriver de faire ça … »

    Je fermais les yeux au moment où il déposa un baiser, avec tendresse, sur mes lèvres, baiser que je lui rendis, cela ne surprendra personne. Il poursuivi sa phrase après avoir séparé ses lèvres des miennes, son visage cependant près du mien.

    KYLLIAN : « … En public, tu m’en voudras ? Parce que je ne pense pas pouvoir tenir bien longtemps à ce qu’on se cache, mais je ne veux pas que ça te déplaise si jamais, un jour, on rend notre relation officiel. »

    Lui en vouloir de quoi ? Lui en vouloir d’avoir envie de m’embrasser en public, et pas seulement à l’abri des photographes ? Cela reviendrais à lui en vouloir d’être amoureux de moi, et de vouloir que ça se sache ! Alors comment lui en voudrais-je ? De toute façon, là, avec son regard rivé dans le mien, et son odeur qui m’enivrais totalement, je ne voyais pas la moindre chose qui pourrait faire qu’un jour, je lui en veuille… J’avais la chance que le garçon que j’aimais – tellement que s’en était effrayant, d’un sens, peut être parce que c’était nouveau pour moi une garçon formidable, attentionné, tendre, et, de surcroît, talentueux, qui avait écrit une chanson superbe rien que pour moi, ce qui ne gâchais rien, m’aime ne retour. Alors comment lui en vouloir alors qu’il était tout ce que je voulais ? Je ne voyais aucune réponse à cette question, ce qui m’arrangeait plutôt. Et ce même si je finissais en première page des magazines people, main dans la main avec Kyllian. Après tout, il valait mieux que ça soit pour cette raison plutôt qu’une comme les habituels Paris Hilton ou Lindsey Lohan , qui multiplient les frasques en tous genres, du moment que ça dégrade un peu d’avantage leur réputation. Je souris à Kyllian tandis que je répondis à sa question.

    « Si sortir avec toi veux dire faire temporairement la une des journaux, et supporter tes fans jalouses et hystériques en colère, je crois que je pourrais supporter ça. Après tout, c’est de ma faute, je n’avais qu’à pas tomber amoureuse d’une Rock star ! » Plaisantai-je. « Mais j’assume ça. La seule chose que je veux, c’est qu’Alex l’apprenne par moi, et pas par la presse. Parce que je dois reconnaître que si je dois faire attention à ne pas t’embrasser, ou prendre ta main en public, je vais vite tourner folle. »

    Si vous rajoutez le fait que les paparazzi ont le don d’être partout, il nous serait bien difficile de garder un secret ! Et si je pesais le pour et le contre, d’un côté les jalouses, les photos, les paparazzi, face au fait de pouvoir être avec Kyllian où et quand bon me semblait, je voyais immédiatement de quel côté la balance penchait.

    Kyllian se leva au moment ou nous entendîmes l’eau des pâtes qui bouillait dans la cuisine. Il s’éclipsa donc à la cuisine, et je restais la, assise dans le canapé. Me faire servir n’était pas vraiment dans mon habitude, j’étais plus habituée à me débrouiller toute seule, et ça me mettait assez mal à l’aise de rester là pendant que Kyllian était à la cuisine. Décidément, aujourd’hui était une journée bien différente des pour moi. Je ne dirais pas le changement était désagréable cependant.

    KYLLIAN : « Tu veux quoi avec tes pâtes ? Gruyères, sauces tomates, ketchup ? »

    « Gruyère, s’il te plait. » Répondis-je.

    J’adorais le fromage, aussi, je ne vous lavais pas encore dit ? C’est normal, car c’est un détail sans importance ! Je me levais, n’aimant pas rester là pendant qu’il s’affairait à la cuisine, et allait donc le rejoindre. Comme je l’ai dis, me faire servir n’était pas dans mes habitudes, il fallait que je trouve un moyen de me rendre utile.

    « Besoin d’un coup de main ? » Demandai-je en entrant dans la cuisine, avisant Kyllian un paquet de gruyère râpé à la main, deux assiettes de pâtes devant lui.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeJeu 16 Avr - 23:37

    Il est vrai que ma rupture n’avait pas été facile. Ni pour Alex ni pour moi. Les premiers mois suivant notre rupture avait été très difficile et il fallait bien avouer qu’elle me détestait. Prenait la chanson ‘7 Things’ elle l’avait écrite après notre rupture et elle parlé de moi. Mais au bout de quelques mois, une fois bien remis de cela, je l’avais appelé pour discuter. On avait énormément parlé et on avait réussit à rester amis. Depuis nos relations c’étaient beaucoup améliorer et on était meilleurs amis. Alex comptait toujours énormément pour moi mais maintenant différemment d’avant. Puis il y avait Kaylight maintenant. Elle m’avait fait ressentir ce que j’ai jamais ressentit pour une fille et je serrais prêt à tout pour elle. C’est vrai que sortir avec la meilleure amie de mon ex qui est aussi ma meilleure amie faisait bizarre mais j’espère qu’Alex allait l’accepter.

    Puis la conversation changea un peu de sujet et je dis à Kaylight que j’étais sur que ma famille allait l’aimé. Ma mère était adorable mon frère, Nate me ressemblait beaucoup donc j’étais sur qu’il s’entendra bien. Puis maintenant c’est lui qui aimait Alex et c’était réciproque. Enfin bref j’étais sur qu’elle allait être aimé dans ma famille mais apparemment elle n’en était pas vraiment sur.

    KAYLIGHT : « Et si ils ne m’aimaient pas justement ? Je te rappelle que je n’ai pas vraiment le don d’être aimée de tout le monde. »

    Je ris légèrement elle me faisait rire, on dirait qu’elle avait peur que je l’a demande en mariage parce que je l’a présente à ma famille. Certes je pensais au mariage mais pour dans quelques années, et pourquoi pas avec Kaylight. Houlà arrête de rêver vieux ! Je regardai Kaylight et pris la parole en prenant sa main dans la mienne.

    « Arrête de te faire du souci je suis que tout le monde va t’aimer. Tu es une fille superbe je ne vois pas de raison qu’il t’aime pas ! Et puis si t’es pas aimé de tout le monde c’est juste que personne te connais vraiment ! Parce que Alex et moi on te connaît et franchement … tu vaux le coup ! »

    Kaylight allait encore surement rougir comme une tomate mais tout ce que j’avais dis je le pensais vraiment. Certes au lycée elle n’avait pas l’air très aimé, enfin elle ne l’était pas mais c’est parce que les Means Girls ce faisait un plaisir de l’humilier et donc personne ne voulait parler avec elle. Mais je suis sur qu’un jour ca changerais, c’était une fille unique. J’étais sur qu’elle ne me décevrait jamais ! Je savais que de mon coté je ne rencontrerais jamais la famille de Kaylight parce qu’elle s’entendait mal avec son père.

    Puis je changeai de sujet et parla de ce que l’on devait faire dans le plan ‘anti-paparazzis, fan hystérique et photographe’. Je lui avais ensuite expliqué en quelques mots quelque chose glissant un baiser au milieu. Elle avait prolongé en passant ses bras autour de mon cou.

    KAYLIGHT : « Si sortir avec toi veux dire faire temporairement la une des journaux, et supporter tes fans jalouses et hystériques en colère, je crois que je pourrais supporter ça. Après tout, c’est de ma faute, je n’avais qu’à pas tomber amoureuse d’une Rock star ! Mais j’assume ça. La seule chose que je veux, c’est qu’Alex l’apprenne par moi, et pas par la presse. Parce que je dois reconnaître que si je dois faire attention à ne pas t’embrasser, ou prendre ta main en public, je vais vite tourner folle. »

    Ah ! Je n’étais pas le seul à me demander comment allait réagir Alex enfin Kaylight avait plutôt suggérer de lui annoncer plutôt qu’elle le découvre dans les magazines. J’étais tout à fait d’accord.

    « Je pense que c’est mieux qu’elle l’apprenne par un de nous deux que par la UNE des journaux c’est sur ! »

    Je me levai et me dirigea vers la cuisine afin de faire cuire les pates, effectivement mon estomac criait famine depuis quelques longues minutes. Ce qui n’était pas vraiment très … romantique. Je mis donc les pates à chauffer et une fois cuites les répartissent dans les assiettes.

    KAYLIGHT : « Gruyère, s’il te plait. »

    Je sortis le paquet de gruyère et j’avais à peine commencé à l’ouvrir que Kaylight débarqua dans la cuisine. Je lui fis un grand sourire.

    KAYLIGHT : « Besoin d’un coup de main ? »

    Je mettais à ce moment là, le gruyère sur les pates. En fait je n’avais pas vraiment besoin d’aide. Mais sortant les couvert et les mettant dans l’assiette je souris et m’assis sur un tabouret du bar de la cuisine et repris la parole.

    « Non c’est prêt ! Vous êtes servis mademoiselle Masen ! »

    Je lui tirai la tabouret à coté de moi pour qu’elle puisse s’asseoir. Je n’étais pas un pro de la cuisine mais je savais au moins faire des pates c’était déjà pas mal ! Je jeta un coup d’œil à Kaylight, lui faisant un grand sourire qui venait du cœur ^^.

    « J’espère que c’est pas trop mauvais ?! Je suis un piètre cuisinier à coté de ma mère ! »
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeVen 17 Avr - 1:54

    Et voila que j’étais passée en mode flippée… je sais, il ne me faut pas grand-chose, mais bon, vous savez ce que c’est vous, la manque de confiance en soi ? A force de n’être pas appréciée, je commençais à avoir l’habitude, de toute façon, le seul truc, c’est que à force on fini par penser comme Caliméro : « personne ne m’aime, c’est trop injuste. ». M’enfin, ne pas être aimée par certaines personnes dont je ne me souciais pas, ça m’était plus qu’égal, mais si les parents de Kyllian ne m’aimaient pas, je serais bien embêtée… Et dans mon grand optimisme naturel, il fallait bien sûr, que je pense au pire. Pour me faire penser au meilleur, cependant, je pouvais compter sur Kyllian.

    KYLLIAN : « Arrête de te faire du souci je suis que tout le monde va t’aimer. Tu es une fille superbe je ne vois pas de raison qu’il t’aime pas ! Et puis si t’es pas aimé de tout le monde c’est juste que personne te connais vraiment ! Parce que Alex et moi on te connaît et franchement … tu vaux le coup ! »

    Et voila, c’était reparti pour un tour, pourquoi je rougi au moindre compliment ? Le plus embarrassant n’était en effet peut être pas le compliment en lui-même – bien que ça me gène, puisque je n’y suis pas particulièrement habituée – mais le fait de rougir automatiquement dès que Kyllian avait le malheur de faire n’importe quel compliment. Ma gène me fit momentanément oublier mes inquiétudes, puisque j’essayais de retrouver une couleur normale, ce qui n’était pas chose facile.

    « Ca t’amuse de me faire rougir tout le temps ? » Demandai-je d’un ton faussement boudeur, en baissant le regard.

    Pfiou, on respire, un, deux, inspirez, expirez… Qu’est ce que j’avais chaud ! Personnellement, je voyais des tas de raisons que ses parents ne m’aiment pas, vu l’estime de moi très haute que j’avais, ce n’était pas difficile à trouver. Vous voulez quelques exemples ? Eh bien il était clair que Kyllian était trop bien pour moi ! Je n’étais pas une fille de famille très respectable – d’où l’intérêt que personne ne fasse la connaissance de mon père – je ne me trouvais pas particulièrement jolie, pas particulièrement talentueuse… A mes yeux, Kyllian était un mec vraiment spécial, il avait le petit quelque chose qui le différenciait des autres, et rien à voir avec sa célébrité, et moi j’étais juste banale, rien de plus. J’avais du mal a me qualifier d’autre chose que ça : ridiculement banale. Et Pessimiste, par dessus le marché, temps qu’on est dans l’auto dénigrement, allons y a fond !

    M’enfin, arrêtons nous là, et changeons de sujet, car Kyllian et moi avions abordé le sujet de l’officialisation – devant le monde entier, vous ne ferez pas plus officiel – de notre relation. De toute évidence, nous étions d’accord sur nos priorités cependant.

    KYLLIAN : « Je pense que c’est mieux qu’elle l’apprenne par un de nous deux que par la UNE des journaux c’est sur ! »

    Nous étions donc d’accord. Alex devait l’apprendre par Kyllian, ou bien par moi. En même temps, elle était notre meilleure amie à tous les deux, alors il était normal que nous le lui disions avant de nous balader main dans la main au beau milieu de la rue, ou nous embrasser au beau milieu du lycée. En plus, son statut d’ex de Kyllian ne faisait que renforcer le fait qu’elle doive savoir avant les autres. J’espérais seulement qu’elle le prendrait bien.

    « J’espère qu’elle ne le prendra pas mal quand même. »

    Elle serait parfaitement en droit de le prendre mal non ? Personnellement je trouvais que oui, j’espérais seulement qu’elle était suffisamment passée à autre chose pour accepter la situation. Dans le cas contraire, je ne sais pas vraiment ce que moi-même je ferais, car je ne voulais perdre ni Alex, ni Kyllian.

    Kyllian avait ensuite filé à la cuisine, m’abandonnant au salon toute seule avec sa guitare – pas très bavard comme compagnie – et donc, comme je me sentais légèrement seule, et que je n’aimais pas particulièrement rester à rien faire, j’avais fini par le rejoindre à la cuisine, ou il était en train de répartir du gruyère dans deux assiettes de pâtes. Je lui demandais si il avait besoin d’aide, mais de toute évidence, non, il gérait très bien tout seul !

    KYLLIAN : « Non c’est prêt ! Vous êtes servis mademoiselle Masen ! »

    Il avait posé les deux assiettes sur le comptoir de la cuisine, et tira un tabouret de bar en plus, tandis qu’il s‘asseyait. Je le rejoignis, et me perchait à mon tour sur le tabouret auprès du sien.

    « Merci monsieur le cuisto. » plaisantai-je.

    KYLLIAN : « J’espère que c’est pas trop mauvais ?! Je suis un piètre cuisinier à coté de ma mère ! »

    Je lui fis signe d’attendre et attrapait des pâtes avec ma fourchette – je suis une experte des pâtes – que j’apportais à ma bouche. Ben il n’était pas si nul, elles étaient bonnes ces pâtes. En même temps, celui qui arrive à rater des pâtes n’est vraiment pas doué de la cuisine

    « Verdict : même si tu dit que t’es un piètre cuisinier, tu sais faire des pâtes. Comme quoi, t’es pas un cas désespéré ! » Le charriais-je.

    Nous commençâmes donc à déjeuner, de cette manière, l’estomac de Kyllian ne nous rappellerais plus à l’ordre, ce qui ne serait pas plus mal. Un coup d’œil à la pendule de la cuisine m’indiqua qu’il était midi… Le temps passait, et on approchait de plus en plus du moment ou nous devrions retourner au lycée…

    « J’ai pas envie de retourner au lycée. » Avouai-je à Kyllian entre deux bouchées de pâtes.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeDim 19 Avr - 17:59

    Je n’avais jamais eu confiance en moi enfin quand j’étais petit. Depuis que j’étais célébre et que je savais que les chansons que mes frères et moi composions parlé à beaucoup de personne j’avais beaucoup gagné en confiance en moi et je me sentais mieux dans ma peau. Certes je n’avais pas encore totalement confiance en moi mais c’était normal sinon j’aurais surement pris la grosse téte depuis longtemps. De toutes facon je pouvais compter sur mes parents, mes frères et maintenant Kaylight pour m’aider à garder les pieds sur terre.

    D’ailleurs le sujet était porté sur ma famille. Kaylight avait peur que ma famille ne l’aime pas alors que j’étais persuadé sur contraire alors bien sur je l’avais complimenté et elle avait rougit devenant de la couleur du ketchup. Je laissa échapper un petit rire, elle était tellement belle et quand elle rougissait elle était horriblement craquante.

    KAYLIGHT : « Ca t’amuse de me faire rougir tout le temps ? »

    Je pensais plutot que c’est elle qui était trop bien pour moi. Certes elle n’avait pas une famille très uni mais pour moi elle faisait partit de la famille à présent. Je lui souris déposa un légé baiser sur ses lèvres douces avant de reprendre la parole.

    « Je crois bien que je le fais exprès ! J’aime bien te faire rougir t’es terriblement craquante ! »

    A croire que je le faisais vraiment exprès parce qu’elle allait surement rougir une nouvelle fois. Puis le sujet changea et cela partit sur la facon dont allé réagir Alex. Je savais que ce n’était pas facile d’oublier quelqu’un avec qui on était résté un an, moi méme j’avais eu du mal à oublier Alex jusqu’à ce que je rencontre Kaylight. Mais j’éspérais vraiment qu’Alex ne réagirait pas mal car je ne tenais ni à perdre Kaylight ni Alex. Elle comptait toutes les deux beaucoup pour moi.

    KAYLIGHT : « J’espère qu’elle ne le prendra pas mal quand même. »

    « Ouais j’éspére aussi ! Mais je ne vois pas pourquoi elle le prendrais mal. Elle a Nate maintenant enfin disons plutot qu’il n’y a pas de raison qu’elle nous en veuille ou qu’elle le prenne mal ! »

    A moins qu’elle m’aime encore mais ca je savais que c’était faux vu qu’elle aimait Nate. J’avais ensuite filé vers la cuisine préparant mes superbe pates. Enfin plutot les pates que tout le monde savait faire^^.

    KAYLIGHT : « Merci monsieur le cuisto. »

    « Mais de rien belle demoiselle. »

    Je m’assis sur un tabouret tirant doucement un autre tabouret pour Kaylight. Eh oui je suis galant, enfin j’ai était élevé comme ca donc je continu à le faire.

    KAYLIGHT : « Verdict : même si tu dit que t’es un piètre cuisinier, tu sais faire des pâtes. Comme quoi, t’es pas un cas désespéré ! »

    « MMh … merchi du compliment ! » Répondis je, alors que je venais de mettre une fourchette de pates en bouche.

    Moi qui mourrai de faim ca faisait du bien par ou ca passe^^. Je regardais l’heure, il était midi déjà. Il ne nous résté pas beaucoup de temps avant de rentrer au lycée.

    KAYLIGHT : « J’ai pas envie de retourner au lycée. »

    Ca elle n’avait pas tord, j’aurais préféré largement résté ici avec Kaylight ou alors allez me promener dans le parc, mais nous avions cours et si on loupé j’allais surement le regretter à cause de ma mère.

    « Moi non plus crois moi, mais on est obligé ! »
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeDim 19 Avr - 21:13

    Ce qu’il fait chaud quand on rougit ! Ca ne vous fait jamais ça à vous ? Kyllian prenait vraiment un malin plaisir à me faire rougir, il fallait croire, car depuis le moment ou il m’avait rejointe dans la cour du lycée, virant au passage cette peste d’Ashley – qui est d’ailleurs la petite amie de Jake, le frère de Kyllian – et ses deux toutou, il n’arrêtais pas de dire des tas de choses qui me faisaient inévitablement rougir. Les compliments, on ne peut pas dire que j’en ai vraiment été gâtée au cours de mon existence, vraiment pas ! Cela expliquais pourquoi à la moindre ébauche de compliment – surtout venant de Kyllian d’ailleurs – mon visage prenait une couleur semblable à celle d’une tomate. Kyllian déposa un léger baiser sur mes lèvres, avant de me répondre.

    KYLLIAN : « Je crois bien que je le fais exprès ! J’aime bien te faire rougir t’es terriblement craquante ! »

    Bon, c’était donc officiel : il le faisait exprès ! Et ça avait l’air de l’amuser pas mal d’ailleurs, vu la manière dont il me regardais. Surtout qu’à ses paroles, mes joues se colorèrent encore un peu d’avantage de rouge. Il n’avait cependant pas l’air amusé ET moqueur qu’avaient Ashley et les autres filles dans son genre au lycée lorsqu’ils se foutaient de moi. Il n’était pas moqueur, juste amusé, et apparemment, me taquiner lui plaisait bien… Je me vengerais un jour, croyez moi.

    Changeons de sujet, et passons donc à un légèrement plus inquiétant pour moi : Alex ! Comment prendrait-elle le fait que je sorte avec son ex-petit ami ? Parce que bien sur, elle était au courant que j’avais un faible pour lui, mais voila, ce n’était pas la même chose de savoir que je craquais pour lui, ou que je sortais carrément avec lui !

    KYLLIAN : « Ouais j’espère aussi ! Mais je ne vois pas pourquoi elle le prendrait mal. Elle à Nate maintenant enfin disons plutôt qu’il n’y a pas de raison qu’elle nous en veuille où qu’elle le prenne mal ! »

    « Parce que je suis sa meilleure amie et que tu es son ex… Ca suffit comme raisons je suppose. » Dis-je avec un haussement d’épaules.

    Et Kyllian était en plus le premier amour d’Alex – le mien aussi, en fait – et le premier amour, comme on dit bien souvent, ça ne s’oublie pas. Voila pourquoi je m’inquiétais tant de la réaction d’Alex, Kyllian n’avait pas été un petit ami parmi tant d’autres, il n’y avait eu que lui, même si aujourd’hui, elle était amoureuse de Nate. Et comme Alex est al dernière personne que je souhaite blesser, eh bien je m’inquiétais. Si ce n’était pas le cas, d’un sens, je ne serais pas une amie correcte je pense.

    Nous étions donc à présent à la cuisine, assis au comptoir l’un à côté de l’autre, et j’avais remercié Kyllian – politesse oblige – lorsqu’il m’avait servi, tirant un tabouret pour moi près de lui. Un vrai gentleman dites donc !

    KYLLIAN : « Mais de rien belle demoiselle. »

    *On ne rougit pas* M’ordonnai-je en silence. Pour donner le change, je répondis.

    « T’es pas mal non plus dans ton genre. » Dis-je en lui adressant un regard en coin. Et miracle, je n’avais pas rougis !

    J’avais donc ensuite félicité Kyllian pour ses talents culinaires, je le nomme officiellement roi des pâtes au fromage. Lorsque je le félicitais, Kyllian parla une fois de plus al bouche pleine, et je du me retenir d’éclater de rire, mettant une main devant ma bouche, au cas ou : envoyer voler des pâtes un peu partout, ce n’était pas vraiment très class !

    KYLLIAN : « MMh … merchi du compliment ! »

    J’avalais les pâtes que j’avais dans la bouche, m’autorisant finalement a rire. Décidemment, il avait autant le don de me faire rougir que rire, et c’était loin d’être un défaut bien au contraire ! J’appréciais d’autant plus les gens lorsqu’ils avaient de l’humour. M’enfin, toujours est-il que ça faisait du bien de manger, mon petit déjeuner rapide de ce matin était parti bien loin ! Tout en mangeant, j’avais avoué à Kyllian que je n’avais guère envie de retourner au lycée. J’étais tellement bien avec lui que je ne souhaitais nullement m’en séparer, et puis, étant donné qu’il avait un an de plus que moi, nous ne partagions pas les même cours, et je savais que je serais bien incapable de me concentrer sur un cours cet après midi, aussi passionnant soit-il. Mon esprit serait trop occupé « ailleurs » dirons nous. Je ne suis pourtant pas un cancre en cours, au contraire, hormis les maths la physique, et la géo, qui étaient mes bêtes noires aller en cours ne me dérangeais généralement pas. Là, c’était un cas exceptionnel !

    KYLLIAN : « Moi non plus crois moi, mais on est obligé ! »

    Oui, je savais que nous étions obligés d’aller en cours – c’était justement là qu’étais le problème. J’avais déjà séché la Géo, si en plus je n’allais pas en cours cet après midi, ce serait la fin des haricots. Et puis, mes études étaient importantes pour moi, c’était tout ce que j’avais pour pouvoir m’en sortir. Si j’étais une élève sérieusement sans problèmes dans mes études, c’était pour cette raison, car de mon côté, je n’avais personne qui reprocherait quoi que ce soit si je séchais les cours. Certains en profiteraient pour ne rien faire, mais pas moi.

    « Ouais, je sais. J’ai déjà séché la géo, ça suffit pour aujourd’hui… D’ailleurs, il faut que j’improvise une excuse valable pour ça, car je ne pense pas que un ‘j’étais partie chez Kyllian, et devinez quoi ? On va pas tarder à avoir notre place en première page des journaux, trop top –’ leur convienne. » Dis-je d’une voix boudeuse.

    Précision : ce n’était pas la raison pour laquelle je risquais d’avoir bientôt une place de choix en une des journaux people qui me rendais boudeuse, ni même le fait de faire la UNE – ma vie ne se résumait pas à ça – c’était de devoir improviser une excuse bidon, alors que je déteste mentir. M’enfin, je pourrais bien faire un effort, pour une fois. C’était pour la bonne cause.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeMer 22 Avr - 15:57

    J’adorais littéralement voir ses joues se rougir. Je prenais d’ailleurs un malin plaisir à la faire rougir. Elle était tellement craquante à mes yeux elle était parfaite. Peut être qu’elle n’étais pas riche, je m’en fichais bien, peut être que tout le monde ne l’a trouvais pas belle mais moi je l’a trouvais magnifique et si gentille, et puis maintenant elle était mienne, pour toujours, enfin tant qu’elle voudra de moi aussi. J’adorais taquiner les gens mais quand c’était Kaylight je prenais encore plus plaisir. Sans en faire trop non plus pour ne pas la blesser. Comme dit le dicton « les lus courte son toujours les meilleures ».

    Le sujet repartit sur Alex. Je l’avais vu dernièrement en colle et elle m’avait assuré qu’elle ne m’en voudrait pas mais bon on ne sait jamais. Eh puis qui sait peut être ne m’avait elle pas complètement oublié. * Arrête de te faire des idée mec ! * Moi aussi j’ai des voix qui parla dans ma tête ce qui n’est pas toujours superbe d’ailleurs.

    KAYLIGHT : « Parce que je suis sa meilleure amie et que tu es son ex… Ca suffit comme raisons je suppose. »

    Il est vrai que quand je lui avais demandé, à Alex, si un jour je sortais avec Kaylight, si cela ne l’a dérangerait pas. Elle m’avait répondu qu’elle ne m’en voudrais pas et que de toute façon elle aimait mon frère. Certes le premier amour ne s’oublier pas comme ca, mais cela faisait quand même un an qu’Alex et moi n’étions plus ensemble. J’avais réussit à l’oublier même si les premiers temps cela n’avait pas été facile. Maintenant elle était plus comme une sœur pour moi. Je tenais toujours beaucoup à elle mais c’est Kaylight que j’aimais, avec qui je voulais être et personne d’autre.

    « Je suppose mais je ne pense pas qu’elle nous en voudra mais … je … si jamais elle nous en veux, on fera quoi ? Je ne veux ni te perdre toi ni perdre Alex ! »

    Toutes les deux comptait énormément pour moi et je ne voudrais et ne pourrais jamais choisir entre toutes les deux. Je les aimaient toutes les deux certes pas de la même façon, Alex comme une petite sœur ou encore ma future belle sœur et Kay’ … elle était celle qui occupé mon cœur, elle était ma moitié.

    On venait de s’asseoir au comptoir et je commença à manger mes pâtes. Ca faisait du bien de manger ^^. Mais en même temps cela voulais dire qu’on ne devrait pas tarder à retourner au lycée. Je savais aussi que Kay’ et moi n’étions pas dans la même classe, elle avait un an de moins que moi et puis du coup on ne se verrais sûrement pas très souvent dans les jours qui venaient. Elle m’avait remercié lorsque je lui avais tiré lui tabouret et donné l’assiette. J’en avais bien évidemment profité pour essayé de la faire rougir une nouvelle fois mais cette fois ci ca ne marcha pas.

    KAYLIGHT : « T’es pas mal non plus dans ton genre. »

    Tiens prends ca ! Je l’avais bien chercher celle là. Plutôt pas mal ?! O_O’ Dans le genre tu me cherche tu me trouve c’était plutot bien réussit. Je fit semblant de prendre un air supérieur gonflant mon torse et reprit la parole.

    « Plutôt pas mal ? Tu rigole bogoss ouais ! Et indispensable ! »

    J’essaya de rester sérieux mais finit par exploser de rire. Je n’était pas du tout comme ca. D’ailleurs je détestais les gens comme ca. Je détestais me vanter, c’était une chose que je faisais pour rire. Kaylight enchaîna en disant que mes pâtes était bonne. Je l’a remercia bien évidemment du compliment avant d’avaler ce que j’avais en bouche manquant de m’étouffer et ma tournant vers elle je repris parole.

    « Maintenant je serais le roi des pâtes et je te nomme reine du gruyère ! »

    Quand je fis que des fois je suis vraiment grave je crois que la je suis presque au maximum. Je vous jure, elle va me prendre pour un fou maintenant. Bizarrement en quelques heures j’avais l’impression de connaître Kaylight depuis toujours, on c’était beaucoup rapproché et je trouvé cela vraiment cool, d’ailleurs elle comptait énormément pour moi. Enfin on ne va pas repartir sur ce sujet là parce que sinon on est pas sortit de l’auberge !

    On reparla des cours, je savais que j’avais très envie de sécher en restant avec Kaylight mais si ma mère l’apprenait j’allais sûrement avoir le droit à un savon de la part de ma mère. Du genre : « Depuis quand est ce que sèche les cours ?! Les seuls semaines ou tu es au lycée tu trouve le moyen de sécher ! Tu me déçoit Kyllian Nate Connors ! » Ma mère, mon père et mes frères avaient pour habitude de m’appeler par mon nom complet quand ils n’étaient pas content, enfin je faisais pareil avec eux. Bref voilà à quoi j’aurais le droit si je ne suivais pas les cours cette après-midi. J’y irais en cours ! Même si je savais que mes pensées serait sûrement ailleurs et mon stylo sûrement en train d’écrire des paroles plutôt que de prendre des notes de cours.

    KAYLIGHT : « Ouais, je sais. J’ai déjà séché la géo, ça suffit pour aujourd’hui… D’ailleurs, il faut que j’improvise une excuse valable pour ça, car je ne pense pas que un ‘j’étais partie chez Kyllian, et devinez quoi ? On va pas tarder à avoir notre place en première page des journaux, trop top –’ leur convienne. »

    C’est vrai que pour les excuse je n’étais pas non le meilleur en général quand j’étais le chouchou des profs sa passait sans aucune explications mais quand c’était un qui me détestait c’était tout de suite 2 heures de colle. D’ailleurs cela faisait à peine deux jours que j’étais de retour au lycée et j’avais déjà été collé une fois. Bref la n’est pas le sujet. Je regarda Kaylight finissant mes pâtes et essayant de trouver une excuse.

    « Je suis nul pour trouver des excuse ! Enfin si, t’as qu’à dire que tu t’es coincé une pâte dans le nez et que j’ai du t’amener à l’hôpital pour la décoincé ! »

    J’éclata une nouvelle fois de rire. Des fois je me demande comment mes frères, mes parents, Alex ou Kaylight arrive à mes supporter. Je me calma la main sur mon ventre et la regarda avant de reprendre la parole.

    « Non sérieusement je sais pas. Désolé ! »
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeVen 24 Avr - 22:28

    KYLLIAN : « Je suppose mais je ne pense pas qu’elle nous en voudra mais … je … si jamais elle nous en veux, on fera quoi ? Je ne veux ni te perdre toi ni perdre Alex ! »

    La était la grande question : On ferait quoi ? Car tout comme Kyllian, je ne tenais ni à perdre Alex, qui avait toujours été là pour moi, depuis le jour même de notre rencontre, ni perdre Kyllian, que j’aimais profondément. Je les aimais tous les deux de manière différentes bien entendu, je ne suis, pas amoureuse d’Alex, non non, ça, je réserve ça à Kyllian. Cependant, J’aimais Alex, elle était comme ma sœur, et je lui devais tant de choses ! Sans elle, je ne sais même pas où j’en serais aujourd’hui ! Depuis la maternelle, alors que nous avions toutes les deux 5ans, elle était comme une sœur pour moi, la seule vraie famille que je n’ai jamais eue, celle que je m’étais choisie. Et Kyllian était le premier garçon dont j’étais tombée amoureuse, et par miracle, il était amoureux réciproquement, de moi. Je ne tenais donc pas à le perdre, à devoir renoncer aux émotions que je ressentais en sa présence, si puissante et agréables à la fois. C’était avec lui que je rêvais de passer tout mon temps, lui dans les bras duquel je voulais pouvoir me blottir à tous moment, juste parce que j’en ai envie, ses lèvres dont je voulais pouvoir quotidiennement le contact, avec lui que je voulais pouvoir passer des heures à parler, à rire, ou l’écouter simplement jouer un morceau de guitare, rien que pour moi, sans toutes les fans hystériques, sans le poids de la célérité, seulement seuls, tous les deux. Dilemme donc. J’étais bien incapable de choisir.

    « Aucune idée. On avisera en temps voulu. En tout cas, une chose est sûre, c’est que moi non plus je ne veux perdre ni elle, ni toi. »

    Assis au comptoir de la cuisine, nous mangions donc les pâtes préparées par notre chef cuisinier officiel, j’ai nommé Kyllian. Mine de rien, il est polyvalent comme gars vous ne trouvez pas ? Cuisine, musique, comique, aussi, à ses heures, et puis, je dois avouer… Il embrasse plutôt vraiment bien ! Même si étant mon premier et unique petit ami, je n’avais personne avec qui comparer, je n’en avais pas besoin. Je manquais personnellement un peu d’expérience en la matière. Bon, d’accord, un peu beaucoup !

    En tout cas, cette fois, j’avais réussi à ne pas rougir lorsque Kyllian m’avais fait un compliment. A la place, j’avais mis à profit mon sens de la répartie, lui disant qu’il n’était pas mal non plus, et a sa réponse, je ne pu qu’éclater de rire.

    KYLLIAN : « Plutôt pas mal ? Tu rigoles bogoss ouais ! Et indispensable ! »

    Il avait dit cela avec un air supérieur, que je savais qui était, bien entendu, feint. Je ne l’avais jamais vu se vanter sérieusement, et d’ailleurs, il éclata de rire, après avoir tenté, sans succès de toute évidence, de garder son sérieux.

    « J’avoue, beau gosse, c’est vrai. Indispensable, encore plus. pour moi tout au moins. » Répondis-je en déposant un baiser sur ses lèvres.

    KYLLIAN : « Maintenant je serais le roi des pâtes et je te nomme reine du gruyère ! »

    Okay, la il débloquait complètement ! J’éclatais à nouveau de rire, son humour était bien loin de me déplaire. Si vous croyez que je n’aime pas rire, c’est que vous n’avez jamais vu nos soirées pyjama avec Alex ! Je vous promets que ça vaut le coup d’œil ! Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’une comme l’autre, nous ne sommes pas vraiment en reste pour ce qui est des conneries. Ne vous étonnez donc pas si on pars un jour en fou rire pour un truc banal, ce sont en quelque sorte nos « inside jokes » personnels ! J’étais donc devenue officiellement reine du gruyère… Il pouvait me nommer reine d’à peu près n’importe quoi, du moment qu’il était on roi, ça m’allait très bien.

    « Du moment que tu es mon roi, ça me convient, votre altesse ! » Répondis-je en riant.

    Plus nous parlions, tout en mangeant le contenu de nos assiettes, et plus le temps passait, nous rapprochant du retour au lycée, que je n’avais jamais si peu voulu voir venir ! Surtout que dégoter une excuse pour mon « absence » du matin était un tour de maître pour moi. Je suis une piètre menteuse, car tout simplement, je déteste la malhonnêteté. Mais bon, il faut ce qu’il faut, et si je disais la vérité, j’étais bonne pour être collée… Et je n’étais pas vraiment une grande habituée de la salle de colle – les prof m’aimaient plutôt bien – et je ne tenais pas vraiment à le devenir.

    KYLLIAN : « Je suis nul pour trouver des excuse ! Enfin si, t’as qu’à dire que tu t’es coincé une pâte dans le nez et que j’ai du t’amener à l’hôpital pour la décoincé ! »

    Là, il en tenait quand même une couche, il fallait le reconnaître. J’éclatai de rire pour la énième fois, je ne pense pas vraiment que ce soit une excuse très… valable… je trouverais mieux. Un petit coup d’improvisation sur le moment, c’était toujours comme ça de toute façon. Oh, tiens, d’ailleurs, voila une idée.

    KYLLIAN : « Non sérieusement je sais pas. Désolé ! »

    « Je ne pense pas vraiment qu’il apprécieraient cette excuse. En plus, je serais incapable de la sortir sans éclater de rire. Mais pour ce matin, mon cours de géo, j’ai ma petite idée. Je me sentais tout simplement mal, et tu m’as raccompagnée chez moi en voiture, comme tu avais fini. Ca devrait passer je pense… »

    J’étais loin de me sentir mal, par contre, en ce moment même. C’était tout à fait le contraire, je ne m’étais jamais sentie aussi bien. Je n’étais pas gênée, je n’étais pas stressée de quoi que ce soit, j’étais heureuse comme jamais… Ce serait donc bel et bien un mensonge, bah, tant pis hein !

    Ayant fini mon assiette, je reposais mes couverts dans mon assiette, m’accoudant légèrement au comptoir pour regarder Kyllian, après avoir jeté un rapide coup d’œil à la pendule… Nous devrions bientôt partir, c’était presque déprimant ! Regardant donc Kyllian, qui terminait de manger, je partis dans mes pensées. Elles étaient bien entendu, dirigées vers Kyllian. Encore une fois, je me posais les questions que je n’arrêtais pas de me poser, sans y trouver de réponses : pourquoi m’aimait-il moi, quand des filles bien mieux n’attendaient que lui ? Mais je me disais aussi que, même si je ne comprenais pas pourquoi il m’aimait, j’avais de la chance. J’avais la chance d’avoir un garçon talentueux, mais surtout gentil, doux, tendre, drôle, simple, modeste, galant… Rien que pour moi. J’étais vraiment chanceuse, je m’en rendais compte, et pour une fois que la chance était de mon côté, je n’étais pas prête de la laisser tourner ! J’aimais vraiment Kyllian, je n’avais jamais eu de mal à le différencier de Nate, son jumeau, car à mes yeux, il était différent de lui, il avait quelque chose de spécial, dans son sourire, son regard… Quelque chose qui me faisait fondre comme neige au soleil, c’était dingue !

    Nouveau coup d’œil à la pendule, nouveau soupir. Pourquoi fallait-il que nous ayons cours ?! C’était injuste.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeSam 25 Avr - 20:57

    Apparemment je n’étais pas le seul à me demander ce qu’on aller devenir si Alex ne supportait pas le fait que Kaylight et moi sortions ensemble. De toute façon j’étais PRESQUE sur qu’elle n’allait rien en dire et qu’au contraire elle allait se réagir pour nous deux. Je disais presque parce que cela n’était pas sur à 100 %, mais de toute façon en attendant on allait quand même devoir resté très discret pendant quelques temps. Même si je savais que j’aurais sûrement du mal à me retenir de la prendre dans mes bras ou même de m’emparer de ses si jolies lèvres, qui me manquait déjà à peine je les avaient quitté. Toutes les deux comptaient bien trop pour moi pour que j’ai à choisir. Mais bon après tout Alex aimait Nate et je ne lui en voulait pas pour cela. C’est avec Kaylight que je rêvais de passer ma vie mais je ne voulais pas que cela crée des tentions entre Alex et elle ou Alex et moi.

    KAYLIGHT : « Aucune idée. On avisera en temps voulu. En tout cas, une chose est sûre, c’est que moi non plus je ne veux perdre ni elle, ni toi. »

    Kaylight n’avait pas tarder à se rendre compte de ma vrai nature à aimer faire le pitre tout le temps. Elle avait l’air d’aimer cela ce qui me rassuré bien. D’ailleurs elle n’avait pu se retenir de rire à ma réplique tout comme moi. Je n’avais pas pu garder mon sérieux et avait littéralement exploser de rire.

    Je n’étais pas du tout du genre vantard. Je disais souvent cela pour rire, je n’étais pas du genre à prendre la grosse tête et puis mes parents avaient été clair sur cela. Je pouvais toujours compter sur mes frères et mes amis pour ramener les pieds sur terre si jamais il m’arrivait de prendre la grosse tête.

    KAYLIGHT : « J’avoue, beau gosse, c’est vrai. Indispensable, encore plus. pour moi tout au moins. »

    Sur ces mots elle avait déposé ses lèvres sur les miennes. Je prolongea tendrement ce baiser avant de reprendre la parole. Je sortis une nouvelle conneries en disant qu’elle était à présent reine du gruyère et moi roi des pâtes. Je vous le dis quand je suis partit dans mes délires c’est pas prêt de s’arrêter. Souvent mes parents disent que je suis le plus mur du groupe mais des fois il m’arrivais de pouvoir retomber très bas et de délirer beaucoup.

    KAYLIGHT : « Du moment que tu es mon roi, ça me convient, votre altesse ! »

    Je souris à cette réplique, moi du moment qu’elle était ma reine moi aussi cela m’allait. Je ris légèrement puis repris la paroles.

    « Et moi du moment que tu es ma reine je peux être n’importe quel roi ! » Dis-je avant de déposer mes lèvres sur les siennes.

    Je l’embrassa tendrement, amoureusement en fermant les yeux et mettant ma main sur sa joue. Maintenant qu’elle était mienne je ne voulais jamais risquer de la perdre ou même de lui faire du mal. Je savais que dans les histoires d’amour on souffrait tout mes amis me disait : « amoureux, malheureux ». Mais je n’y croyais pas. Je ne ferais jamais souffrir Kaylight du moins volontairement.

    La discussion repris sur l’excuse qu’elle allait donné au prof de Géographie et bien, comme à mon habitude, je ne pu m’empêcher de dire une connerie. Avec mon histoire de pâtes coincé dans le nez mais ca le faisait moyen.

    KAYLIGHT : « Je ne pense pas vraiment qu’il apprécieraient cette excuse. En plus, je serais incapable de la sortir sans éclater de rire. Mais pour ce matin, mon cours de géo, j’ai ma petite idée. Je me sentais tout simplement mal, et tu m’as raccompagnée chez moi en voiture, comme tu avais fini. Ca devrait passer je pense… »

    « Ouais je pense que ca ira ! Tu sais tout a l’heure tu disais que j’allais en avoir marre de toi si tu venais trop souvent me voir mais je pense que c’est l’inverse. C’est toi qui en aura marre de moi sûrement assez rapidement. Je suis lourd avec blagues bidons. Mes frères me le disent tout le temps ! »

    Je sortais beaucoup de blagues de ce genre alors des fois ca devait être soûlant. Je souris et finis mon assiette de pâtes avant de me retourner à mon tour vers Kaylight et lui faire un grand sourire. Je pris son assiette l’empila avec la mienne et les mis dans le lave vaisselle avant de vider ma canette de Ice Tea et de me rasseoir à coté de ma petite amie. Je n’arrivais toujours pas croire qu’on était enfin ensemble, que je pouvais l’embrasser quand je voulais enfin presque. Je me demandais aussi pourquoi moi ? Je regarda la pendule soupira légérement avant de demander quelque chose.

    « A quel heure tu finis se soir ? »

    Je devais aller en studio à 18 heures mais si elle finissait les cours tard on ne pourrait sûrement pas se voir.

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Kaylight S. Masen
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeDim 26 Avr - 1:24

    KYLLIAN : « Et moi du moment que tu es ma reine je peux être n’importe quel roi ! »

    Suite à ces mots, Kyllian s’était à son tour emparé de mes lèvres, et mon cœur, ça commençait à devenir une habitude, accéléra de nouveau. Je n’avais pas envie de perdre cette sensation. Je fermais donc les yeux, et lui rendis son baiser avec tendresse, fermant les yeux, tandis que je sentais sa main se poser en douceur sur ma joue. Lorsque nous interrompîmes ce baiser, je répondis dans un murmure, avec un petit sourire.

    « Tu es déjà le mien. »

    J’ignorais si cette place lui convenait, mais pour sûr qu’il l’était. Et moi, je voulais bien être sa peine autant de temps qu’il le souhaitais. Je l’aimais, de tout mon cœur, et depuis un petit moment déjà, j’avais pensé que ça me passerais, mais non, ça avait duré, et j’étais prête à parier que ça durerais encore. Ca me convenait très bien ! Je ne ferais jamais rien pour le perdre, jamais, c’était avec lui que je voulais être, et personne d’autre. C’était peut être fou, stupide, débile, de dire cela alors que je n’avais que 16 ans, et que nous étions ensemble seulement depuis… 1h environ, mais j’avais cette impression que c’était avec lui que je voudrais faire ma vie. Je n’avais aucune idée de comment elle se poursuivrais, la seule certitude que j’avais, c’était que je voulais que Kyllian en fasse partie intégrante. Peut importait ou, peut importait ce que je deviendrais, je le voulais à mes côtés. Oui, j’ai un petit côté fleur bleue je suppose.

    La conversation suivait son cours tandis que le temps passait. Nous en étions venus à essayer de trouver une excuse plausible, et Kyllian avait réussi à caser une excuse des plus ridicules, qui m’avait bien faite rire. Il fallait vraiment ne pas être doué pour se coincer une pâte dans le nez non ?! Je veux bien être maladroite comme pas deux, mais il y a des limites quand même. J’avais fini, tout de même, à trouver une excuse valable et qui pouvait expliquer autant le fait que j’ai été absente, que celui que quelqu’un aurait pu me voir partir avec Kyllian.

    KYLLIAN : « Ouais je pense que ça ira ! Tu sais tout a l’heure tu disais que j’allais en avoir marre de toi si tu venais trop souvent me voir mais je pense que c’est l’inverse. C’est toi qui en auras marre de moi sûrement assez rapidement. Je suis lourd avec blagues bidon. Mes frères me le disent tout le temps ! »

    « Oh, mais tu sais, j’aime les blagues bidon. Moi elles me font rire ! » Dis-je en souriant. J’étais sincère. « Je ne pense pas que j’arriverais à en avoir marre de toi, même si je le voulais. Et puis tu sais, en ce qui me concerne, je peux être une chieuse monumentale quand je m’y mets, ou alors euh… Pleurer comme une madelaine devant un film ou un bouquin… Ou dire des trucs débiles, sans savoir pourquoi… T’as encore rien vu, crois moi ! »

    C’était vrai, il n’avait encore rien vu ! Il m’arrive souvent de rigoler pour rien, autant que de pleurer pour rien. Ou alors, de me retrouver muette comme une carpe, parce que j’ai des problèmes et que je ne veux pas en parler, ou de pleurer parce que, dans le film à la télé, il arrive des misères à un chien, ou parce que je suis tellement plongée dans un livre que je me mets à rire d’une bêtises, ou a pleurer à cause d’un passage émouvant. Je suis très sensible, même si je tâche bien souvent de le cacher autant que possible, surtout au lycée. Mais je ne suis pas qu’une pauvre pleurnicheuse, j’adore m’amuser, et dire n’importe quoi, la première chose qui me passe par la tête, sans réfléchir. Seulement, j’avais tellement l’habitude, au lycée, de garder tout, y compris mes bêtises, pour moi, que cela se ressentais dans la vie de tous les jours. La seule qui pouvais se vanter d’avoir vu ma bêtise dans toute sa splendeur, c’était bien Alex ! Kyllian y aurait peut être bien droit, d’ailleurs, si je devais – pour mon plus grand bonheur – le côtoyer plus souvent qu’avant.

    Ayant lui aussi fini son assiette, Kyllian m’adressa finalement un sourire – je craque complètement pour son sourire ! – et, après avoir empilé nos deux assiettes vides, les emmena dans le lave-vaisselle. Il revint ensuite s’asseoir à côté de moi, qui n’avais pas bougé, au comptoir de la cuisine. Son tabouret se trouvant tout près du mien, je pris sa main dan la mienne, et appuyais ma tête sur son épaule. Nous allions devoir partir d’ici peu, et je voulais profiter au maximum de sa présence temps que je le pouvais encore, car une fois dehors, tout serait différent.

    KYLLIAN : « A quel heure tu finis se soir ? »

    « A 17h. Ensuite, je dois filer faire du baby-sitting. » Répondis-je.

    Et oui, voila comment je me faisais de l’argent de poche. Mon père ne travaillait pas – il ne faisait de toute façon pas grand-chose – et il fallait bien que je trouve un moyen d’avoir un peu d’argent pour moi. Je le faisais en gardant des enfants. Je gardais toujours les deux même, deux sœurs parfaitement adorables, et dont les parents étaient des gens bien. Ce petit boulot me plaisait, et il avait l’avantage de n’être pas trop mal payé, vu qu’il ne manquaient pas d’argent eux même, et m’appréciaient plutôt bien. J’avais eu de la chance, pour une fois, d’être tombée sur des gens adorables, et généreux, pas comme une bonne partie des gens riches de L.A, hautains et radins.

    Nouveau coup d’œil à la pendule. Il allait vraiment être temps qu’on y aille. La tête toujours calée contre l’épaule de Kyllian, je fermais les yeux, et repris la parole.

    « Je crois qu’on va devoir y aller. » Soupirai-je.

    Je fini par me redresser, sa main toujours dans la mienne. Pourquoi les choses étaient-elles si compliquées ? Pourquoi ne pouvais-je pas simplement, comme toutes les filles de mon âge, être avec le garçon que j’aimais sans avoir à craindre les paparazzi, qui s’empresseraient de mettre des photos sur le net, et qu’Alex verrait, avant même que je n’ai eu le temps de la mettre au courant des dernières nouvelles ?

    Kyllian et moi finîmes par nous lever, et nous nous rendîmes dans l’entrée, là afin d ‘y récupérer nos vestes. Avant, cependant, qu’il n’ait pu attraper la sienne, cependant, je me plaçais face à lui.

    « Avant de partir… »

    Je n’ajoutais rien, et, me mettant sur la pointe des pieds – eh oui, il était plus grand que moi – et allait à nouveau déposer un baiser sur ses lèvres, fermant les yeux. Je n’allais pas pouvoir l’embrasser de l’après midi, même si, en le croisant dans els couloirs, ce ne serait pas l’envie qui manquerais, alors je compensait en lui offrant un long baiser avant de partir.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitimeDim 26 Avr - 18:00

    KAYLIGHT : « Tu es déjà le mien. »

    J’étais tout à fait ravi d’être son roi et je n’aurais jamais voulu d’autre reine qu’elle. On aurait pu me proposer n’importe qui, même la plus belle ou la plus gentille fille du monde il n’y a qu’une qui m’intéresse réellement et elle se trouvait devant moi, elle m’aimait. J’eus un léger sourire en pensant à la chance que j’avais et finit par reprendre la paroles.

    « Quel honneur Madame la reine ! Mais disons que le terme d’ange tirais quand même mieux. Tu es mon ange et à personne d’autre ! »

    Un sourire craquant apparu sur les lèvres de Kaylight. Beaucoup de personne adultes pense que le véritable amour ne peux pas arriver si tôt. Mais moi je pense qu’ils se trompent totalement. J’ai peut être seulement 17 ans mais je savais au fond de moi que Kaylight était celle avec qui je voulais passer. Beaucoup aurait dit : « L’amour rend aveugle ». Peut être mais moi je ne suis pas aveugle d’imaginer mon futur avec Kaylight. Aujourd’hui la plus part des jeunes de mon âge ne pense qu’au … sexe. Ils se mettent avec une fille, la mette dans leur lit puis la rejette. Mais moi je n’étais pas comme ca. Déjà j’ai un anneau de pureté et ensuite je pense que l’on ne doit faire cela qu’avec la personne que l’on aime. Tout comme mes frères j’avais fait la promesse de rester vierge jusqu'au mariage.

    Enfin bref je ne vais pas vous raconter ma vie. Kaylight venait de trouver une excuse pour son cour de géographie. Tout ce que j’espérais c’est que mes parents et Alex n’allaient pas apprendre que j’avais fait sécher Kay’ parce que sinon j’allais passer un sale quart d’heure. Quoi que si jamais Alex m’engueuler pour cela il suffisait que je lui dise : « Imagine que Nate t’es invité à passer le repas avec lui ! Tu aurais sécher ton cours toi aussi ». J’étais sur qu’elle ne dirais pas non. Quand à mes parents, si ma mère l’apprenait Aïe je n’imagine même pas imaginé. Ma mère est super, c’est la meilleure mère au monde mais mieux vaux ne pas la contrarier.

    KAYLIGHT : « Oh, mais tu sais, j’aime les blagues bidon. Moi elles me font rire ! Je ne pense pas que j’arriverais à en avoir marre de toi, même si je le voulais. Et puis tu sais, en ce qui me concerne, je peux être une chieuse monumentale quand je m’y mets, ou alors euh… Pleurer comme une madeleine devant un film ou un bouquin… Ou dire des trucs débiles, sans savoir pourquoi… T’as encore rien vu, crois moi ! »

    Je l’écoutais parler d’elle, comme ca je l’a connaissais encore un peu mieux. Alors comme ca elle était sensible ! Enfin je l’avais un peu deviner cela se voyait par contre chieuse je ne l’imaginais pas comme cela mais comme ca je ne serais pas le seul à la taquiner de temps en temps.

    « Il me tarde de découvrir cette nouvelle facette de vous mademoiselle. »

    Je ris, de toute façon elle serait toujours la fille idéale à mes yeux. D’ailleurs en réfléchissant bien nous avions pas mal de point commun. Elle aime le skate, elle est sensible mais le plus important : On s’aime. Il est vrai que moi aussi j’étais sensible, certes pas de la même manière, je ne pleurais pas devant les film ou alors en lisant un livre, mais il était arrivé de temps en temps de pleurer sur scène. Surtout lors de deux chanson, ‘A Little Bit Longer’, qui parlais de mon diabète et ‘When You Look Me In The Eyes’, une chansons d’amour. Je vous jure quand le public chante avec tout son cœur ca vous fout des frissons partout. Certes ce n’était pas aussi fort que quand la fille pour qui votre cœur bat vous embrasser pour la première fois, c’était même beaucoup moins fort mais c’était … unique. Chaque concert, chaque ville, chaque public, chaque fans étaient unique.

    Enfin nous nous éloignons un peu du sujet. Je rangea les assiettes dans le lave vaisselle et le mis en route avant de revenir m’asseoir à coté de Kaylight. Je sentis sa main prendre la mienne ce qui me fis légèrement sourire. Nos doigts s’enlaçaient alors qu’elle posait sa tête sur mon épaule. Je déposa un baiser sur son front et l’écouta répondre à ma question.

    KAYLIGHT : « A 17h. Ensuite, je dois filer faire du baby-sitting. »

    Je soupira légèrement cela voudra dire que l’on ne se verrai pas se soir et même avant … samedi. Ca allait être long, devoir tenir 2 jour loin d’elle. Elle me manquais déjà rien que d’y penser. Elle devait sûrement bosser pour gagner un peu d’argent, moi je n’avais pas vraiment ce problème là, mais si jamais un jour elle avait besoin d’aide ou de n’importe quoi elle savait que je serais toujours là pour elle. Je n’avais aucune envie de bouger et pourtant il le fallait.

    KAYLIGHT : « Je crois qu’on va devoir y aller. »

    « Ouais tu as raison. »

    Je me leva en même temps que Kaylight et me dirigea vers l’entrée ma main dans la sienne. Je n’avais aucune envie de reprendre les cours. Dehors on aurait plus le droit de s’embrasser, de se tenir la main. Je ne pourrais plus la prendre dans mes bras quand je le veux ou lui donner des petits surnoms comme ‘mon ange’ ou ‘ma puce’. Je voulais l’embrasser avant de sortir mais elle fut plus rapide.

    KAYLIGHT : « Avant de partir… »

    Sur ces mots elle déposa tendrement ses lèvres sur les miennes. Je prolongeant langoureusement et amoureusement. Je plaça mes mains sur ses hanches et ferma les yeux. Ce baiser fut unique, elle ne m’avait encore jamais embrasser comme cela et j’en eu des frissons dans le dos. Elle se détacha ensuite de moi et la regardant dans les yeux je déposa à mon tour, rapidement cette fois ci, mes lèvres sur les siennes. Ca allait me manquer de ne pas pouvoir faire cela quand je veux et ou je veux. Je me retira doucement et la regardant dans les yeux lui fit un petit sourire.

    « Je t’aime ma puce ! »

    Sur ces mots je pris ma veste l’enfila, fourra mon portable dans ma poche et ouvrit la porte d’entrée pour la laisser passer. Une fois qu’elle fut dehors je lui ouvrit la portière coté passager et quand elle fut dedans la referma avant de monter au volant. Je conduis jusqu’au lycée et me gara sur le parking. Les élèves étaient nombreux sur le parking et devant le lycée. Je sortis et fis rapidement le tour pour ouvrir à Kaylight. Ces dans mes habitudes d’être galant mes parents m’ont toujours appris à l’être. La sonnerie retentit. Je m’avança avec Kaylight, comme si l’on était amis, vers l’entrée. Je l’a déposa à sa salle et prit la parole avant de m’éloigner vers ma salle.

    « A samedi »

    Je m’éloigna vers ma salle de cour. Le reste de la journée s’annonça ennuyeux, très ennuyeux.
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MessageSujet: Re: Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight |   Quelle bande de casse-pieds... Suite | Kaylight | I_icon_minitime

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